Parfum tirées de ses paroles

Il n'y a pas une personne dans l'histoire qui a été attaquée autant que le fut le prophète Mohammed , il fut attaqué dans sa vie et même après sa mort , Pourtant une lecture sincère dans sa vie prouve que tout ce que disent ses détracteurs n'est que pur mensonge , voici quelques citations ( d'occidentaux ) :
Alphonse de Lamartine: Cet homme était-il un imposteur? Nous ne le pensons pas après avoir bien étudié son histoire.
Annie Besant : un des grands Messagers de l'Etre Suprême.
Georges Bernard Shaw: « J'ai étudié -le merveilleux homme- et à mon avis, loin d'être un Antéchrist, il mérite le titre de sauveur de l'humanité. »

Le prophète est donc la cible des attaques anti-islam , le but de ses détracteurs est de déformer son image de dissimuler le caractère merveilleux du prophète paix et bénédiction sur lui , dans ce qui suit vous trouverez la réponse à leurs mensonges que beaucoup ne cessent de répéter sans savoir qu'ils sont en train d'insulter l'homme que Dieu aime le plus :

« Et il en est parmi eux ceux qui font du tort au Prophète et disent : "Il est tout oreille". - Dis : "Une oreille pour votre bien. Il croit en Dieu et fait confiance aux croyants, et il est une miséricorde pour ceux d'entre vous qui croient. Et ceux qui font du tort au Messager de Dieu auront un châtiment douloureux » [Coran, sourate At-Tawbah 9:61]

Pourquoi le prophète Mohammed avait il plusieurs femmes

Plusieurs personnes cherchent n'importe quel moyen pour diminuer du prophète Mohammed, ils cherchent donc n'importe quel incident dans sa vie pour l'attaquer , quand il se marie ils sont fâchés , quand il divorce ils sont fâchés , ils ne seront jamais content même si le prophète ne s'était jamais marié .

Maintenant ils essaient de dire, le prophète s'est marié avec plusieurs femmes donc selon eux c'est un homme acharné de désir ... Mais regardons de plus prés ces mariages et cherchons ou est ce "désir" :

Avant le premier mariage :

Le prophète est resté 25 ans sans se marier , tout le monde reconnaissait en lui la pudeur et le respect et qu'il n'approcha jamais la fornication malgré que les moyens étaient fort disponibles en son temps , surtout pour un jeune homme !

Malgré tout cela le prophète ne commis jamais une erreur , ou est le désir dont ils parlent ?

Le premier mariage :

Quand il a eu 25 ans le prophète n'est pas allé chercher la jeune vierge qui serait plus attractif pour les chercheurs de plaisir , La première femme du prophète était une veuve de 40 ans , est ce cela le choix à faire d'un jeune de 25 ans qui serait selon eux assoiffé de désir ? en plus il est connu que c'est khadija qui l'a choisi après avoir touché en lui sa véracité et son honnêteté.

25 ans avec une seule femme!

Le prophète Mohammed a vécu 25 ans avec sa femme khadija qui était 15 ans plus âgée que lui ,jusqu'à ce qu'elle mourut ,et même après sa mort il la considéra toujours comme sa femme bien aimée , ces détracteurs trouvent-ils du désir acharné dans tout cela ? Louange à Dieu et que le salut soit sur son prophète exemple vivant de la fidélité et de l'honnêteté.

Les autres femmes (après les cinquantaines):

les autres mariages du prophète ne fut que soit pour renforcer une amitié ou pour aidée une pauvre veuve Quelques exemples::

Saudah Bint Zam’a était une veuve très âgée. Le prophète l'épousa lorsqu'elle avait 50 ans et pourvut pour elle.
Aicha était la fille de son ami le plus cher Abu Bakr , ceci permis de renforcer leur amitié , ce qui était coutume.
Oum-Salma bint Abi Umayyah était veuve et avait 4 petits enfants. Le prophète l'épousa et prit soin d'elle et de ses enfants. Elle avait 29 ans.

Ce ne sont là que quelques exemples du caractère charitable du prophète. Comme vous pouvez le voir, marier des femmes de 40 et 50 ans ne correspond pas vraiment au comportement d'un homme acharné de désir.

par qui l impremerie a ete inventé pas par un arabe, qui detient l imprimerie detient la connaissance des gens
 
Il n'y a pas une personne dans l'histoire qui a été attaquée autant que le fut le prophète Mohammed , il fut attaqué dans sa vie et même après sa mort , Pourtant une lecture sincère dans sa vie prouve que tout ce que disent ses détracteurs n'est que pur mensonge , voici quelques citations ( d'occidentaux ) :
Alphonse de Lamartine: Cet homme était-il un imposteur? Nous ne le pensons pas après avoir bien étudié son histoire.
Annie Besant : un des grands Messagers de l'Etre Suprême.
Georges Bernard Shaw: « J'ai étudié -le merveilleux homme- et à mon avis, loin d'être un Antéchrist, il mérite le titre de sauveur de l'humanité. »

Le prophète est donc la cible des attaques anti-islam , le but de ses détracteurs est de déformer son image de dissimuler le caractère merveilleux du prophète paix et bénédiction sur lui , dans ce qui suit vous trouverez la réponse à leurs mensonges que beaucoup ne cessent de répéter sans savoir qu'ils sont en train d'insulter l'homme que Dieu aime le plus :

« Et il en est parmi eux ceux qui font du tort au Prophète et disent : "Il est tout oreille". - Dis : "Une oreille pour votre bien. Il croit en Dieu et fait confiance aux croyants, et il est une miséricorde pour ceux d'entre vous qui croient. Et ceux qui font du tort au Messager de Dieu auront un châtiment douloureux » [Coran, sourate At-Tawbah 9:61]

Pourquoi le prophète Mohammed avait il plusieurs femmes

Plusieurs personnes cherchent n'importe quel moyen pour diminuer du prophète Mohammed, ils cherchent donc n'importe quel incident dans sa vie pour l'attaquer , quand il se marie ils sont fâchés , quand il divorce ils sont fâchés , ils ne seront jamais content même si le prophète ne s'était jamais marié .

Maintenant ils essaient de dire, le prophète s'est marié avec plusieurs femmes donc selon eux c'est un homme acharné de désir ... Mais regardons de plus prés ces mariages et cherchons ou est ce "désir" :

Avant le premier mariage :

Le prophète est resté 25 ans sans se marier , tout le monde reconnaissait en lui la pudeur et le respect et qu'il n'approcha jamais la fornication malgré que les moyens étaient fort disponibles en son temps , surtout pour un jeune homme !

Malgré tout cela le prophète ne commis jamais une erreur , ou est le désir dont ils parlent ?

Le premier mariage :

Quand il a eu 25 ans le prophète n'est pas allé chercher la jeune vierge qui serait plus attractif pour les chercheurs de plaisir , La première femme du prophète était une veuve de 40 ans , est ce cela le choix à faire d'un jeune de 25 ans qui serait selon eux assoiffé de désir ? en plus il est connu que c'est khadija qui l'a choisi après avoir touché en lui sa véracité et son honnêteté.

25 ans avec une seule femme!

Le prophète Mohammed a vécu 25 ans avec sa femme khadija qui était 15 ans plus âgée que lui ,jusqu'à ce qu'elle mourut ,et même après sa mort il la considéra toujours comme sa femme bien aimée , ces détracteurs trouvent-ils du désir acharné dans tout cela ? Louange à Dieu et que le salut soit sur son prophète exemple vivant de la fidélité et de l'honnêteté.

Les autres femmes (après les cinquantaines):

les autres mariages du prophète ne fut que soit pour renforcer une amitié ou pour aidée une pauvre veuve Quelques exemples::

Saudah Bint Zam’a était une veuve très âgée. Le prophète l'épousa lorsqu'elle avait 50 ans et pourvut pour elle.
Aicha était la fille de son ami le plus cher Abu Bakr , ceci permis de renforcer leur amitié , ce qui était coutume.
Oum-Salma bint Abi Umayyah était veuve et avait 4 petits enfants. Le prophète l'épousa et prit soin d'elle et de ses enfants. Elle avait 29 ans.

Ce ne sont là que quelques exemples du caractère charitable du prophète. Comme vous pouvez le voir, marier des femmes de 40 et 50 ans ne correspond pas vraiment au comportement d'un homme acharné de désir.

rien ne prouve que le prophete a eu 11 femmes ces pas dans le coran, le reste n est que fabulation de notre
chere ami gutenberg qui a vecu au 14 siecle si ma memoire est bonne donc ca fait deja 600 ans on a eu largement
le temps d ecrire des bande dessinées
 
Il n'y a pas une personne dans l'histoire qui a été attaquée autant que le fut le prophète Mohammed , il fut attaqué dans sa vie et même après sa mort , Pourtant une lecture sincère dans sa vie prouve que tout ce que disent ses détracteurs n'est que pur mensonge , voici quelques citations ( d'occidentaux ) :
Alphonse de Lamartine: Cet homme était-il un imposteur? Nous ne le pensons pas après avoir bien étudié son histoire.
Annie Besant : un des grands Messagers de l'Etre Suprême.
Georges Bernard Shaw: « J'ai étudié -le merveilleux homme- et à mon avis, loin d'être un Antéchrist, il mérite le titre de sauveur de l'humanité. »


Excellent d'avoir cité GB Shaw. C'est comme dire que Winston Churchill était un sportif. Voilà une citation de GB Shaw. L'alcool est un produit très nécessaire... Il permet au Parlement de prendre à onze heures du soir des décisions qu'aucun homme sensé ne prendrait à onze heures du matin. La tienne est du pipeau, elle n'existe pas. Vas y cherche.
Par contre en voilà de réelles.
"L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles (…) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde." Winston Churchill
"Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." Chateaubriand
"C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l'a fondée." Montesquieu
 
