Le paradoxe du diable et de l'omnipotence

Tout est nuancé. Qui légifère pour dire que telle action est bonne ou pas
Prends pour référence le yin et le yang.
Tu devrais relire le passage la sourate la caverne. Peut-être comprendras tu.

Selon tes croyances tu as des livres qui légifère ce qui est bien ou pas.
Si tu n'est pas croyant, le bien est le mal est construit selon l'environnement dans lequel tu vis, où la philosophie morale... Mais c'est un autre débat.
 
Affines là tu gagne le débat quoi qu’il arrive, y’a trop de choses pour toi comme pour comme pour nous, on arrive pas cerner on fait rien avec ça. Enfin c’est ce que je pense.

Tu veux que j'affine quoi ? Tu veux que je te dise à quoi il ressemble ?
Je te parle de l'être omnipotent, omniscient qui serait à l'origine de tout et auquel un bon nombre de personne coient.
Qu'il s'appelle Allah, Yahvé Jésus ou Steve Jobs
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Je conçois Dieu comme tout les croyants le convoient : un être omnipotent et omniscient. Qui a le pouvoir de tous faire et c'est tout ce qu'il va se passer. Un être a l'origine de toute chose, le temps l'espace etc.. `
Donc quand un acte 'mauvais' se passe sur Terre, c'est par la volonté de Dieu. Car il l'avait prévu, et ne l'a pas empêché.

Quand un homme tue son gosse et sa femme, Dieu l'avait prédit, prévue, et a fait en sorte que ça arrive.
Dire que Dieu est Juste et Bon est donc illogique

Je n'ai volontairement par parlé de la prédestination de l'étre humain pour pas rentrer dans le débat. Mais ça ne change rien. Cette problématique est indépendante de la question de la liberté de l'être humain, parce que dans tous les cas, chaque seconde passé dans la vie d'un homme est voulu par le Dieu, chaque chose arrive avec son consentement.

Oui dans la vieille théologie, on avait tendance à se centrer sur la puissance et la souveraineté de Dieu. Certains fondamentalistes pensent encore de la sorte.

La théologie plus contemporaine a plutôt tendance à relativiser l'idée de pouvoir absolu de Dieu, et à souligner davantage son amour et son respect pour notre liberté. Donc on conçoit moins Dieu selon l'analogie d'un roi des anciens royaumes européens ou orientaux, et davantage selon l'analogie d'un parent qui aime son enfant sans vouloir l'étouffer.

Et justement, certains parents acceptent parfois que leurs enfants prennent des décisions qui leur paraissent (aux parents) peu judicieuses ou incorrectes. Parce que les parents acceptent le fait qu'ils ne devraient pas tout contrôler de la vie de leur enfant, et qu'il vaut mieux leur laisser un espace de liberté pour qu'ils fassent leurs propres expériences et apprennent leurs leçons des conséquences de leurs choix.

Pour ce qui est de la volonté de Dieu, même les vieux théologiens ont fait une différence entre ce que Dieu veut et ce qu'il permet. Dieu peut permettre une chose sans la vouloir. Par exemple si Dieu nous empêchait de faire le mal, dans un sens les choses iraient peut-être mieux, mais dans un autre sens, nous n'aurions plus de liberté, et l'existence humaine perdrait sa grandeur tragique. Donc Dieu permet le mal, parce qu'il veut sauvegarder la valeur qu'est la liberté humaine, et cette liberté suppose qu'on puisse en abuser, donc que le mal soit possible. Mais cela ne veut pas dire que Dieu approuve le mal qu'on fait.

En relativisant la puissance de Dieu, paradoxalement on rend Dieu plus grand, plus noble. Ce qui est mesquin, c'est un dictateur qui voudrait tout contrôler et qui ne laisserait aucun espace de liberté à son peuple.
 
Oui dans la vieille théologie, on avait tendance à se centrer sur la puissance et la souveraineté de Dieu. Certains fondamentalistes pensent encore de la sorte.

La théologie plus contemporaine a plutôt tendance à relativiser l'idée de pouvoir absolu de Dieu, et à souligner davantage son amour et son respect pour notre liberté. Donc on conçoit moins Dieu selon l'analogie d'un roi des anciens royaumes européens ou orientaux, et davantage selon l'analogie d'un parent qui aime son enfant sans vouloir l'étouffer.

Et justement, certains parents acceptent parfois que leurs enfants prennent des décisions qui leur paraissent (aux parents) peu judicieuses ou incorrectes. Parce que les parents acceptent le fait qu'ils ne devraient pas tout contrôler de la vie de leur enfant, et qu'il vaut mieux leur laisser un espace de liberté pour qu'ils fassent leurs propres expériences et apprennent leurs leçons des conséquences de leurs choix.

