Les parents “ne veulent plus d’eux”, les enfants abandonnés sur le trottoir

D'un autre côté, s'ils sont incapables d'aimer leurs enfants, il vaut mieux qu'ils les abandonnent maintenant plutôt que de les garder pour leur faire payer leur vie minable en les maltraitant...

Oui mais pas en les abandonnant dans la rue
Deja un parent digne de ce nom doit reconnaître quand il a des difficultés à aimer ses enfants et solliciter une aide éducative
Ensuite si vraiment ils ne veulent plus des enfants dans ce cas là ils doivent sécuriser l'abandon
Les laisser seuls dans la rue c'est clairement grave et quel traumatisme pr les enfants qui vont devoir vivre Avec Ca a vie.
 
Oui mais pas en les abandonnant dans la rue
Deja un parent digne de ce nom doit reconnaître quand il a des difficultés à aimer ses enfants et solliciter une aide éducative
Ensuite si vraiment ils ne veulent plus des enfants dans ce cas là ils doivent sécuriser l'abandon
Les laisser seuls dans la rue c'est clairement grave et quel traumatisme pr les enfants qui vont devoir vivre Avec Ca a vie.
C'est un fait divers touchant... mais on ne connaît pas tous les détails de l'affaire et il se peut que les choses aient été faites dans la précipitation et qu'il s'agisse d'un concours de circonstances. Et pour des parents qui présentent des troubles du comportement : difficile de s’auto-diagnostiquer surtout si le sujet est délirant (hallucinations...). Dans le cas d'une crise psychotique, il ne sait plus ce qu'il fait : il est déconnecté de la réalité.
نسأل الله السلامة والعافية
 
C'est un fait divers touchant... mais on ne connaît pas tous les détails de l'affaire et il se peut que les choses aient été faites dans la précipitation et qu'il s'agisse d'un concours de circonstances. Et pour des parents qui présentent des troubles du comportement : difficile de s’auto-diagnostiquer surtout si le sujet est délirant (hallucinations...). Dans le cas d'une crise psychotique, il ne sait plus ce qu'il fait : il est déconnecté de la réalité.
نسأل الله السلامة والعافية
Oui tu as raison les parents doivent sûrement souffrir d'un trouble psy pour avoir réagi de cette façon
 
Il devrait exister une brigade formée d'hommes ou femmes balaises qui est chargée de tabasser ce genre de personne.

Tfou 3alihou, je leur souhaite une vie misérable pour ce qu'ils ont fait subirà leurs enfants.

Comme Est-ce possible ? Pauvres petits loups la tristesse qu'ils doivent ressentir d'être rejeté si petit par leurs parents
 
Psychologie clinique nous explique le processus de parentalisation :
"Un exemple d’investissement narcissique est l’amour que les parents portent aux enfants. Il s’agit d’un amour narcissique car il reflète un prolongement de « soi », on place des « attentes » chez le bébé. Cet investissement parental est ambivalent car tout parent aime ses enfants tout en éprouvant des sentiments négatifs à son égard. [...] Au début, toute mère haïrait son enfant car il n’est pas le produit de sa conception mentale, n’est pas l’enfant de ses fantasmes [...] est un danger pour son corps, interfère dans sa vie privée (perte de liberté, d’indépendance) etc. Il y donc ambivalence des sentiments.
« Je désire être enceinte » est aussi une composante du narcissisme. L’enfant est attendu pour compléter une faille narcissique de la mère. L’enfant est « gommé » en tant que sujet. La composante objectale irait plutôt dans le sens « je veux avoir un enfant » où l’accent est mis sur le fait d’avoir un individu, en tant que sujet et qui va être aimé pour lui-même.
Quand la composante narcissique est plus importante, il y a plus de risque chez les parents d’être déçus car l’enfant « imaginaire » est différent du réel. Lorsque c’est la composante objectale qui est plus importante, l’enfant est investi tel qu’il est, est aimé comme « différent » par les parents. Les parents doivent accepter cette différence, que l’enfant ait ses propres désirs (relation plus saine) lui permettant d’avoir une autonomie progressive. Ce qui importe est ce que l’enfant fait de ce qu’on lui a fait (lien de cause à effet). Néanmoins, le concept de résilience (prendre acte de l'événement traumatique pour ne plus, ou ne pas, avoir à vivre dans la dépression et se reconstruire d'une façon socialement acceptable) introduit la possibilité de faire quelque chose de positif malgré une expérience traumatique vécue. [...]"
 