Il n'y a pas une personne dans l'histoire qui a été attaquée autant que le fut le prophète Mohammed , il fut attaqué dans sa vie et même après sa mort , Pourtant une lecture sincère dans sa vie prouve que tout ce que disent ses détracteurs n'est que pur mensonge , voici quelques citations ( d'occidentaux ) :
Alphonse de Lamartine: Cet homme était-il un imposteur? Nous ne le pensons pas après avoir bien étudié son histoire.
Annie Besant : un des grands Messagers de l'Etre Suprême.
Georges Bernard Shaw: « J'ai étudié -le merveilleux homme- et à mon avis, loin d'être un Antéchrist, il mérite le titre de sauveur de l'humanité. »

Le prophète est donc la cible des attaques anti-islam , le but de ses détracteurs est de déformer son image de dissimuler le caractère merveilleux du prophète paix et bénédiction sur lui , dans ce qui suit vous trouverez la réponse à leurs mensonges que beaucoup ne cessent de répéter sans savoir qu'ils sont en train d'insulter l'homme que Dieu aime le plus :

« Et il en est parmi eux ceux qui font du tort au Prophète et disent : "Il est tout oreille". - Dis : "Une oreille pour votre bien. Il croit en Dieu et fait confiance aux croyants, et il est une miséricorde pour ceux d'entre vous qui croient. Et ceux qui font du tort au Messager de Dieu auront un châtiment douloureux » [Coran, sourate At-Tawbah 9:61]

Pourquoi le prophète Mohammed avait il plusieurs femmes

Plusieurs personnes cherchent n'importe quel moyen pour diminuer du prophète Mohammed, ils cherchent donc n'importe quel incident dans sa vie pour l'attaquer , quand il se marie ils sont fâchés , quand il divorce ils sont fâchés , ils ne seront jamais content même si le prophète ne s'était jamais marié .

Maintenant ils essaient de dire, le prophète s'est marié avec plusieurs femmes donc selon eux c'est un homme acharné de désir ... Mais regardons de plus prés ces mariages et cherchons ou est ce "désir" :

Avant le premier mariage :

Le prophète est resté 25 ans sans se marier , tout le monde reconnaissait en lui la pudeur et le respect et qu'il n'approcha jamais la fornication malgré que les moyens étaient fort disponibles en son temps , surtout pour un jeune homme !

Malgré tout cela le prophète ne commis jamais une erreur , ou est le désir dont ils parlent ?

Le premier mariage :

Quand il a eu 25 ans le prophète n'est pas allé chercher la jeune vierge qui serait plus attractif pour les chercheurs de plaisir , La première femme du prophète était une veuve de 40 ans , est ce cela le choix à faire d'un jeune de 25 ans qui serait selon eux assoiffé de désir ? en plus il est connu que c'est khadija qui l'a choisi après avoir touché en lui sa véracité et son honnêteté.

25 ans avec une seule femme!

Le prophète Mohammed a vécu 25 ans avec sa femme khadija qui était 15 ans plus âgée que lui ,jusqu'à ce qu'elle mourut ,et même après sa mort il la considéra toujours comme sa femme bien aimée , ces détracteurs trouvent-ils du désir acharné dans tout cela ? Louange à Dieu et que le salut soit sur son prophète exemple vivant de la fidélité et de l'honnêteté.

Les autres femmes (après les cinquantaines):

les autres mariages du prophète ne fut que soit pour renforcer une amitié ou pour aidée une pauvre veuve Quelques exemples::

Saudah Bint Zam’a était une veuve très âgée. Le prophète l'épousa lorsqu'elle avait 50 ans et pourvut pour elle.
Aicha était la fille de son ami le plus cher Abu Bakr , ceci permis de renforcer leur amitié , ce qui était coutume.
Oum-Salma bint Abi Umayyah était veuve et avait 4 petits enfants. Le prophète l'épousa et prit soin d'elle et de ses enfants. Elle avait 29 ans.

Ce ne sont là que quelques exemples du caractère charitable du prophète. Comme vous pouvez le voir, marier des femmes de 40 et 50 ans ne correspond pas vraiment au comportement d'un homme acharné de désir.

Pourquoi tu ne nous parles pas de Saffya bint Houyay. Elle avait 17 ans quand Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim a fait tuer son mari Kinana et toute sa tribu y compris son père et se l'est appropriée pour en auser sur le chemin du retour.(voir At Tabari et cie. Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim lui avait 58 ans. Et tu dis qu'il n'aimait pas la chair fraiche. Après la mort de Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim Saffya a dit qu'elle n'avait jamais détesté un homme comme elle avait détesté cet homme. Quand on veut être véridique on note tout, on ne ment pas par omission.
 
le Coran
Total
dans
les sunnites
Interprétation du Coran
Tels que le nombre d'épouses du Prophète
Nombre de prières dans l'Islam
\\\\\\

Elle s’appelle Safiyyah Bint Huyay Ibn Akhtab Ibn Sa`yah Ibn Tha`labah Ibn `Ubayd Ibn Ka`b Ibn Al-Khazraj Ibn Abî Habîb Ibn An-Nadîr Ibn An-Nahâm - on dit aussi Ibn Nâkhûm, ou encore Yankhûm, ou enfin Nakhûm. Ils descendaient des enfants d’Israël de la lignée de Lévi fils de Jacob puis de Hârûn (Aaron) le frère de Moïse. Sa mère s’appelle Burrah Bint Samuel. Elle fut l’épouse de Mishkam le juif puis de Khalaf.
Safiyyah Bint Huyayy - que Dieu soit satisfait d’elle - épousa le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - en l’an 7 de l’Hégire. Elle avait alors dix sept ans et lui soixante. Son mariage, comme pour Juwayriyyah Bint Al-Hârith, eut lieu après une grande bataille de l’Islam, en l’occurrence celle de Khaybar.
Bilâl faisait partie de cette expédition. A la fin du combat, il présenta deux femmes au Prophète - paix et bénédictions sur lui. Sur leur chemin, lui et ses deux prisonnières avaient dû traverser le champ de bataille et passer près des guerriers tués pendant le combat. L’une des femmes hurlait et se couvrait le visage de poussière alors que l’autre était muette d’effroi.


La deuxième femme n’était autre que Safiyyah, la fille de Huyayy Ibn Akhtab, le chef des Banû An-Nadîr qui avaient été expulsés de Médine en l’an 4 de l’Hégire pour avoir comploté contre le Prophète (ils avaient projeté de le tuer en laissant tomber une pierre sur sa tête alors qu’il discutait avec leurs chefs). Par ailleurs, Safiyyah était une descendante de Hâroun, le frère du Prophète Moise - que la paix soit sur eux. La femme bruyante qui l’accompagnait était sa cousine.
Le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - demanda à ce que l’on s’occupe de la cousine et plaça la cape qu’il portait sur les épaules de Safiyyah dont l’époux venait d’être tué pendant la bataille. C’était un simple geste de compassion, mais à partir de ce moment-là, elle fut honorée et tenue en haute estime par la communauté musulmane. Le Prophète - paix et bénédictions sur lui - se tourna ensuite vers Bilâl et lui dit : " Bilâl, est-ce qu’Allah a enlevé toute pitié de ton cœur pour que tu fasses passer ces femmes à l’endroit même où leurs hommes ont été tués ? " A en juger les rares critiques que le Messager d’Allah - paix et bénédictions sur lui - émettait sur le comportement de ceux qui le servaient, il s’agissait là d’une sévère réprimande. Anas Ibn Mâlik racontait : " J’ai servi le Messager d’Allah - paix et bénédictions sur lui - pendant huit ans. Pas une seule fois il ne m’a fait de reproche sur ce que j’avais fait ou ce que je n’avais pas fait. "


Tout comme Umm Habîbah, Safiyyah était la fille d’un grand chef. Seul le Prophète - paix et bénédictions sur lui - pouvait empêcher qu’elle passe d’un haut rang à celui d’esclave. Bien que son père ait planifié l’assassinat de Muhammad - paix et bénédictions sur lui - après la bataille de Uhud et qu’il ait comploté avec les Banû Quraydhah l’extermination de tous les Musulmans pendant la bataille du Fossé, le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - ne nourrissait aucun sentiment d’inimité. Pour ceux qui déviaient, il ressentait de la pitié plutôt que de la colère et pour les innocents, il éprouvait davantage de compassion.
 
