C’est une question qui me tracasse parfois, encore plus difficile qu’un enfant gravement malade ou handicapé, c’est un enfant violent ou criminel. S’il y avait un remède miraculeux pour ça …
La question me revient en voyant le reportage ci‑dessous, sur les enfants qui font peur.
Une commentatrice dit une chose qui marque : « une parole rare et encore tabou, aimer son enfant malgré ses crimes ». Ce commentaire vient après le témoignages des deux parents d’un enfant de 17 ans qui a violé et tué une camarade de classe de 13 ans. Il est un des très rares adolescents a être condamné à la prison à perpétuité. Son père en parle comme s’il avait deux fils, celui qu’il a élevé, et l’autre, celui qui a commis le crime et dont il se dit lui aussi victime, car ce « second fils » lui a enlevé ce « premier fils ». La mère culpabilise et ne peut pas s’empêcher de de sentir responsable.
Une remarque quand‑même sur ce documentaire : il est dans l’erreur quand il dit que les enfants sont de plus en plus violents, et une juge des enfants confirme que c’est une illusion de le croire. Je crois aussi qu’ils ne le sont pas de plus en plus, et qu’on oublie trop vite ce que racontait le film « La guerre des boutons » et plus tard le film « Orange mécanique ».
Il y a aussi les circonstances, le milieux, comme avec les enfants malfrats de Marseille, une question abordée dans la première partie du documentaire.
Les gens qui ont des enfants, ou qui n’en ont pas encore, cela vous arrive‑t‑il aussi de penser à ça ? Comment faites‑vous face à la question en vous‑mêmes ?
La question me revient en voyant le reportage ci‑dessous, sur les enfants qui font peur.
Une commentatrice dit une chose qui marque : « une parole rare et encore tabou, aimer son enfant malgré ses crimes ». Ce commentaire vient après le témoignages des deux parents d’un enfant de 17 ans qui a violé et tué une camarade de classe de 13 ans. Il est un des très rares adolescents a être condamné à la prison à perpétuité. Son père en parle comme s’il avait deux fils, celui qu’il a élevé, et l’autre, celui qui a commis le crime et dont il se dit lui aussi victime, car ce « second fils » lui a enlevé ce « premier fils ». La mère culpabilise et ne peut pas s’empêcher de de sentir responsable.
Une remarque quand‑même sur ce documentaire : il est dans l’erreur quand il dit que les enfants sont de plus en plus violents, et une juge des enfants confirme que c’est une illusion de le croire. Je crois aussi qu’ils ne le sont pas de plus en plus, et qu’on oublie trop vite ce que racontait le film « La guerre des boutons » et plus tard le film « Orange mécanique ».
Il y a aussi les circonstances, le milieux, comme avec les enfants malfrats de Marseille, une question abordée dans la première partie du documentaire.
Les gens qui ont des enfants, ou qui n’en ont pas encore, cela vous arrive‑t‑il aussi de penser à ça ? Comment faites‑vous face à la question en vous‑mêmes ?