Séparés et visiblement agacés par la garde alternée, deux parents français originaires de l’Aisne (France) ont laissé leurs enfants livrés à eux-mêmes sur un trottoir, en pyjama, en pleurs et sous la pluie.
Ils ont été condamnés à huit mois de prison avec sursis.
Un problème de garde d’enfants débattu au tribunal après une séparation, jusque-là rien de vraiment anormal.
Mais c’est un cas particulier sur lequel a dû se pencher un juge de Laon (France) .
Le père et la mère, qui avaient décidé de rompre, ne voulaient plus s’occuper de leurs enfants.
Agacés par le système de garde alternée dont ils avaient convenu, les ex-conjoints s’attellent à se décharger de leurs responsabilités.
Un matin , le père dépose les enfants âgés de quatre et six ans, chez son ancienne compagne.
Mais la mère n’est visiblement pas disposée à les accueillir.
Elle fait le chemin inverse. Le père n’est pas présent chez lui, mais les enfants sont tout de même laissés devant le domicile, en pleurs, en pyjama et munis de quelques affaires personnelles.
L’aîné entame une course derrière la voiture.
Les deux frères finissent par trouver refuge chez une voisine.
“Ils jouent au ping-pong, ils renvoient les enfants”
“La mère a autre chose à faire, elle travaille, son logement ne lui permet pas de les accueillir dans de bonnes conditions et elle ne veut pas s’encombrer avec eux”, a raconté l’avocat des enfants, des propos relayés par le quotidien L’Union.
Son de cloche similaire du côté du père.
“Il n’en veut pas non plus et pour être certain de ne pas les avoir, il dit à l’aide sociale à l’enfance qu’il peut péter les plombs à tout moment, qu’il est impulsif et qu’il risque de les frapper.
Alors ils jouent au ping-pong, ils se renvoient les enfants”
Le père a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour “soustraction à ses obligations légales” et pour avoir porté des coups de ceinture à l’un de ses fils.
Il est aussi contraint de suivre un stage de responsabilité parentale et de verser un montant de 3.000 euros à ses enfants.
La mère a écopé d’une peine similaire pour “soustraction à ses obligations légales” et doit s’acquitter d’un montant de 2.000 euros.
Les enfants ont été placés dans une famille d’accueil, ils sont autorisés à voir leurs parents une heure par mois.
https://www.7sur7.be/monde/les-pare...ir~a5db51cc/?referrer=https://www.google.com/
Ils ont été condamnés à huit mois de prison avec sursis.
Un problème de garde d’enfants débattu au tribunal après une séparation, jusque-là rien de vraiment anormal.
Mais c’est un cas particulier sur lequel a dû se pencher un juge de Laon (France) .
Le père et la mère, qui avaient décidé de rompre, ne voulaient plus s’occuper de leurs enfants.
Agacés par le système de garde alternée dont ils avaient convenu, les ex-conjoints s’attellent à se décharger de leurs responsabilités.
Un matin , le père dépose les enfants âgés de quatre et six ans, chez son ancienne compagne.
Mais la mère n’est visiblement pas disposée à les accueillir.
Elle fait le chemin inverse. Le père n’est pas présent chez lui, mais les enfants sont tout de même laissés devant le domicile, en pleurs, en pyjama et munis de quelques affaires personnelles.
L’aîné entame une course derrière la voiture.
Les deux frères finissent par trouver refuge chez une voisine.
“Ils jouent au ping-pong, ils renvoient les enfants”
“La mère a autre chose à faire, elle travaille, son logement ne lui permet pas de les accueillir dans de bonnes conditions et elle ne veut pas s’encombrer avec eux”, a raconté l’avocat des enfants, des propos relayés par le quotidien L’Union.
Son de cloche similaire du côté du père.
“Il n’en veut pas non plus et pour être certain de ne pas les avoir, il dit à l’aide sociale à l’enfance qu’il peut péter les plombs à tout moment, qu’il est impulsif et qu’il risque de les frapper.
Alors ils jouent au ping-pong, ils se renvoient les enfants”
Le père a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour “soustraction à ses obligations légales” et pour avoir porté des coups de ceinture à l’un de ses fils.
Il est aussi contraint de suivre un stage de responsabilité parentale et de verser un montant de 3.000 euros à ses enfants.
La mère a écopé d’une peine similaire pour “soustraction à ses obligations légales” et doit s’acquitter d’un montant de 2.000 euros.
Les enfants ont été placés dans une famille d’accueil, ils sont autorisés à voir leurs parents une heure par mois.
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