Safiyyah accepta immédiatement l’invitation à l’Islam du Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui. Une fois affranchie, il l’épousa. Certains peuvent se demander comment Safiyyah put accepter l’Islam et épouser le Prophète - paix et bénédictions sur lui - alors que son père avait été un ennemi acharné et que le sang avait abondamment coulé entre Juifs et Musulmans. On peut trouver des éléments de réponse dans ce que Safiyyah relatait de sa jeunesse en tant que fille du chef des Banû An-Nadîr.
Elle - qu’Allah soit satisfait d’elle - disait : " J’étais la favorite de mon père et de mon oncle Yâsir. Chaque fois que j’étais en compagnie de l’un de leurs enfants, ils me portaient dans leurs bras. Quand le Messager d’Allah - paix et bénédictions sur lui - arriva à Médine, mon père et mon oncle allèrent le voir. C’était très tôt le matin, entre l’aube et le lever du soleil. Ils revinrent bien plus tard. Ils étaient complètement usés et déprimés, et rentraient d’un pas lourd et lent. Je leur souris comme toujours, mais ni l’un ni l’autre ne fit attention à moi parce qu’ils étaient si misérables. J’ai entendu Abû Yâsir demander à mon père :
" - Est-ce lui ?
- Oui c’est bien lui.
- L’as-tu reconnu ? En es-tu sûr ?
- Oh oui ! Je ne l’ai que trop bien reconnu.
- Qu’éprouves-tu à son égard ?
- De l’hostilité ! De l’hostilité à jamais. "
Cette conversation fait évidemment référence à la Torah des Juifs. Elle prédisait la venue d’un Prophète qui allait mener ceux qui le suivraient à la victoire. Avant l’arrivée du Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - à Médine, les Juifs avaient pour habitude de menacer les adorateurs d’idoles de Yathrib à la venue du Messie. Avec lui, ils prétendaient exterminer les tribus qui refusaient de croire en Dieu. Le Prophète Jésus - paix et bénédictions sur lui - avait été clairement décrit dans la Torah sans pour autant être accepté par les Juifs quand il vint à eux. De même, la Torah décrivait clairement le dernier Prophète de sorte que les Juifs puissent le reconnaître aisément. Ainsi Ka`b Al-Ahbâr, l’un des Juifs de l’époque qui avait embrassé l’Islam racontait que ce Prophète était décrit dans la Torah en ces termes :

" Mon serviteur, Ahmad, l’Elu, naîtra à la Mecque puis émigrera vers Médine (ou Tayyibah - une des autres appellations de Yathrib). Sa communauté sera celle qui louera Allah à tout moment."
`Amr Ibn Al-`Âs rapportait qu’on peut lire aussi dans la Torah : " O Prophète, Nous t’avons envoyé afin que tu témoignes, que tu apportes la bonne nouvelle, que tu mettes en garde et que tu sois un refuge pour les illettrés. Tu es Mon serviteur et Mon messager. J’ai fait de toi un soutien pour les gens. Tu n’es ni grossier ni vulgaire, tu ne colportes pas les commérages, tu ne réponds pas au mal par le mal, tu absous plutôt et pardonnes. Allah ne le rappellera à Lui avant d’avoir redréssé la communauté déviante. Ce jour-là, elle dira : " Il n’y a d’autre dieu que Lui. " Avec lui, les aveugles verront, les sourds entendront et les cœurs scellés s’ouvriront. "
 
Ces passages de la Torah ont convaincu le plus érudit des rabbins juifs, `Abdullah Ibn Salâm d’embrasser l’Islam lorsqu’il vit Muhammad - paix et bénédictions sur lui. Ce sont également ces détails qui avaient permis à Huyayy Ibn Akhtab de le reconnaître. Toutefois, Huyayy comme la majorité des Juifs était profondément déçu que le dernier Prophète - paix et bénédictions sur lui - soit un descendant d’Isma’il et non d’Ishâq (à savoir les deux fils du Prophète Ibrâhîm, que la paix soit sur eux). Ils proclamaient être les descendants exclusifs d’Ishâq, par son fils, Ya`qâb (connu également sous le nom d’Israël), qui eut douze fils donnant les douze tribus d’Israël.
Au-delà du refus de l’origine du dernier Prophète, Huyayy n’appréciait pas l’idée de perdre son emprise et son pouvoir sur son peuple. C’est pourquoi il était déterminé à secrètement lutter contre le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui. Lui et les autres chefs juifs concluaient, en effet, des traités de paix avec les Musulmans et se hâtaient de les rompre aussitôt que cela leur semblait favorable de le faire.


Malgré sa parenté avec Huyayy, Safiyyah avait un cœur pur. Elle avait toujours souhaité adorer son Créateur et Seigneur, Celui qui avait envoyé Moise, Jésus, et enfin Muhammad (que la paix soit sur eux tous). Ainsi, saisit-elle immédiatement l’occasion de suivre le dernier Prophète et de l’épouser. Safiyyah avait certes trouvé en Muhammad - paix et bénédictions sur lui - le plus doux et le plus prévenant des époux, sans pour autant être bien acceptée par ses autres épouses, particulièrement à son arrivée. Anas rapporta qu’un jour le Prophète - paix et bénédictions sur lui - trouva Safiyyah en train de pleurer. Quand il l’interrogea sur la cause de ses larmes, elle répondit qu’elle avait entendu Hafsah la décrire de façon peu flatteuse comme " une fille de Juif ".
Le Prophète - paix et bénédictions sur lui - rétorqua : " Tu es assurément la fille d’un Prophète (Hâroun), la nièce d’un Prophète (Moise), et l’épouse d’un Prophète (Muhammad). Y-a-t-il là de quoi être méprisant à ton égard ? " Il dit ensuite à Hafsah : " Ô Hafsah, crains Dieu ! "


Un jour, le Prophète voyageait en compagnie de Safiyyah et de Zaynab Bint Jahsh. Le chameau de Safiyyah se blessa. Zaynab ayant un chameau supplémentaire, le Prophète lui demanda de le donner à Safiyyah . Zaynab répondit : " Devrais-je donner à cette Juive ? " De colère, le Prophète - paix et bénédictions sur lui - se détourna d’elle pendant deux ou trois mois afin de lui exprimer son désaccord. Quelques trois années plus tard, quand Muhammad - paix et bénédictions sur lui - arrivait au terme de sa vie, Safiyyah compatissait profondément et sincèrement : " Ô Messager d’Allah, si seulement je pouvais souffrir à ta place. " Certaines de ses épouses la prirent à la légère ce qui agaça le Prophète. Il s’exclama : " Par Allah, elle dit vrai ! "

Même après la mort du Prophète - paix et bénédictions sur lui, elle connut de moments difficiles. Une de ses esclaves alla trouver le Commandeur des Croyants Omar pour lui dire : " Ô Commandeur des Croyants ! Safiyyah aime le shabbat et elle conserve des liens avec les Juifs ! " Omar s’en enquit auprès de Safiyyah qui lui répondit : "Je n’aime plus le shabbat depuis qu’Allah l’a remplacé par le vendredi. Les seuls contacts que j’aie conservés avec les Juifs sont ceux de ma famille." Elle interrogea sa servante pour savoir ce qui l’avait poussée à mentir à Omar. Elle répondit : "C’est le diable" Alors Safiyyah l’affranchit.
Safiyyah vécut avec le Prophète - paix et bénédictions sur lui - pendant environ quatre ans. Elle n’avait que vingt et un ans quand le Prophète - paix et bénédictions sur lui - mourut. Elle resta veuve les trente neuf années qui suivirent. Elle décéda à son tour en l’an 50 de l’Hégire à l’âge de soixante ans - puisse Dieu être satisfait d’elle.
 
le Coran
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les sunnites
Interprétation du Coran
Tels que le nombre d'épouses du Prophète
Nombre de prières dans l'Islam
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Elle s’appelle Safiyyah Bint Huyay Ibn Akhtab Ibn Sa`yah Ibn Tha`labah Ibn `Ubayd Ibn Ka`b Ibn Al-Khazraj Ibn Abî Habîb Ibn An-Nadîr Ibn An-Nahâm - on dit aussi Ibn Nâkhûm, ou encore Yankhûm, ou enfin Nakhûm. Ils descendaient des enfants d’Israël de la lignée de Lévi fils de Jacob puis de Hârûn (Aaron) le frère de Moïse. Sa mère s’appelle Burrah Bint Samuel. Elle fut l’épouse de Mishkam le juif puis de Khalaf.
Safiyyah Bint Huyayy - que Dieu soit satisfait d’elle - épousa le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - en l’an 7 de l’Hégire. Elle avait alors dix sept ans et lui soixante. Son mariage, comme pour Juwayriyyah Bint Al-Hârith, eut lieu après une grande bataille de l’Islam, en l’occurrence celle de Khaybar.
Bilâl faisait partie de cette expédition. A la fin du combat, il présenta deux femmes au Prophète - paix et bénédictions sur lui. Sur leur chemin, lui et ses deux prisonnières avaient dû traverser le champ de bataille et passer près des guerriers tués pendant le combat. L’une des femmes hurlait et se couvrait le visage de poussière alors que l’autre était muette d’effroi.


La deuxième femme n’était autre que Safiyyah, la fille de Huyayy Ibn Akhtab, le chef des Banû An-Nadîr qui avaient été expulsés de Médine en l’an 4 de l’Hégire pour avoir comploté contre le Prophète (ils avaient projeté de le tuer en laissant tomber une pierre sur sa tête alors qu’il discutait avec leurs chefs). Par ailleurs, Safiyyah était une descendante de Hâroun, le frère du Prophète Moise - que la paix soit sur eux. La femme bruyante qui l’accompagnait était sa cousine.
Le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - demanda à ce que l’on s’occupe de la cousine et plaça la cape qu’il portait sur les épaules de Safiyyah dont l’époux venait d’être tué pendant la bataille. C’était un simple geste de compassion, mais à partir de ce moment-là, elle fut honorée et tenue en haute estime par la communauté musulmane. Le Prophète - paix et bénédictions sur lui - se tourna ensuite vers Bilâl et lui dit : " Bilâl, est-ce qu’Allah a enlevé toute pitié de ton cœur pour que tu fasses passer ces femmes à l’endroit même où leurs hommes ont été tués ? " A en juger les rares critiques que le Messager d’Allah - paix et bénédictions sur lui - émettait sur le comportement de ceux qui le servaient, il s’agissait là d’une sévère réprimande. Anas Ibn Mâlik racontait : " J’ai servi le Messager d’Allah - paix et bénédictions sur lui - pendant huit ans. Pas une seule fois il ne m’a fait de reproche sur ce que j’avais fait ou ce que je n’avais pas fait. "


