n’empêche pas les annonceurs de cibler les sympathisants nazis
Pour seulement 22 euros, le Los Angeles Times est parvenu à cibler en moins de 24 heures plus d’un million d’utilisateurs, considérés par Facebook comme intéressés certains dirigeants nazis. Une nouvelle affaire dont le réseau social se serait bien passé.
Le ciblage publicitaire ultra-controversé de Facebook refait (encore) parler de lui
L’année dernière, les recettes publicitaires ont rapporté la coquette somme de 55 milliards de dollars (près de 49 millions d’euros) à Facebook.
Afin de séduire ses annonceurs, le géant californien a développé un procédé imparable : un ciblage ultra-précis de ses utilisateurs qui permet aux régies publicitaires y ayant recours de maximiser l’efficacité de leurs campagnes. Comme l’a révélé le Los Angeles Time, l’algorithme utilisé permet même de viser spécifiquement les internautes s’intéressant à certaines figures du nazisme, comme Joseph Goebbels, Josef Mengele ou encore Heinrich Himmler.
Depuis quelques mois, le ciblage douteux mis en place par Facebook défraye régulièrement la chronique.
Courant 2018, The Intercept avait de son côté démontré que le réseau social offrait la possibilité aux annonceurs de cibler uniquement les utilisateurs ayant « liké » des pages, rejoint des groupes ou commenté des publications en rapport avec la théorie raciste du génocide blanc,
quand bien même la firme américaine avait assuré quelques mois plus tôt que les catégories de ciblage seraient analysées par des humains afin d’éviter que des publicités ne favorisent les abus et les discriminations.
Le ciblage publicitaire ultra-controversé de Facebook refait (encore) parler de lui
L’année dernière, les recettes publicitaires ont rapporté la coquette somme de 55 milliards de dollars (près de 49 millions d’euros) à Facebook. Afin de séduire ses annonceurs, le géant californien a développé un procédé imparable : un ciblage ultra-précis de ses utilisateurs qui permet aux régies publicitaires y ayant recours de maximiser l’efficacité de leurs campagnes. Comme l’a révélé le Los Angeles Time, l’algorithme utilisé permet même de viser spécifiquement les internautes s’intéressant à certaines figures du nazisme, comme Joseph Goebbels, Josef Mengele ou encore Heinrich Himmler.
Depuis quelques mois, le ciblage douteux mis en place par Facebook défraye régulièrement la chronique. Courant 2018, The Intercept avait de son côté démontré que le réseau social offrait la possibilité aux annonceurs de cibler uniquement les utilisateurs ayant « liké » des pages, rejoint des groupes ou commenté des publications en rapport avec la théorie raciste du génocide blanc, quand bien même la firme américaine avait assuré quelques mois plus tôt que les catégories de ciblage seraient analysées par des humains afin d’éviter que des publicités ne favorisent les abus et les discriminations.
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Pour seulement 22 euros, le Los Angeles Times est parvenu à cibler en moins de 24 heures plus d’un million d’utilisateurs, considérés par Facebook comme intéressés certains dirigeants nazis. Une nouvelle affaire dont le réseau social se serait bien passé.
Le ciblage publicitaire ultra-controversé de Facebook refait (encore) parler de lui
L’année dernière, les recettes publicitaires ont rapporté la coquette somme de 55 milliards de dollars (près de 49 millions d’euros) à Facebook.
Afin de séduire ses annonceurs, le géant californien a développé un procédé imparable : un ciblage ultra-précis de ses utilisateurs qui permet aux régies publicitaires y ayant recours de maximiser l’efficacité de leurs campagnes. Comme l’a révélé le Los Angeles Time, l’algorithme utilisé permet même de viser spécifiquement les internautes s’intéressant à certaines figures du nazisme, comme Joseph Goebbels, Josef Mengele ou encore Heinrich Himmler.
Depuis quelques mois, le ciblage douteux mis en place par Facebook défraye régulièrement la chronique.
Courant 2018, The Intercept avait de son côté démontré que le réseau social offrait la possibilité aux annonceurs de cibler uniquement les utilisateurs ayant « liké » des pages, rejoint des groupes ou commenté des publications en rapport avec la théorie raciste du génocide blanc,
quand bien même la firme américaine avait assuré quelques mois plus tôt que les catégories de ciblage seraient analysées par des humains afin d’éviter que des publicités ne favorisent les abus et les discriminations.
Le ciblage publicitaire ultra-controversé de Facebook refait (encore) parler de lui
L’année dernière, les recettes publicitaires ont rapporté la coquette somme de 55 milliards de dollars (près de 49 millions d’euros) à Facebook. Afin de séduire ses annonceurs, le géant californien a développé un procédé imparable : un ciblage ultra-précis de ses utilisateurs qui permet aux régies publicitaires y ayant recours de maximiser l’efficacité de leurs campagnes. Comme l’a révélé le Los Angeles Time, l’algorithme utilisé permet même de viser spécifiquement les internautes s’intéressant à certaines figures du nazisme, comme Joseph Goebbels, Josef Mengele ou encore Heinrich Himmler.
Depuis quelques mois, le ciblage douteux mis en place par Facebook défraye régulièrement la chronique. Courant 2018, The Intercept avait de son côté démontré que le réseau social offrait la possibilité aux annonceurs de cibler uniquement les utilisateurs ayant « liké » des pages, rejoint des groupes ou commenté des publications en rapport avec la théorie raciste du génocide blanc, quand bien même la firme américaine avait assuré quelques mois plus tôt que les catégories de ciblage seraient analysées par des humains afin d’éviter que des publicités ne favorisent les abus et les discriminations.
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