pititecurieuse

Anti bullshit
VIB
Pour résumer,c’est des cas sociaux les parents.
Des cas sociaux qui travaillent ?
Dans toute les classes sociales, on peut trouver des parents, qui trop absorbés par leur travail, n'ont plus la force de s'occuper des enfants, mais ils les aiment,,,,, eux, pour faire ce qu'ils ont fait, ils devaient haîr leur enfant,,,, quant tu penses que le petit a courru derrière sa mère, qui l'a abandonné lachement lui et son frère..*
pourquoi faire des enfants, si on en veut pas,,,, ? Je comprend pas, et ce manque de sentiments, d'amour,,,
les parents qui sont atteints psy on s'en fout,,,, c'est les enfants qui vont être à vie perturbés psychologiquement,,,,
J'espère qu'ils trouveront vite un foyer, avec des parents qui leur donneront pleins d'amour,,,,
 

pititecurieuse

Anti bullshit
VIB
des enfants abandonné sur le trottoir ca me rappelle un conte .. avec un ptit poucet et des parents a bouts .. des miettes de pains ..
une foret prête a craquer
y a plein d enfant abandonné dans ce monde .. en pleine méditerrané ou a gaza ..
..

pathétique news
deux enfants abandonné sur le trottoir .. un chien écrasé par un ange ivre qui ne voyait plus ni le bien ni le mal .. juste son jardin d eden .. perdu dans les nuages .. super monde .. allez on y va .. !! tous !! Alles ist werth, dass es zu grunde geht // Nietzsche .. ou Goethe .. peut etre meme el diablo !! allez savoir avec tous ses fous qui hantent les supermarché de la pensée .. enfin .. les superette de l info ./.!!


mon coeur est froid !
Ben reéchauffe ton coeur,,,,
le conte c'est le petit poucet,,,,
et oui on sait qu'il y a plein d'enfants abandonné dans ce mond
Tu oublies les mineurs marocains, livrés à eux même en plein paris,,,,, gaza, syrie, et encore,,,, pleins de pays en guerre, du fait des circonstances abandonnés mais aimés malgré tout par leur parents,,,
je sais pas ce que ca vient f...outre dans ce sujet,,,
on parle d'un fait divers,,,là... et oui les médias accorde peut être plus d'importance à des faits qui semblent dérisoires par rapport à ce qui se passe dans le monde. il faudrait plus d'une journée pour citer tout les malheurs du monde,,,,
C'est un monde de fou,,, mais ca on en est tous conscience,,,et nous petits citoyens lambda que peut- on faire ?
 
Dernière édition:

Chmicha31

Modérateur
Modérateur
Psychologie clinique nous explique le processus de parentalisation :
"Un exemple d’investissement narcissique est l’amour que les parents portent aux enfants. Il s’agit d’un amour narcissique car il reflète un prolongement de « soi », on place des « attentes » chez le bébé. Cet investissement parental est ambivalent car tout parent aime ses enfants tout en éprouvant des sentiments négatifs à son égard. [...] Au début, toute mère haïrait son enfant car il n’est pas le produit de sa conception mentale, n’est pas l’enfant de ses fantasmes [...] est un danger pour son corps, interfère dans sa vie privée (perte de liberté, d’indépendance) etc. Il y donc ambivalence des sentiments.
« Je désire être enceinte » est aussi une composante du narcissisme. L’enfant est attendu pour compléter une faille narcissique de la mère. L’enfant est « gommé » en tant que sujet. La composante objectale irait plutôt dans le sens « je veux avoir un enfant » où l’accent est mis sur le fait d’avoir un individu, en tant que sujet et qui va être aimé pour lui-même.
Quand la composante narcissique est plus importante, il y a plus de risque chez les parents d’être déçus car l’enfant « imaginaire » est différent du réel. Lorsque c’est la composante objectale qui est plus importante, l’enfant est investi tel qu’il est, est aimé comme « différent » par les parents. Les parents doivent accepter cette différence, que l’enfant ait ses propres désirs (relation plus saine) lui permettant d’avoir une autonomie progressive. Ce qui importe est ce que l’enfant fait de ce qu’on lui a fait (lien de cause à effet). Néanmoins, le concept de résilience (prendre acte de l'événement traumatique pour ne plus, ou ne pas, avoir à vivre dans la dépression et se reconstruire d'une façon socialement acceptable) introduit la possibilité de faire quelque chose de positif malgré une expérience traumatique vécue. [...]"
Quel ramassis de c.onneries
 
Quel ramassis de c.onneries
Tu crois que la psychologie est un ramassis de bêtises? Il y a une logique pourtant : "La maman et le papa rêve selon leur goût et ce qui leur fait plaisir de ce que sera leur bébé... L'enfant qui naît ne correspond à leurs attentes... pour finir par l'accepter comme une personne à part entière, et dépasser leurs peurs par rapport à ce qu'ils avaient vécu chacun dans leur histoire personnelle ou ensemble."
 