Tout comme Umm Habîbah, Safiyyah était la fille d’un grand chef. Seul le Prophète - paix et bénédictions sur lui - pouvait empêcher qu’elle passe d’un haut rang à celui d’esclave. Bien que son père ait planifié l’assassinat de Muhammad - paix et bénédictions sur lui - après la bataille de Uhud et qu’il ait comploté avec les Banû Quraydhah l’extermination de tous les Musulmans pendant la bataille du Fossé, le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - ne nourrissait aucun sentiment d’inimité. Pour ceux qui déviaient, il ressentait de la pitié plutôt que de la colère et pour les innocents, il éprouvait davantage de compassion.
comment peut on verifier tout ces dires avec preuve concrète
 
En effet, une personne peut transformer toutes ses actions quotidiennes en actes d’adoration en purifiant son intention et en recherchant de manière sincère, à travers ces actions, la seule et unique satisfaction de Dieu.
Le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :
« Aider une personne à grimper sur sa monture ou à y installer ses effets est un acte de charité. Une bonne parole est une charité. Chaque pas que vous faites pour aller accomplir vos prières est une charité. Retirer un obstacle du chemin est une charité. » (Sahih al-Boukhari)


Gagner sa vie est aussi une action qui peut être rétribuée par Dieu. Une fois, les compagnons du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) virent un homme dont l’ardeur et le zèle au travail forçaient l’admiration. Ils dirent : « Si seulement il travaillait aussi fort pour la satisfaction de Dieu... ». Le Prophète répondit :
« S’il travaille pour subvenir aux besoins de ses jeunes enfants, c’est pour la satisfaction de Dieu. S’il travaille pour subvenir aux besoins de ses parents âgés, c’est pour la satisfaction de Dieu. S’il travaille pour éviter l’oisiveté et les vices qui l’accompagnent, c’est pour la satisfaction de Dieu. Si, cependant, il travaille par ostentation et pour se faire une réputation, alors il travaille pour Satan. » (al-Moudhiri, as-Souyouti)


Une personne peut être rétribuée même pour les gestes qui vont de soi, s’ils sont accompagnés de la bonne intention. Le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :
« Lorsque l’un de vous a des rapports avec son épouse, c’est un acte de charité. » (Sahih Mouslim)
C’est également le cas d’actions quotidiennes comme manger, dormir et travailler, de même que des traits de bon caractère comme la franchise, l’honnêteté, la générosité, le courage et l’humilité. Ces actions, si elles sont accompagnées de la bonne intention, se transforment en actes d’adoration et d’obéissance envers Dieu.


Pour que ces actions quotidiennes méritent une rétribution divine, elles doivent répondre aux conditions suivantes :
A. Elles doivent être licites. S’il s’agit d’actions interdites par Dieu, la personne qui les commet risque d’être châtiée. Le Messager de Dieu a dit :
« Dieu est pur et bon, et Il n’accepte que ce qui est pur et bon. » (Sahih Mouslim)
B. Ces actions doivent être conformes à la Loi islamique. La tromperie, l’oppression et l’injustice ne doivent pas en faire partie. Le Messager de Dieu a dit :
« Celui qui trompe [les autres] n’est pas des nôtres. » (sahih Mouslim)

C. Ces actions ne doivent pas empêcher la personne de remplir ses obligations religieuses. Dieu dit, dans le Coran :
« Ô vous qui croyez! Ne laissez pas vos biens et vos enfants vous distraire du rappel de Dieu. Ceux qui s’en laissent distraire, ce sont eux les perdants. » (Coran 63:9)
Ces deux articles nous ont fait découvrir à quel point ce hadith est important, de même que son rôle dans le concept d’acceptabilité des actions et de leur rétribution par Dieu. Ce hadith nous fait également comprendre que le concept d’adoration, en islam, ne se limite pas au fait d’accomplir certains actes rituels ordonnés par Dieu, mais englobe toute la vie du musulman, faisant ainsi de lui un véritable serviteur de Dieu.



une vrai musulmane n est pas obliger de montrer son visage pour prouver sa religion
c est du n importe quoi tout ca
la decadence qui se compare a la debauche
 
le Coran
Total
dans
les sunnites
Interprétation du Coran
Tels que le nombre d'épouses du Prophète
Nombre de prières dans l'Islam
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Elle s’appelle Safiyyah Bint Huyay Ibn Akhtab Ibn Sa`yah Ibn Tha`labah Ibn `Ubayd Ibn Ka`b Ibn Al-Khazraj Ibn Abî Habîb Ibn An-Nadîr Ibn An-Nahâm - on dit aussi Ibn Nâkhûm, ou encore Yankhûm, ou enfin Nakhûm. Ils descendaient des enfants d’Israël de la lignée de Lévi fils de Jacob puis de Hârûn (Aaron) le frère de Moïse. Sa mère s’appelle Burrah Bint Samuel. Elle fut l’épouse de Mishkam le juif puis de Khalaf.
Safiyyah Bint Huyayy - que Dieu soit satisfait d’elle - épousa le Prophète Muhammad - paix et bénédictions sur lui - en l’an 7 de l’Hégire. Elle avait alors dix sept ans et lui soixante. Son mariage, comme pour Juwayriyyah Bint Al-Hârith, eut lieu après une grande bataille de l’Islam, en l’occurrence celle de Khaybar.
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Une juive? Comment se fait il que pas un livre juif ne relate l'histoire de cette femme merveilleuse qui a épousé
Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim alors que son mari,Ibn Abul Huqayq. son père et toute sa tribu venaient d'être égorgés par les musulmans.,
Une femme qui après la mort de Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim selon un livre intitulé Dala’il al Nubuwwah par l’Imam al Bayhaqi vol. 4, page 230, oil est écrit que Safiya a dit:
Je haïssais le messager d’Allah plus que quiconque – il avait tué mon mari et mon père, et ne cessait de chercher des excuses.
Un autre récit de la batail de khybar par le grand Al Bukhari Volume 1, Livre 8, numéro 367]Relaté par 'Abdul' Aziz :
Anas a dit, ' Quand l'Apôtre d'Allah a envahi Khaibar, nous avons offert la prière Fajr là-bas tôt le matin) quand il faisait toujours sombre. Le Prophète est monté à dos de chameau et Abu Talha aussi et je suivais derrière Abu Talha. Le Prophète est passé par la ruelle de Khaibar rapidement et mon genou a touché la cuisse du Prophète. Il a découvert sa cuisse et j'ai vu la blancheur de la cuisse du Prophète. Quand il est entré dans la ville, il a dit, ' Allahu Akbar! Khaibar est détruite. A chaque fois que nous nous approchons près d'une nation (hostile) (pour nous battre) alors le diable sera là dès le matin pour les avertir. ' Il l'a répété trois fois. Les gens sont partis à leurs travails et certains d'entre eux ont dit, ' Muhammad (est venu). ' (Certains de nos compagnons ont ajouté, "Avec son armée.") Nous avons vaincu Khaibar, pris les captifs et le butin a été rassemblé. Dihya est venu et a dit, 'O Prophète d'Allah ! Donnez-moi une fille esclave parmis les captifs. ' Le Prophète a dit, ' Allez et prenez n'importe quelle fille esclave. ' Il a pris Safiya bint Huyai. Un homme est venu au Prophète et a dit, ' O Apôtre d'Allah ! Vous avez donné Safiya bint Huyai à Dihya et elle est la maîtresse du chef de la tribu des Quraiza et d'An-Nadir et elle ne convient à personne, sauf à vous. ' Donc le Prophète a dit, 'dite lui de venir avec elle. ' Ainsi Dihya est venu avec elle et quand le Prophète l'a vue, il a dit à Dihya, ' Prenez n'importe quelle fille esclave parmis les captifs sauf elle. ' Anas a ajouté : le Prophète l’a affranchis de sa condition d’esclave et l'a épousée. "
J’espère que tu as fait une bonne lecture. Dans "Sirat Rassul Allah tu as aussi le détail des tortures subit par Kinana avant son éxécution sur ordre de Abū al-Qāsim Muḥammad ibn ʿAbd Allāh ibn ʿAbd al-Muṭṭalib ibn Hāshim par ibn Maslimah qui le décapita, et bien d'autres choses aussi réjouissantes.
 
Le dernier sermon
Après avoir loué et remercié Dieu, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a déclaré :
« Ô peuple! Écoutez-moi attentivement, car je ne sais pas si, après cette année-ci, je serai encore parmi vous. Écoutez, donc, ce que je vous dis avec beaucoup d’attention et transmettez ce message à ceux qui ne pouvaient être présents parmi nous aujourd’hui.

« Ô peuple! Tout comme vous considérez ce mois, ce jour, cette cité comme sacrés, considérez aussi la vie et les biens de chaque musulman comme sacrés. Retournez à leurs légitimes propriétaires les biens qui vous ont été confiés. Ne blessez personne afin que personne ne puisse vous blesser.


Souvenez-vous qu’en vérité, vous rencontrerez votre Seigneur et qu’effectivement, Il vous demandera compte de vos actes. Dieu vous a défendu de pratiquer l’usure [de prendre ou payer de l’intérêt], donc tout intérêt non-payé sera maintenant annulé. Votre capital, cependant, vous revient. Vous n’infligerez ni d’endurerez aucune injustice. Dieu a décidé de rendre l’intérêt illicite, et tout intérêt qui était dû à Abbas ibn Abd’al Mouttalib sera maintenant annulé.


« Méfiez-vous de Satan, pour le salut de votre religion. Il a perdu tout espoir de ne pouvoir jamais vous amener à commettre les grands péchés; attention, donc, à ne pas le suivre dans les péchés mineurs.
« Ô peuple! Il est vrai que vous avez certains droits à l’égard de vos femmes, mais elles aussi ont des droits sur vous. Souvenez-vous que c’est par la permission de Dieu que vous les avez prises pour épouses et que c’est Dieu qui vous les a confiées. Si elles respectent vos droits, alors à elles appartient le droit d’être nourries et habillées convenablement. Traitez donc bien vos femmes et soyez gentils envers elles,


car elles sont vos partenaires et elles sont dévouées envers vous. Il est de votre droit qu’elles ne se lient pas d’amitié avec des gens que vous n’approuvez pas, et qu’elles ne commettent jamais l’adultère.