Pour ce qui est de la volonté de Dieu, même les vieux théologiens ont fait une différence entre ce que Dieu veut et ce qu'il permet. Dieu peut permettre une chose sans la vouloir. Par exemple si Dieu nous empêchait de faire le mal, dans un sens les choses iraient peut-être mieux, mais dans un autre sens, nous n'aurions plus de liberté, et l'existence humaine perdrait sa grandeur tragique. Donc Dieu permet le mal, parce qu'il veut sauvegarder la valeur qu'est la liberté humaine, et cette liberté suppose qu'on puisse en abuser, donc que le mal soit possible. Mais cela ne veut pas dire que Dieu approuve le mal qu'on fait.

En relativisant la puissance de Dieu, paradoxalement on rend Dieu plus grand, plus noble. Ce qui est mesquin, c'est un dictateur qui voudrait tout contrôler et qui ne laisserait aucun espace de liberté à son peuple.

La théologie contemporaine, c'est à dire ? Et de quels religion ?
Est ce que les théologiens ont changé leur manière de pensée avec l'arrivée des pensée humanistes et les mouvement anti-cléricaux ? Histoire d'adapter une religion ?

L'analogie des parents et de Dieu ne fonctionne pas, celle de la "leçon" non plus. Tu ne prends pas assez de recul
Si un parents sait d'avance que son enfant va se faire kidnappé, il ne pas laisser faire pour "donner une leçon". Il n'ya pas de leçon lorsque des gosses de 9 ans sont enrollé de force dans une armée, lorsque des innocents se font fusillés sans raison, lorsque des civils sont des dommages collatéraux.

Cette histoire de "sauvegarder la liberté" c'est vraiment tiré par les cheveux.
Cela ne change rien au fait qu'il est à l'origine du mal. Il aurait pu créé des hommes bon et les laisser libres 🤔
L'homme est limité par certaines capacité physique est intellectuel, pourquoi ne pas l'avoir limité dans le mal ? Dieu est en fait sois mauvais, soit incapable

Exemple: si j'avais été capable de crée un couteau qui ne coupe que des aliments, et non des humains. Je l'aurais fait parce que je ne veux que le bien.
Si Dieu avait été capable de crée des humains non mauvais, il l'aurait fait.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
La théologie contemporaine, c'est à dire ? Et de quels religion ?
Est ce que les théologiens ont changé leur manière de pensée avec l'arrivée des pensée humanistes et les mouvement anti-cléricaux ? Histoire d'adapter une religion ?

L'analogie des parents et de Dieu ne fonctionne pas, celle de la "leçon" non plus. Tu ne prends pas assez de recul
Si un parents sait d'avance que son enfant va se faire kidnappé, il ne pas laisser faire pour "donner une leçon". Il n'ya pas de leçon lorsque des gosses de 9 ans sont enrollé de force dans une armée, lorsque des innocents se font fusillés sans raison, lorsque des civils sont des dommages collatéraux.

Cette histoire de "sauvegarder la liberté" c'est vraiment tiré par les cheveux.
Cela ne change rien au fait qu'il est à l'origine du mal. Il aurait pu créé des hommes bon et les laisser libres 🤔
L'homme est limité par certaines capacité physique est intellectuel, pourquoi ne pas l'avoir limité dans le mal ? Dieu est en fait sois mauvais, soit incapable

Exemple: si j'avais été capable de crée un couteau qui ne coupe que des aliments, et non des humains. Je l'aurais fait parce que je ne veux que le bien.
Si Dieu avait été capable de crée des humains non mauvais, il l'aurait fait.

Bonjour,

Je pense qu’en fait, c’est pas le mal en soi qui te scandalise. Le monde n’avait pas besoin d’être une fête permanente où tout le monde s’éclaterait. L’existence du mal en général peut s’expliquer.

Non, ce qui te scandalise en fait, c’est le degré extrême du mal qui est parfois, les raffinements de cruauté, la barbarie, les existences ruinées par des bourreaux... ce genre de choses. C’est pour cela que tu contestes l’analogie avec les parents.

Tu dis qu’il devrait y avoir une limite dans le mal. Je pourrais te répondre que Dieu a mis une limite à notre capacité de souffrir : la mort, précisément. Mais je trouve pas cette réponse tellement satisfaisante.