Chmicha31

Modérateur
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Tu crois que la psychologie est un ramassis de bêtises? Il y a une logique pourtant : "La maman et le papa rêve selon leur goût et ce qui leur fait plaisir de ce que sera leur bébé... L'enfant qui naît ne correspond à leurs attentes... pour finir par l'accepter comme une personne à part entière."
De la a hair son enfant etc .
Je trouve que le texte que tu as mis est un gloubi boulga de n'importe quoi
Ça n'engage que moi
 
De la a hair son enfant etc .
Je trouve que le texte que tu as mis est un gloubi boulga de n'importe quoi
Ça n'engage que moi
Ce n'est pas normal de détester son enfant ; mais le coeur a ses raisons que la raison ignore. Il faut seulement ne pas se laisser dominer par son coeur ; mais plutôt avec sa raison, orienter les sentiments du coeur.
 
Dernière édition:
De la a hair son enfant etc .
Je trouve que le texte que tu as mis est un gloubi boulga de n'importe quoi
Ça n'engage que moi
Ils te diront que le besoin de succion du bébé est d'ordre sexuel - que plus tard l'enfant fait caca comme une monnaie d'échange avec ses parents et que là aussi, c'est d'ordre sexuel mais anal - que plus tard il se rapproche du parent du même sexe et déteste celui du sexe opposé et plus tard c'est l'inverse - que les petites filles s’intéressent à leurs différences avec les garçons (pourquoi ça ne pendouille pas) - et que les garçons se sentent castrés par leur père... etc etc. Ma version était très très soft! BEURK !!!
 

Khoulood

Chauvophobe
Ce n'est pas normal de détester son enfant ; mais le coeur a ses raisons que la raison ignore. Il faut seulement ne pas se laisser dominer par son coeur ; mais plutôt avec sa raison, orienter les sentiments du coeur.

Je pense que la haine de l'enfant est d'abord inconsciente. Je veux dire probablement. Ensuite ça évolue. Et dans ton texte ça parle d'ambivalence, je l'aime mais je le deteste en meme temps.

Moi ça me paraît très vraisemblable. La psychologie humaine est complexe
 
Je pense que la haine de l'enfant est d'abord inconsciente. Je veux dire probablement. Ensuite ça évolue. Et dans ton texte ça parle d'ambivalence, je l'aime mais je le deteste en meme temps.

Moi ça me paraît très vraisemblable. La psychologie humaine est complexe
Je te comprends mais effectivement il y a une contradiction entre les sentiments d'amour que la société pousse la maman à avoir envers son enfant et son dégoût et sa déception. L'article explique la parentalité entre "le bébé objet" (je veux devenir maman) qui devient "bébé sujet" (je vais être la maman de mon bébé). Ce n'est pas tout à fait pareil. Bébé pleure : - Il m'énerve! / Bébé est admiré par les gens : - C'est moi sa maman, qu'il est mignon!
 
Dernière édition:
Pas forcément. On s'aperçoit du surinvestissement affectif dans les réunions parents prof quand les parents se rengorgent ou se déchirent selon les notes de leur progéniture.
Personne ne t'en voudra de penser à la réussite de ton enfant et de bien l'éduquer... mais de là t'en prendre au prof pour leurs notes... C'est excessif... C'est peut-être ça qui a mené cette femme et cet homme à abandonner leurs enfants : un enfant n'est pas un jouet ou une décoration qu'on montre par fierté... C'est un être humain dont il faut s'occuper et accompagner jusqu'à ce qu'il devienne autonome.
 