« Ô peuple! Écoutez-moi bien : adorez Dieu, faites vos cinq prières quotidiennes, jeûnez pendant le mois de Ramadan, et donnez votre richesse en zakat. Accomplissez le Hajj si vous en avez les moyens. Toute l’humanité descend d’Adam et Ève. Un Arabe n’est point supérieur à un non-Arabe, et un non-Arabe n’est point supérieur à un Arabe; et les Blancs ne sont point supérieurs aux Noirs, de même que les Noirs ne sont point supérieurs aux Blancs.

Aucune personne n’est supérieure à une autre, si ce n’est en piété et en bonnes actions. Vous savez que chaque musulman est le frère de tous les autres musulmans. Vous êtes tous égaux. Vous n’avez aucun droit sur les biens appartenant à l’un de vos frères, à moins qu’on ne vous ait fait un don librement et de plein gré. Par conséquent, ne soyez pas injustes les uns envers les autres.


« Souvenez-vous, un jour vous vous présenterez devant Dieu et répondrez de vos actes. Prenez garde, donc, ne vous écartez pas du droit chemin après ma mort. Ô peuple! Aucun prophète ni messager ne viendra après moi, et aucune nouvelle religion ne naîtra. »
« Raisonnez bien, ô peuple, et comprenez bien les mots que je vous transmets. Je laisse derrière moi deux choses : le Coran et mon exemple, la Sounnah. Et si vous les suivez, jamais vous ne vous égarerez.
« Que tous ceux qui m’écoutent transmettent ce message à d’autres, et ceux-là à d’autres encore; et que les derniers puissent le comprendre mieux que ceux qui m’écoutent directement. Sois témoin, ô Dieu, que j’ai transmis Ton message à Tes serviteurs. »


C’est ainsi que le Prophète termina son dernier sermon et, alors qu’il se tenait près du sommet de Arafat, le verset suivant lui fut révélé :
« … Aujourd’hui, J’ai parfait votre religion pour vous et J’ai accompli Mon bienfait sur vous. Et J’ai choisi l’islam comme religion pour vous. » (Coran 5:3)
De nos jours encore, le dernier sermon du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) est transmis à chaque musulman partout à travers le monde et par divers moyens de communication.


On le rappelle aux musulmans dans les mosquées et lors de conférences. En fait, les différents messages que renferme ce sermon concernent certains des droits les plus importants de Dieu sur l’humanité, et des hommes les uns sur les autres. Bien que le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) ait quitté ce monde, ses paroles demeurent toujours bien vivantes dans nos cœurs.



 
L’évènement de Israa wa Miiraj voyage nocturne et l’ascension
Le Messager r venait de perdre sa très aimée femme Khadija, source de confort et de soutien. Son oncle Abu Talib, son "second père" un soutient qui le défendait des attaques vicieuses de ses ennemis était lui aussi parti. Sa mission à Taif était pour lui une grande déception. Il avait essayé d'inviter des gens à l'Islam, mais dans une vengeance haineuse et humiliante, ils avaient envoyé leurs enfants après lui, lui jetant des pierres jusqu'à le faire saigner. C'était sincèrement l'année de la tristesse.
C'est alors qu’Allah a voulu honorer son Prophète Mohammed r et le conduire au ciel dans un miraculeux et profond voyage terrestre (Isrâ) voyage nocturne puis céleste (Mi’raj) l’ascension.
Cela c'est déroulé le 27ème jour du mois du Rajab. Il n’est pas nécessaire de distinguer ce jour ou cette nuit par n’importe quel acte d’adoration ou d’y célébrer une fête, mais juste de rappeler cet événement important qui fait partie de notre foi. Ce n’est pas un mythe mais une réalité, un miracle de Dieu pour honorer son Prophète bien aimé.
Le mois de Rajab fait partie des quatre mois sacrés. Il y a des Hadiths qui parlent de ses mérites. Le Messager (r) disait quand il voyait le croissant annonçant le début de ce mois sacré : « Oh Allah ! Béni pour nous le mois de Radjab et de Cha'bân et fais nous parvenir au mois de Ramadhân. »
Ce miracle fut une invitation adressée à Son bien-aimé serviteur Muhammad (r), la plus parfaite des créatures, par Le Miséricordieux. Allah a voulu l’honoré et lui fait voir réellement le monde extraordinaire du ciel pour que ce bas monde soit négligeable pour lui.
Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux. : [1] Gloire à Celui qui fit voyager de nuit Son Serviteur de la Mosquée sacrée à la Mosquée la plus éloignée dont Nous avons béni les alentours, afin de lui faire découvrir certains de Nos signes ! Dieu est, en vérité, l’Audient et le Clairvoyant. » 17. Sourate du Voyage nocturne (Al-Isrâ’)
Dans un autre verset Allah nous parle de l’ascension :
« [12] Allez-vous donc lui contester ce qu’il a de ses propres yeux vu, [13] et alors qu’il l’avait déjà vu lors d’une précédente apparition, [14] près du Lotus de la limite, [15] non loin du Jardin du séjour des bienheureux, [16] au moment où un voile indéfinissable recouvrait le Lotus ? [17] Le regard du Prophète n’a ni dévié ni outrepassé la mesure, [18] et c’est ainsi qu’il lui fut donné de voir certains des plus grands signes de son Seigneur. » 53. Sourate de l’Étoile (An-Najm)
Selon la majorité des savants, ce voyage a été fait corps et âme et n’était pas un rêve.
Le prophète (r) s'est levé dans le milieu de la nuit pour visiter la Kaaba dans la Mecque. Après avoir prié un certain temps, il s'est endormi à coté de la Kaaba. L'Ange Gabriel (u) est venu et l'a réveillé.
 
Il le fit monter sur al-Buraq, une bête blanche avec des ailes, et ils se dirigent à une vitesse étonnante vers le nord, en direction de la mosquée d'Al-Aqsa à Jérusalem.
ð Cette mosquée est très importante pour les musulmans. C’est le troisième lieu saint de l’islam après la mosquée de la Mecque et celle de Médine.
ð Elle était la première Qibla des musulmans avant que Dieu les ordonne de se diriger vers la Kaaba.
ð Ce verset établi une relation étroite entre la mosquée « El Haram » de la Mecque et celle d’al-Quds, « El Aqsa ». Elles ont été toutes deux bénies par Allah ainsi que leur alentour. Un appel pour que les musulmans d’aujourd’hui ne néglige pas de tenter par tous les efforts de sauvegarder et restituer la terre sainte de la Palestine.
Quand ils ont atteint Jérusalem le Prophète r a prié en Imam dans les environs de Masdjid Al-Aqsa avec Abraham, Moïse, Jésus (Issa) et d'autres prophètes, paix sur eux.
ð La relation étroite entre ce qui a été révélé à Issa r fils de Marie et la révélation de Mohamed r et le lien de la même religion qui uni tous les prophètes qu’Allah a envoyé.
Le Miraj est l'ascension du Prophète r du rocher à l'intérieur de la mosquée, qui est connu sous le nom de Dôme du Rocher à Jérusalem vers le ciel.
Dans l’ascension Muhammad (r) a pu rencontrer ses frères prophètes (r). Ainsi, il a rencontré Adam (r) dans le premier ciel, Yahia (Jean) et Issa (Jésus) (r) dans le second, Youssef (Joseph) (r) dans le troisième, Idriss (r) dans le quatrième, Haroun (r) dans le cinquième, Moussa (r) dans le sixième et Ibrahim dans le septième ciel. Tous disaient en voyant le prophète (r) : « Bienvenu au frère vertueux et prophète vertueux » excepté Adam et Ibrahim (r) qui disaient Fils au lieu de frère.
Durant ce voyage le Prophète r a bien vu certaines des grandes merveilles de son Seigneur et a parlé avec Allah, Qui a instruit le Prophète r que les Musulmans doivent prier cinq fois par jour. (Elles étaient à l’origine 50)
ð L’importance de la prière.
Au matin, le Prophète (r) fit part de son voyage nocturne aux Mecquois qui se moquèrent de lui et le rapportèrent à Abou Bakr (t), qui rétorqua : « S'il le dit c'est que c'est vrai ! ». Depuis ce jour là le Messager l’a nommé « le véridique » (Assedik).
Selon Abou Hourayra (t), le Prophète reçut, la nuit de son ascension au ciel, deux récipients l'un plein de vin et l'autre plein de lait. Il les regarda et prit finalement le lait. Gabriel lui dit : «La louange est à Dieu qui t'a guidé à la saine nature (= l'Islam). Si tu avais pris le vin, ta communauté serait tombée dans l'errance». (Rapporté par Moslem)
Selon Anas (t), le Messager de Dieu a dit : «Au cours démon ascension au ciel, je suis passé devant des gens ayant des ongles de cuivre avec lesquels ils se griffaient le visage et la poitrine. Je demandai : «Qui sont ces gens là ? Ô Gabriel !» Il dit : «Ce sont ceux qui mangeaient la chair de leurs prochains et leur souillaient leur bonne réputation». (Rapporté par Abou Daoud)
 
Le savoir, en islam, nous provient de deux sources : le Coran et la tradition du prophète Mohammed (sounnah).
Le Coran est l’écriture divine, ou texte sacré, de l’islam. Les musulmans croient qu’il s’agit de la parole littérale de Dieu, telle qu’Il l’a révélée à Mohammed, Son dernier messager. Ce site web contient plusieurs articles sur le Coran, pour ceux qui aimeraient en approfondir leur connaissance.