Oui il y a un « excès de mal » qui, effectivement, met la bonté de Dieu en difficulté. Il y a tant de personnes qu’on dirait abandonnées de Dieu. C’est pas être de bonne foi de soutenir que Dieu « répond toujours à nos prières ». À moins de formuler l’idée d’une manière qui la rende irréfutable, ce qui n’est pas très honnête.

Parvenu à ce point, j’ai pas de réponse. Il faut juste se solidariser des souffrances des autres, leur offrir notre présence, chercher à les secourir, et ne pas chercher de justification religieuse (cela ne serait pas très respectueux envers leur souffrance absurde).
 
Bonjour,

Je pense qu’en fait, c’est pas le mal en soi qui te scandalise. Le monde n’avait pas besoin d’être une fête permanente où tout le monde s’éclaterait. L’existence du mal en général peut s’expliquer.

Non, ce qui te scandalise en fait, c’est le degré extrême du mal qui est parfois, les raffinements de cruauté, la barbarie, les existences ruinées par des bourreaux... ce genre de choses. C’est pour cela que tu contestes l’analogie avec les parents.

Tu dis qu’il devrait y avoir une limite dans le mal. Je pourrais te répondre que Dieu a mis une limite à notre capacité de souffrir : la mort, précisément. Mais je trouve pas cette réponse tellement satisfaisante.

Oui il y a un « excès de mal » qui, effectivement, met la bonté de Dieu en difficulté. Il y a tant de personnes qu’on dirait abandonnées de Dieu. C’est pas être de bonne foi de soutenir que Dieu « répond toujours à nos prières ». À moins de formuler l’idée d’une manière qui la rende irréfutable, ce qui n’est pas très honnête.

Parvenu à ce point, j’ai pas de réponse. Il faut juste se solidariser des souffrances des autres, leur offrir notre présence, chercher à les secourir, et ne pas chercher de justification religieuse (cela ne serait pas très respectueux envers leur souffrance absurde).

Je ne donne pas de limites au mal, car ce dernier à une définition très subjective et propre a chacun. Le vol par exemple peut être plus ou moins pardonné si le voleur meurt de faim et à 4 bouches à nourrir. En fait si je donne des exemple de "mal extrême" c'est pour parler à tout le monde. La pédophilie est un exemple que j'aime donner car c'est un mal quasi absolue car considéré comme tel par pas mal de monde. (sauf quand il est légalisé par un mariage pour certains :sournois: )

En effet, la réponse de la mort comme limite de la souffrance n'est pas satisfaisante. Premièrement car elle survient n'importe quand, n'importe comment, précédée de souffrance ou pas. Ensuite elle est une limite au mal, mais aussi à la joie, au bonheur, à la vie . Enfin tu peux souffrir énormément sans jamais voir la mort.

Je ne pense pas qu'il y ai de réponses possible à un non-sens. Mais en tout cas je te remercie d'avoir contribué à mon sujet
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Je ne donne pas de limites au mal, car ce dernier à une définition très subjective et propre a chacun. Le vol par exemple peut être plus ou moins pardonné si le voleur meurt de faim et à 4 bouches à nourrir. En fait si je donne des exemple de "mal extrême" c'est pour parler à tout le monde. La pédophilie est un exemple que j'aime donner car c'est un mal quasi absolue car considéré comme tel par pas mal de monde. (sauf quand il est légalisé par un mariage pour certains :sournois: )

En effet, la réponse de la mort comme limite de la souffrance n'est pas satisfaisante. Premièrement car elle survient n'importe quand, n'importe comment, précédée de souffrance ou pas. Ensuite elle est une limite au mal, mais aussi à la joie, au bonheur, à la vie . Enfin tu peux souffrir énormément sans jamais voir la mort.

Je ne pense pas qu'il y ai de réponses possible à un non-sens. Mais en tout cas je te remercie d'avoir contribué à mon sujet


Ok. ;)

Mais dire : tu peux souffrir énormément sans jamais voir la mort?? Par définition, la mort finira par arriver, on souffrira pas pendant l’éternité (idée qui faisait peur aux sages hindous parce qu’ils étaient convaincus de la transmigration des âmes).
 
Ok. ;)

Mais dire : tu peux souffrir énormément sans jamais voir la mort?? Par définition, la mort finira par arriver, on souffrira pas pendant l’éternité (idée qui faisait peur aux sages hindous parce qu’ils étaient convaincus de la transmigration des âmes).

Ah je me suis mal exprimé
On peut torturer une personne tous les jours pendant 10 ans, elle ne mourra pas forcément de ses douleurs ou de sa détresse psychologique et mourir d'une autre cause
 
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