pititecurieuse

Anti bullshit
VIB
un cas social n’est pas obligé d’etre pauvre et d’etre chômeur.
En général les cas sociaux, sont issus de milieux défavorisés, maintenant je suis d'accord, qu'on peut trouver des cas sociaux, comme les parents qui ont une addiction pour l'alcool, la violence conjugale, et familiale..
L'article ne mentionne pas, si ces parents ont maltraité leur parents, si il y a déjà eu signalements de la part de la famille, ou les insistiutrices, si c'est le cas, l'affaire sera d'autant plus grave, puisque encore une fois,,,, on ressortira le discours "on savait..... mais personne n'a bougé..."
Pour l'instant, apparemment ce sont ou c'étaient des personnes tout à fait normaux, ce sont les aléas, du divorces, en général chacun des parents se battent pour avoir la garde de leur enfants,,,
Ce cas là, c'est le contraire, ils sont pas heureux lorsque c'est leur tour de garde;;; c'est bizarre;;;;;
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
En général les cas sociaux, sont issus de milieux défavorisés, maintenant je suis d'accord, qu'on peut trouver des cas sociaux, comme les parents qui ont une addiction pour l'alcool, la violence conjugale, et familiale..
L'article ne mentionne pas, si ces parents ont maltraité leur parents, si il y a déjà eu signalements de la part de la famille, ou les insistiutrices, si c'est le cas, l'affaire sera d'autant plus grave, puisque encore une fois,,,, on ressortira le discours "on savait..... mais personne n'a bougé..."
Pour l'instant, apparemment ce sont ou c'étaient des personnes tout à fait normaux, ce sont les aléas, du divorces, en général chacun des parents se battent pour avoir la garde de leur enfants,,,
Ce cas là, c'est le contraire, ils sont pas heureux lorsque c'est leur tour de garde;;; c'est bizarre;;;;;
Ça me fais penser à un film comique ou les parents se battaient pour ne pas avoir la garde de leurs enfants :D un film français sorti il y a deux ou trois ans je crois.
 

BloodySunday

Bladinaute averti
Personne ne t'en voudra de penser à la réussite de ton enfant et de bien l'éduquer... mais de là t'en prendre au prof pour leurs notes... C'est excessif... C'est peut-être ça qui a mené cette femme et cet homme à abandonner leurs enfants : un enfant n'est pas un jouet ou une décoration qu'on montre par fierté... C'est un être humain dont il faut s'occuper et accompagner jusqu'à ce qu'il devienne autonome.
Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dit.
 
Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai dit.
J'ignore si tu m'as bien compris. Le texte dit en substance - que les parents essaient de transformer les enfants à leur image (un peu comme les parents qui veulent que leur fils/fille fasse des études alors que ces derniers veulent plutôt entrer dans la vie active : se professionnaliser pour faire un métier ou carrément entrer dans la précarité du marché du travail sans formation par appât du gain : l'argent facile) au lieu de les prendre comme ils sont en tant que personnes à part entière. C'est simplement une histoire d'équilibre : pour trouver le juste milieu. Mais je te concède que tout le monde est influencé à divers degrés par ces deux pôles : enfant objet d'un côté CONTRE, VESUS, ET... enfant sujet de l'autre côté. Je ne cherche qu'à comprendre pourquoi les gens font ce qu'ils font. Dans le cas qui nous occupe, OK ces parents n'ont pas tout à fait jeté leurs enfants "comme on se débarrasse de vieilles chaussettes". C'est peut-être un peu plus compliqué. L'homme de la rue dira : ce sont "des tarés sans cœur"... Mais selon le cours magistral que je citais sur la psychologie clinique : ce sont plutôt de "pauvres" gens qui ont perdu cet investissement (son fantasme et son corollaire de plaisir) qui les faisaient "s'approprier" leurs enfants et sont tombés finalement dans l'indifférence totale - le sentiment de responsabilité - de ce qui pouvait leur arriver (avec un déni forcé ou total de ce qui pouvait leur arriver : l'enfant sujet, ces pauvres gosses qui courent derrière la voiture de leurs parents en clamant "Ne m'abandonne pas, maman!". Et pour rajouter au pathos : "Promis je serai sage! Je m'excuse, maman! On a besoin de toi! Mamaaaan !"). On n'est pas là pour rejeter l'opinion de quiconque : c'est juste un partage. On tentait seulement de résoudre l'équation : qu'est-ce qui a mené à ce processus de "dé-parentalisation"?!
 
Dernière édition:
Il faut accepter que certaines personnes font des enfants, juste parce que leur constitution corporelle le permet et qu'ils ne connaissent pas la contraception.

Certains, à l'arrivée de l'enfant, développe un sens des responsabilités. D'autres, ne développent rien du tout... au point où dans les cas extrêmes l'Etat va se substituer à eux pour assurer l'éducation des enfants.
 
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