Ce qu’on appelle la sounnah fait référence à trois choses : les actions, les déclarations et l’approbation tacite du prophète Mohammed en diverses occasions. Elle est dérivée de la tradition orale appelée hadith.


Parmi les hadiths, certains font partie d’une catégorie à part. On les appelle les hadiths qoudsi. Il s’agit des paroles de Dieu, exprimées dans les mots de Mohammed. Il y a plus de 100 hadiths qoudsi qui traitent, pour la plupart, de sujets spirituels et éthiques. Un des plus beaux hadiths qoudsi est le suivant :
« Ô Mes serviteurs, Je Me suis interdit l'oppression, et Je l'ai interdit entre vous, alors ne vous opprimez pas les uns les autres. Ô Mes serviteurs, vous êtes tous dans l'égarement, sauf ceux que Je guide; alors demandez à être guidés et Je vous guiderai. Ô Mes serviteurs, vous êtes tous affamés, sauf ceux que J'ai nourris; alors cherchez votre nourriture auprès de Moi et je vous nourrirai.

Ô Mes serviteurs, vous êtes tous nus, sauf ceux que J'ai vêtus; alors cherchez vos vêtements auprès de Moi et Je vous vêtirai. Ô Mes serviteurs, vous commettez des péchés jour et nuit, et Je pardonne tous les péchés; alors cherchez le pardon auprès de Moi et Je vous pardonnerai. Ô Mes serviteurs, vous ne pouvez ni Me causer du tort ni M’avantager. Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, les hommes et les djinns, étaient aussi pieux que le cœur le plus pieux des hommes, cela n'ajouterai rien à Mon royaume. Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, hommes et djinns, étaient aussi méchants que le cœur le plus méchant parmi ceux des hommes, cela n’enlèverait rien à Mon royaume.

Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, hommes et djinns, se rassemblaient en un endroit et Me faisaient chacun une demande et que Je satisfasse la demande de chacun, cela ne diminuerait en rien ce que Je possède, pas plus que ne diminue la mer quand on y trempe une aiguille. Ô Mes serviteurs, Je ne juge rien d'autre de vous que vos actions et c’est Moi qui les récompense ensuite. Donc celui qui trouve le bonheur, qu'il rende grâce à Dieu; et celui qui trouve autre chose que le bonheur, qu'il ne s'en prenne qu’à lui-même. »





 
Dans ce hadith qoudsi


Dieu met l’accent sur la justice, et l’islam condamne et interdit toute forme d’injustice et d’oppression. Dieu, le Très-Grand, est le plus Juste et c’est de Lui qu’émane la justice. Dieu S’est interdit à Lui-même l’oppression et Sa promesse est vraie; plusieurs versets du Coran en attestent.
« Et ton Seigneur n’est jamais injuste envers Ses serviteurs. » (Coran 41:46)
« Et Dieu ne souhaite point l’injustice pour (Ses) créatures. » (Coran 3:108)
« Certes, Dieu ne lèse personne, fût-ce du poids d’un atome. » (Coran 4:40)
Dieu a également interdit à l’humanité l’oppression sous toutes ses formes. L’islam nous dit qu’il existe trois sortes d’oppression ou d’injustice.

La première est l’injustice envers Dieu, en Lui prêtant des associés ou des intermédiaires. La seconde est l’injustice envers soi-même, en commettant des péchés. La troisième est l’injustice envers autrui (envers d’autres personnes ou d’autres créatures).

L’islam est plus qu’une religion, c’est un mode de vie. Pratiquer l’islam signifie, entre autres, respecter et garantir les droits accordés par Dieu aux êtres humains. L’islam se soucie du respect des droits de toutes les créatures, petites ou grandes.
« Nous avons effectivement envoyé Nos messagers avec des preuves évidentes, et Nous avons révélé, par leur intermédiaire, l’Écriture et la Balance, afin que les gens établissent la justice. » (Coran 57:25)
Dans ce hadith qoudsi, Dieu commence par souligner l’importance de la justice. Il condamne l’oppression et l’interdit aux hommes, puis affirme que nous sommes tous dans l’égarement, sauf ceux qu’Il guide. Il nous dit que c’est à Lui qu’il faut demander d’être guidés, car Lui seul peut nous guider.
S’Il ne nous guide pas, nous sommes perdus. En nous guidant, Il nous fait le plus précieux des cadeaux. Comprendre les concepts de justice et de pardon, en islam, nous enrichit.


Savoir que la raison d’être de notre existence est d’adorer Dieu nous libère. Être guidés nous rend aptes à démontrer de la reconnaissance envers Dieu pour toutes les bénédictions qu’Il nous accorde. L’humanité dépend de Dieu, mais Dieu n’a pas besoin de l’humanité. Ce hadith nous fait comprendre à quel point nous avons besoin de Dieu. Dans le prochain article, nous apprendrons que rien n’arrive sans la permission de Dieu.





 
Changement de Qibla
Il y a plus de 1,5 milliards de musulmans dans le monde et chaque fois que l’un d’eux prie, il se tourne en direction de la Mecque. Le terme islamique pour cette direction est qiblah. Peu importe où il se trouve, donc, le musulman fait face à la Mecque, là où se trouve la Ka’bah. La Ka’bah est ce petit bâtiment de forme cubique recouvert d’un grand drap noir orné de broderies, situé dans la mosquée connue sous le nom de Masjid al-Haram, à la Mecque, en Arabie.


« À chaque (nation) une direction vers laquelle elle se tourne. Rivalisez donc les uns avec les autres dans les bonnes œuvres. Où que vous soyez, Dieu vous rassemblera [au Jour de la Résurrection], car Il est certes capable de tout. Et d’où que tu sortes (pour prier, ô Mohammed), tourne ton visage vers le Lieu Sacré d’adoration. Certes, voilà la vérité de la part de ton Seigneur ; et Dieu n’est pas inattentif à ce que vous faites. » (Coran 2:148-149)

Il va de soi que les musulmans n’adorent pas la Ka’bah comme telle, ni ce qu’elle contient; ce bâtiment ne constitue qu’un point central. Les musulmans n’adorent qu’un seul Dieu, le Très miséricordieux, le Très sage. Et c’est Dieu qui a décrété que lorsque les musulmans prient, ils doivent tous se tourner dans la même direction. C’est un signe d’unité qui rejoint l’idée d’unité omniprésente dans l’islam.
Le terme arabe pour prière est salah et cela dénote une connexion entre le croyant et Dieu; quand tous les croyants se tournent dans la même direction pour prier, cela ajoute encore à cette idée de connexion. La prière connecte le croyant à Dieu et la qiblah connecte, unit les croyants entre eux. Certains disent que si nous pouvions observer, du ciel, tous les croyants en train de prier, nous verrions des rangs de croyants s’inclinant et se prosternant comme les pétales d’une fleur s’ouvrant et se refermant à l’unisson.
La qiblah, i.e. la direction de prière, n’a pas toujours été la Mecque. Les premiers musulmans priaient en direction de la mosquée d’al-Aqsa, à Jérusalem. Environ seize mois après la migration du Prophète et de ses fidèles à Médine, la qiblah fut changée pour la Mecque. Selon le récit qu’en firent les compagnons du Prophète, ce changement apparut du jour au lendemain. Un jour, au cours de la prière du midi, le Prophète reçut une révélation de Dieu lui ordonnant de se tourner vers la mosquée al-Haram.


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« Ainsi avons-Nous fait de vous la nation du juste milieu afin que vous soyez témoins à l’égard de l’humanité comme le messager sera témoin envers vous. Nous n’avions établi l’orientation première, vers laquelle tu te tournais, que pour déterminer qui suivrait le messager et qui tournerait les talons. En vérité, ce fut [une épreuve] difficile, sauf pour ceux qui étaient guidés par Dieu. Jamais Dieu ne fera pas en sorte que votre foi ait été vaine, car Dieu est plein de compassion et de miséricorde envers les gens. Nous t’avons vu tourner ton visage vers le ciel (afin d’être guidé, ô Mohammed). Alors maintenant, Nous t’orienterons vers une Qiblah qui t’est chère. Tourne ton visage en direction du Lieu Sacré d’adoration (à la Mecque); et vous, (ô musulmans), où que vous soyez, tournez votre visage dans sa direction, (lorsque vous priez). » (Coran 2:143-144)


À travers les siècles, des mathématiciens et astronomes ont établi diverses façons de déterminer la qiblah à partir de n’importe quel point sur la terre. Il y a deux moments précis, chaque année, où le soleil se trouve très exactement au-dessus de la Ka’bah, ce qui fait qu’en tout endroit ensoleillé, les ombres pointent en direction opposée à la qiblah. Il y a également deux moments, chaque année, où le soleil se trouve directement au-dessus du point exactement opposé à la qiblah, ce qui fait que les ombres pointent en direction de la qiblah.


Il est important, pour chaque musulman, de faire les efforts nécessaires pour déterminer la direction de la qiblah lorsqu’il prie. Mais il faut savoir qu’un léger écart n’invalide pas la prière d’une personne. Le prophète Mohammed a dit : « Ce qui se trouve entre l’est et l’ouest est la qiblah. » [1] De nos jours, il est très facile de localiser la qiblah en consultant une mappemonde et en traçant une ligne entre l’endroit où l’on se trouve et la Mecque. Des boussoles et des programmes informatiques sont aussi disponibles et la grande majorité des mosquées possèdent une sorte de niche, dans la salle de prière, qui détermine la direction de la prière.


