Et d'ou vient la drogue ? qui soutient le trafic de drogue depuis des années ? combien de morts
et de blessés graves ?
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Il est 3 heures dimanche matin quand une femme rentre d’un anniversaire à Sarcelles (Val-d’Oise). Au volant de sa voiture, elle conduit ses deux filles, âgées de 12 et 20 ans, et sa nièce de 10 ans. Avant de s’engager sur le périphérique, elle ralentit au niveau de la station essence BP de la Porte de la Chapelle (XVIIIe). C’est à ce moment qu’un homme surgit. « Il a frappé sur la vitre côté passager avec une énorme pierre », raconte son époux - qui était resté à leur domicile.
La vitre explose immédiatement. La femme est touchée à l’épaule par le projectile. « Elle a un hématome, constate son époux. Si elle avait pris le pavé en pleine tête, je pense que je n’aurais jamais revu ma femme. »
Prise de panique, l’automobiliste décide de ne pas s’arrêter et de rouler jusqu’à son domicile, dans le XXe arrondissement, où elle dépose une plainte, avant se rendre aux urgences.
La Porte de la Chapelle est un endroit connu pour être un repaire de toxicomanes. Malgré le démantèlement de la « Colline du crack » le mois dernier, les addicts sont toujours là.
Un phénomène en recrudescence
« C’était prévisible », regrette un élu LR du XVIIIe. « Avec l’évacuation, on n’a fait que déplacer le problème. Ce n’est pas une délinquance classique. Ce sont des personnes dépendantes et malades », insiste Pierre Liscia, qui demande la création d’un « plan crack » par le gouvernement ainsi que l’ouverture de centres de désintoxication.
Du côté de la mairie du XVIIIe (PS), on affirme qu’après le démantèlement, « une centaine de personnes ont été mises à l’abri dans des centres de soin spécialisés ». Mais pour endiguer le phénomène, la mairie demande la mise en place d’« états généraux du crack » où collaboreraient l’Etat et la Ville.
LeParisien.fr
http://logp7.xiti.com/go.click?xts=...-a-la-colline-du-crack-24-07-2018-7832103.php
et de blessés graves ?
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Il est 3 heures dimanche matin quand une femme rentre d’un anniversaire à Sarcelles (Val-d’Oise). Au volant de sa voiture, elle conduit ses deux filles, âgées de 12 et 20 ans, et sa nièce de 10 ans. Avant de s’engager sur le périphérique, elle ralentit au niveau de la station essence BP de la Porte de la Chapelle (XVIIIe). C’est à ce moment qu’un homme surgit. « Il a frappé sur la vitre côté passager avec une énorme pierre », raconte son époux - qui était resté à leur domicile.
La vitre explose immédiatement. La femme est touchée à l’épaule par le projectile. « Elle a un hématome, constate son époux. Si elle avait pris le pavé en pleine tête, je pense que je n’aurais jamais revu ma femme. »
Prise de panique, l’automobiliste décide de ne pas s’arrêter et de rouler jusqu’à son domicile, dans le XXe arrondissement, où elle dépose une plainte, avant se rendre aux urgences.
La Porte de la Chapelle est un endroit connu pour être un repaire de toxicomanes. Malgré le démantèlement de la « Colline du crack » le mois dernier, les addicts sont toujours là.
Un phénomène en recrudescence
« C’était prévisible », regrette un élu LR du XVIIIe. « Avec l’évacuation, on n’a fait que déplacer le problème. Ce n’est pas une délinquance classique. Ce sont des personnes dépendantes et malades », insiste Pierre Liscia, qui demande la création d’un « plan crack » par le gouvernement ainsi que l’ouverture de centres de désintoxication.
Du côté de la mairie du XVIIIe (PS), on affirme qu’après le démantèlement, « une centaine de personnes ont été mises à l’abri dans des centres de soin spécialisés ». Mais pour endiguer le phénomène, la mairie demande la mise en place d’« états généraux du crack » où collaboreraient l’Etat et la Ville.
LeParisien.fr
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