L’islam est une religion d’unité. Les musulmans sont unis par leur croyance en un seul Dieu. Ils forment une grande communauté unie par la prière et par la direction dans laquelle elle prie. La qiblah n’est pas qu’une question de latitude et de longitude, c’est surtout une question d’unité, d’une communauté planétaire unie dans son adoration d’un Dieu unique, Créateur et Administrateur de l’univers


Sira 85 Changement de Qibla, toute une éducation derrière [Autourdelislam HD]
 
Ce hadith qoudsi nous rappelle de manière sublime que tout le pouvoir et toute la force ne proviennent que de Dieu.
Nous sommes en mesure de fonctionner, de manger, de boire et de respirer. Tous les systèmes de notre corps fonctionnent avec une précision étonnante. Notre cœur bat et notre sang circule. Toutes ces fonctions dépendent entièrement de la volonté de Dieu. Si l’une d’elles cesse de fonctionner, nul ne peut la refaire fonctionner si ce n’est par la volonté de Dieu.
Dieu est Celui qui pourvoit aux besoins de Sa création. Imaginez tout ce qui a rendu possible, par exemple, le simple fait de manger du pain grillé, le matin.

Le pain, le grille-pain, le beurre, l’électricité, entre autres; tout cela n’est pas apparu par magie. Le beurre était d’abord de la crème, le grille-pain a été fabriqué, le blé a été cultivé et transformé en farine; puis, le pain a été confectionné, emballé et livré. Alors que nous étalons du beurre sur notre pain, il est bon de se rappeler qu’aucune de ces étapes, simples mais nécessaires, n’aurait pu se produire sans la permission de Dieu.

Dieu est le Créateur de toute chose et Il n’a besoin de rien. Il n’a pas besoin de notre obéissance et notre désobéissance ne L’affecte pas. Il ne ressent pas le besoin de nous rétribuer si nous Lui obéissons; s’Il le fait, c’est par Sa grande générosité. Le Coran nous apprend que nous avons été créés pour adorer Dieu, mais cela ne signifie pas qu’Il ait besoin de notre adoration. Au contraire, c’est nous qui avons besoin de Lui. Et c’est dans l’adoration et l’invocation de Dieu que notre cœur trouve la tranquillité.

« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Coran 51:56)
« N’est-ce point par l’évocation de Dieu que se tranquillisent les cœurs? » (Coran 13:28)
« Vous êtes tous dans l’égarement, sauf ceux que Je guide… »; voilà un très beau hadith qoudsi que l’on retrouve dans la sounnah du prophète Mohammed. Un hadith qui souligne l’amour de Dieu pour l’humanité et qui nous rappelle que nous devons nous montrer reconnaissants pour cet amour. Nous pouvons chercher le réconfort et la paix partout et en toutes choses, dans le monde d’ici-bas, mais nous ne les trouverons jamais à moins de les chercher dans notre relation avec Dieu.



 
Les jours s’écoulent comme des minutes. C’est le matin et, tout à coup, c’est déjà la nuit. Dieu fait allusion à ce phénomène à quelques reprises, dans le Coran.
« Il leur sera demandé : « Combien d’années êtes-vous restés sur terre? » Ils répondront : « Un jour, ou moins qu’un jour… Qu’on s’en réfère plutôt à ceux qui comptent. » (Coran 23:112-113)
« Ils s’interrogèrent entre eux; l’un dit : « Combien de temps êtes-vous demeurés là? ». Les autres dirent : « Nous sommes restés là un jour, ou peut-être moins encore… » D’autres dirent : « Votre Seigneur sait mieux combien de temps nous y sommes restés. » (Coran 18:19)
Le temps passe très vite et lorsque nous nous tiendrons debout, devant Dieu, au Jour du Jugement, il nous semblera n’avoir vécu, rêvé et espéré qu’une journée ou moins. Il nous semblera n’avoir adoré notre Créateur que très brièvement et de la manière la plus nonchalante. Le Coran nous apprend que plusieurs d’entre nous supplierons Dieu de leur accorder plus de temps, afin de corriger leurs actions et de L’adorer de manière plus appropriée.
« Puis lorsque la mort vient à l’un d’eux (i.e. un polythéiste), il dit : « Seigneur! Renvoie-moi (sur terre)… » (Coran 23:99)
Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a réitéré cette réalité. Le temps ne ralentira jamais et nous ne pourrons jamais retourner en arrière pour réparer nos erreurs. C’est pourquoi il nous a conseillé de tirer profit de cinq choses avant que cinq autres ne se produisent.
« Tirez profit de cinq choses avant cinq autres : votre jeunesse avant votre vieillesse; votre santé avant de tomber malade; votre argent avant de devenir pauvre; votre temps libre avant de devenir occupé; et votre vie avant votre mort. »




 
Il nous conseille, donc, de tirer profit du temps que nous avons devant nous. Quand nous sommes jeunes, nous prenons notre jeunesse et notre énergie pour acquises. Nous avons l’impression d’avoir tout le temps devant nous, à l’infini.

Pourtant, les journées s’écoulent, les unes après les autres, et l’une des premières choses qui nous quitte, c’est souvent notre jeunesse. Un cheveu blanc apparaît, nous commençons à ressentir de petites douleurs quotidiennes au dos, aux épaules ou aux genoux. Et, tandis que la vieillesse se rapproche à grands pas, certaines personnes trouvent même difficile

d’accomplir leurs actes de dévotion quotidiens. Quand il nous est de plus en plus difficile de nous agenouiller pour nous prosterner en prière, nous ne souhaitons alors qu’une chose : pouvoir revenir en arrière pour accomplir ne serait-ce qu’une autre prière ou pour jeûner ne serait-ce qu’un autre jour avec

toute l’énergie et la forme dont nous jouissions durant nos jeunes années. Les jeunes doivent savoir tirer profit de leur jeunesse avant que le temps ne la fasse disparaître. L’énergie à revendre devrait être utilisée pour aider les autres et accomplir toutes sortes de bonnes actions qui mériteront une rétribution enviable ici-bas et dans l’au-delà.




 
Le croyant doit également savoir tirer profit de sa santé avant d’être affaibli par la maladie, que celle-ci se manifeste durant sa vieillesse ou plus tôt dans sa vie. Même de jeunes personnes peuvent être affectées par la maladie ou certaines blessures qui les rendent incapables d’accomplir leurs prières comme elles le voudraient.

Dieu et le prophète Mohammed ont tous deux souligné les bienfaits et la rétribution que peut tirer un croyant de sa douleur et sa souffrance. Quand une personne devient malade, elle réalise à quel point l’être humain est fragile.

Le Prophète nous a rappelé que nul ne sait s’il perdra la santé ni à quel moment il la perdra. Un jour, nous sommes en pleine forme et possédons toutes nos facultés mentales et, le lendemain, nous nous retrouvons dépendants des autres pour presque chaque geste du quotidien.
 
L’argent est une autre bénédiction qui nous vient de Dieu. Le croyant doit donner le plus qu’il peut en charité tant qu’il a quelque chose à donner. Nous avons tendance à voir la charité comme un don monétaire, mais elle ne se réduit pas à cette forme de don. Nous pouvons donner de l’argent, certes, mais aussi notre temps, notre soutien et notre savoir.

Cela n’empêche pas que nous devrions utiliser nos biens monétaires pour plaire à Dieu tant que cela est possible, car l’argent est quelque chose qui peut se perdre très rapidement et notre destin financier demeure entre les mains de Dieu. Tant de gens riches se sont retrouvés sans le sou presque du jour au lendemain et les exemples abondent autour de nous. Il faut garder à l’esprit que tout don de charité fait dans l’intention de plaire à Dieu sera toujours rétribué.

« L’exemple de ceux qui dépensent leurs biens dans le sentier de Dieu est semblable à un grain d’où naissent sept épis renfermant cent grains chacun. Dieu multiplie la récompense de qui Il veut. La grâce de Dieu est immense et Il est Omniscient. » (Coran 2:261)





 
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Le temps libre est une autre bénédiction de Dieu dont nous pouvons tous tirer profit, peu importe à quel point nous considérons être occupés. Passer ce temps de manière intelligente signifie ne pas le perdre dans des activités futiles qui ne nous apportent aucun bienfait. Même la plus simple des actions peut prendre une signification nouvelle si elle est faite dans l’intention de plaire à Dieu.

Si nous nous libérons de ces activités futiles qui nous font perdre un temps précieux, nous pourrons alors profiter de ce temps gagné pour augmenter le nombre de nos activités religieuses. Quand une personne fait des choix intelligents, elle choisit de remplir son temps avec des actions qui plaisent à Dieu. Rappelez-vous que le temps avance rapidement et de manière inexorable.

Faites ce que vous avez à faire aujourd’hui même, car nul ne sait s’il connaîtra un lendemain. Utilisez votre temps libre avec discernement avant que votre vie de se remplisse d’obligations de toutes sortes qui ne vous apporteront aucun bienfait, à moins que vous ne gardiez constamment à l’esprit votre intention de plaire à Dieu.



 
La hijrah, en l’an 622


Pendant que les musulmans fuyaient la Mecque par petits groupes, le Prophète, en compagnie de quelques proches, attendait l’ordre divin qui lui permettrait d’aller rejoindre les autres à Yathrib. Quand l’ordre descendit enfin, il donna son manteau à Ali et le fit étendre sur son lit de sorte que quiconque aurait l’idée de regarder à l’intérieur croirait le voir, lui. Les assassins devaient frapper au moment où il sortirait de chez lui, durant la nuit ou tôt le matin. Il savait qu’ils ne feraient aucun mal à Ali. Ils entouraient déjà sa maison lorsqu’il en sortit en douce, sans être vu. Il se rendit chez Abou Bakr et ils allèrent tous deux se réfugier dans une caverne située dans une montagne déserte; ils y restèrent cachés jusqu’à ce que l’agitation et les clameurs s’estompent. À la tombée de la nuit, le fils, la fille et le berger d’Abou Bakr leur apportaient de la nourriture et les informaient des dernières nouvelles. Une fois, un groupe de recherche ennemi passa si près de leur cachette qu’ils arrivaient à saisir leurs paroles. Abou Bakr eut peur et dit : « Ô Messager de Dieu! Si l’un d’eux vient à regarder vers le bas, il nous verra! » Mais le Prophète répondit :


« Que penses-tu de deux personnes dont le troisième compagnon est Dieu? Ne crains rien, car Dieu est avec nous. » (Sahih al-Boukhari)


Lorsque le groupe de recherche s’éloigna, Abou Bakr envoya demander qu’on apporte des chameaux et un guide à la tombée du jour, puis ils entreprirent le voyage jusqu’à Yathrib.
 
Après avoir voyagé durant plusieurs jours en empruntant des chemins peu fréquentés, ils atteignirent une banlieue de Yathrib appelée Qoubaa. À cet endroit, comme les gens avaient entendu dire que le Prophète avait quitté la Mecque, ils sortaient chaque matin, grimpaient sur les collines pour guetter au loin sa venue, jusqu’à ce que la chaleur insupportable les force à rentrer. Le Prophète et ses compagnons de voyage arrivèrent en milieu de journée, après que les gens se soient retirés chez eux. Un juif qui était à l’extérieur les vit approcher et informa les musulmans que ceux qu’ils attendaient étaient enfin arrivés. Les musulmans sortirent les accueillir.


Le Prophète resta quelques jours à Qoubaa, où il établit les fondations de la première mosquée de l’histoire de l’islam. Entre-temps, Ali, qui avait quitté la Mecque à pied trois jours après le Prophète, était lui aussi arrivé. Le Prophète, ses compagnons de la Mecque et les « alliés » de Qoubaa se rendirent avec lui à Médine, où les gens attendaient leur arrivée avec impatience.


Les habitants de Médine (Yathrib) n’avaient jamais connu un jour plus heureux que celui-là. Anas, un proche compagnon du Prophète, a raconté :
 
« J’étais présent le jour où le Prophète arriva à Médine et je n’ai jamais connu un jour meilleur et plus heureux que celui-là. J’étais présent, également, le jour où il quitta ce monde et je n’ai jamais connu un jour plus sombre que celui-là. » (Ahmed)



Chaque famille de Médine espérait que le Prophète viendrait s’installer chez elle et certaines personnes tentèrent même de diriger sa chamelle vers leur maison. Mais il les arrêta et dit :


« Laissez-la, car elle est guidée par Dieu. »


Elle dépassa plusieurs maisons, puis elle s’arrêta et s’agenouilla sur la terre de Banou Najjaar. Le Prophète n’en descendit pas tout de suite; elle se releva, marcha un peu, puis se retourna et revint au même endroit et s’agenouilla de nouveau. Alors le Prophète en descendit. Il était satisfait du choix de sa chamelle, car Banou Najjaar comptait ses oncles maternels parmi ses membres et il souhaitait les honorer en allant chez eux. Lorsque des membres de la famille commencèrent à sortir de leur maison pour l’inviter à y entrer, un certain Abou Ayyoub s’avança vers sa monture et la guida vers sa maison. Le Prophète dit :


« Un homme suit sa monture. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)


La première tâche qu’il entreprit, à Médine, fut la construction d’une mosquée. Il envoya chercher les deux garçons qui possédaient la palmeraie qui occupait le terrain qu’il avait choisi pour sa construction et leur en demanda le prix. Ils répondirent : « Nous t’en faisons cadeau, ô prophète de Dieu! ». Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) refusa toutefois leur offre, les paya et construisit une mosquée à cet endroit, participant lui-même aux travaux. Tout en travaillant, les gens l’entendirent prononcer les paroles suivantes :


« Ô Dieu! La seule vie est celle de l’au-delà. Pardonne aux alliés et aux émigrants. (Sahih al-Boukhari)


La mosquée servait de lieu de prière pour les musulmans. La prière, qui avait jusque-là été un acte individuel accompli en secret, était maintenant accomplie ouvertement et elle était devenue le symbole de la société musulmane. L’époque où les musulmans et l’islam étaient opprimés et écrasés était révolue. Maintenant, le adhan, c’est-à-dire l’appel à la prière, serait prononcé à voix haute et son appel retentirait jusque dans chaque maison afin de rappeler à chaque musulman de respecter ses obligations envers son Créateur. En plus d’être un lieu de prière, la mosquée était une école où les musulmans apprenaient les divers éléments de leur religion, un lieu de rencontre où les différends de divers groupes étaient résolus et un lieu administratif à partir duquel on gérait les affaires sociales; c’était un véritable symbole de la façon dont l’islam englobe toutes les facettes de la vie quotidienne. On s’acquittait de toutes ces tâches en ce lieu que l’on avait construit à partir des troncs des palmiers qui y étaient déjà et dont le toit avait été fait à partir des branches de ces mêmes palmiers.


Lorsque la construction de la mosquée fut terminée, il construisit également des maisons de chaque côté de celle-ci pour sa famille, encore une fois à partir des troncs de palmiers. La mosquée et la maison du Prophète à Médine sont toujours là, de nos jours.


La hijrah était terminée. C’était le 23 septembre 622 et l’ère islamique (le calendrier musulman) commence à partir de ce jour-là. C’est également ce jour-là que Yathrib fut rebaptisée : on lui donna le nom de Madinat-oun-Nabi, c’est-à-dire la Cité du Prophète, communément appelée Médine.


C’est ainsi que se déroula la hijrah, l’émigration de la Mecque à Yathrib. Les treize années d’humiliation, de persécution, de succès mitigé et d’une mission prophétique difficile à mener faisaient maintenant partie du passé.


C’était le début de dix années de succès à venir, du plus grand succès ayant jamais couronné les efforts d’un homme. Jusque-là, il n’avait été qu’un prêcheur. Mais à partir de ce moment, il devint le dirigeant d’un État, d’abord un tout petit État qui, en l’espace de dix ans, allait devenir l’empire d’Arabie. La hijrah marque une division claire dans l’histoire de la mission du Prophète, division que l’on retrouve également dans le Coran. Les révélations de Dieu dont lui et ses fidèles avaient besoin, maintenant, n’étaient pas du même genre que celles dont ils avaient eu besoin lorsqu’ils étaient opprimés, à la Mecque. C’est pourquoi, dans le Coran, les sourates révélées à la Mecque diffèrent de celles révélées à Médine; les premières s’adressent aux individus et à leurs états d’âme, de même qu’au Prophète en tant qu’avertisseur, tandis que les autres s’adressent surtout aux musulmans en tant que communauté sociale et politique et au Prophète en tant qu’exemple à suivre, législateur et réformateur.


 
Enfin, la dernière chose qu’il dont il nous conseille de tirer profit est la vie, avant que la mort ne vienne nous chercher. Chaque matin, nous devrions remercier Dieu d’être encore en vie, car chaque nouvelle journée est une occasion supplémentaire de faire le bien (donner en charité, adorer Dieu plus longtemps ou d’une meilleure façon, etc).

C’est une occasion de sourire aux gens, autour de nous, de les aider s’ils ont besoin d’aide et de donner en charité. C’est une occasion de faire d’innombrables gestes de bonté. Nous sommes devenus insouciants par rapport à la mort. Mais, inévitablement, viendra un moment, peut-être dans quelques heures, dans quelques minutes ou dans quelques secondes, où notre vie connaîtra son terme. Le prophète Mohammed nous a conseillé de bien utiliser le temps dont nous disposons. Faites ce que vous pouvez maintenant et non pas demain, car demain pourrait ne jamais venir.


Ce rappel du prophète Mohammed a trait à la responsabilité, à la sagesse, à la prévoyance et à l’organisation du temps. Il nous a aussi rappelé, à d’autres occasions, l’importance de prendre conscience des bénédictions de Dieu, dans nos vies, et de les utiliser à notre avantage.

Certains versets du Coran et hadiths du Prophète nous rappellent que le temps passe très vite et que chaque petit geste que nous posons peut potentiellement devenir une source de grande rétribution.

Le Prophète nous a également dit : « Trois choses suivent une personne décédée [dans sa tombe]; deux d’entre elles s’en retournent et une reste avec la personne. Sa famille, ses richesses et ses actions la suivent. Et, tandis que sa famille et ses richesses finissent par s’en retourner, ses actions restent avec elle. »




 
La foi

1) Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « La foi est de croire en Allah, ses anges, ses livres, ses messagers, au jour dernier et au destin qu’il soit en ta faveur ou non. » Rapporté par Mouslim.

2) Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « La foi se décompose en soixante-dix branches et quelques. La meilleure branche est de dire « il n’y a pas de divinité digne d’être adorée si ce n’est Allah » et la dernière branche est de ramasser tout ce qui peut faire obstacle sur un chemin ; et la pudeur est une des branches de la foi. » Rapporté par Boukhâry et Mouslim.

3) Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Quiconque dit : j’accepte Allah comme Seigneur, l’Islam comme religion et Muhammad comme prophète, le paradis lui sera obligatoirement attribué. » Rapporté par Aboû Dawoûd et authentifié par Albâny.




L’Islam

4) Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « L’islam consiste à témoigner qu’il n’y a pas de divinité digne d’être adorée si ce n’est Allah et que Muhammad est le Messager d’Allah, d’accomplir la prière, de verser l’aumône, de jeûner ramadan et d’effectuer le pèlerinage à la maison sacrée si on en a la possibilité. » Rapporté par Mouslim.

5) Le Messager d’Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Le musulman est celui qui ne porte pas atteinte aux musulmans avec sa langue et sa main. Le croyant est celui auquel les gens font confiance à l’égard de leurs personnes et leurs biens. » Rapporté par Boukhâry et Mouslim.



 
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