Le patron du RAID donne sa version de l’assaut contre Mohammed Merah

Il attendait dans une posture de combattant, avec une détermination sans faille."[/b] Voilà comment Amaury de Hautecloque, le patron du RAID, décrit Mohamed Merah. L'unité d'intervention d'élite de la police nationale a mené le siège de l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban trente-deux heures durant, mercredi 21 et jeudi 22 mars. "On a essayé de le fatiguer toute la nuit avant d'opérer la reprise des lieux", explique le chef du RAID. Pourtant, Merah les attendait, les pieds dans 30 cm d'eau, après que la colonne d'eau a été touché par un tir lors du premier assaut, dans la nuit de mardi à mercredi.

Interrogé sur le choix du moment de l'intervention, M. de Hautecloque répond: "C'est moins nous que Mohamed Merah qui l'a choisi. Nous avons jusqu'au bout tenté de négocier la reddition. Il a annoncé mercredi à 22h45 qu'il voulait mourir les armes à la main, et c'est ce qu'il a fait."

"C'est la première fois de ma vie que je vois quelqu'un, alors que nous lançons un assaut, venir mener l'assaut contre nous", assure-t-il. Amaury de Hautecloque, petit-neveu du maréchal Leclerc, dirige le RAID depuis 2007. "Nous avions une idée très précise de l'endroit où il était, mais cette idée devait être corroborée, précise-t-il. C'est la raison pour laquelle nous avons progressé très prudemment dans l'appartement. Mais il est venu à l'engagement contre nous avec trois Colt 45 de calibre 11.43 [le même modèle que celui utilisé lors des meurtres] alors que nous avions alors engagé uniquement des armes non-létales. J'avais donné l'ordre de ne riposter qu'avec des grenades susceptibles de le choquer. Mais il a progressé dans l'appartement, et il a tenté d'abattre mes hommes qui étaient placés en protection sur le balcon. C'est probablement l'un des snipers qui l'a alors touché."

Son petit trois-pièces, Mohamed Merah en avait fait sa "zone de combat": "Tout était barricadé. Il avait aménagé des recoins et des tanières." Quinze hommes ont participé à l'attaque de l'appartement lui-même, et soixante à toute l'opération.

Mercredi soir, pourtant, "un protocole de confiance mutuelle" semblait exister. Mohamed Merah devait se rendre avant 23 heures. En fait, "il ne souhaitait que se reposer pour mieux nous affronter", estime le patron du RAID. Avant la rupture, à 22h45, les négociations ont été quasiment "ininterrompues", le forcené donnant aux hommes du RAID un luxe de détails sur ses actes: "C'était comme un testament, avant de partir", conclut Amaury de Hautecloque.

http://delinquance.blog.lemonde.fr/...aid-donne-sa-version-de-lassaut-contre-merah/

Impressionnant !

en fait il avait tout prévu, quand il a appelait la journaliste de France 24 il savait qu'il était repéré par la police il les a attendu chez lui ce qui explique qu'il était encore éveillé quand le RAID a tenté de le perquisitionner par surprise en pensant qu'il dormait

il voulait mourir en martyr après avoir rempli ses objectifs en tuant 4 miliaires français il les a attendu chez lui lourdement armé

en fait l'adresse IP ou le concessionaire de Yahama c'est du pipo, c'est l'appel de la journaliste de France 24 qui a accéléré la traque
 
Il attendait dans une posture de combattant, avec une détermination sans faille."[/b] Voilà comment Amaury de Hautecloque, le patron du RAID, décrit Mohamed Merah. L'unité d'intervention d'élite de la police nationale a mené le siège de l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban trente-deux heures durant, mercredi 21 et jeudi 22 mars. "On a essayé de le fatiguer toute la nuit avant d'opérer la reprise des lieux", explique le chef du RAID. Pourtant, Merah les attendait, les pieds dans 30 cm d'eau, après que la colonne d'eau a été touché par un tir lors du premier assaut, dans la nuit de mardi à mercredi.

Interrogé sur le choix du moment de l'intervention, M. de Hautecloque répond: "C'est moins nous que Mohamed Merah qui l'a choisi. Nous avons jusqu'au bout tenté de négocier la reddition. Il a annoncé mercredi à 22h45 qu'il voulait mourir les armes à la main, et c'est ce qu'il a fait."

"C'est la première fois de ma vie que je vois quelqu'un, alors que nous lançons un assaut, venir mener l'assaut contre nous", assure-t-il. Amaury de Hautecloque, petit-neveu du maréchal Leclerc, dirige le RAID depuis 2007. "Nous avions une idée très précise de l'endroit où il était, mais cette idée devait être corroborée, précise-t-il. C'est la raison pour laquelle nous avons progressé très prudemment dans l'appartement. Mais il est venu à l'engagement contre nous avec trois Colt 45 de calibre 11.43 [le même modèle que celui utilisé lors des meurtres] alors que nous avions alors engagé uniquement des armes non-létales. J'avais donné l'ordre de ne riposter qu'avec des grenades susceptibles de le choquer. Mais il a progressé dans l'appartement, et il a tenté d'abattre mes hommes qui étaient placés en protection sur le balcon. C'est probablement l'un des snipers qui l'a alors touché."

Son petit trois-pièces, Mohamed Merah en avait fait sa "zone de combat": "Tout était barricadé. Il avait aménagé des recoins et des tanières." Quinze hommes ont participé à l'attaque de l'appartement lui-même, et soixante à toute l'opération.

Mercredi soir, pourtant, "un protocole de confiance mutuelle" semblait exister. Mohamed Merah devait se rendre avant 23 heures. En fait, "il ne souhaitait que se reposer pour mieux nous affronter", estime le patron du RAID. Avant la rupture, à 22h45, les négociations ont été quasiment "ininterrompues", le forcené donnant aux hommes du RAID un luxe de détails sur ses actes: "C'était comme un testament, avant de partir", conclut Amaury de Hautecloque.

http://delinquance.blog.lemonde.fr/...aid-donne-sa-version-de-lassaut-contre-merah/

Impressionnant !

en fait il avait tout prévu, quand il a appelait la journaliste de France 24 il savait qu'il était repéré par la police il les a attendu chez lui ce qui explique qu'il était encore éveillé quand le RAID a tenté de le perquisitionner par surprise en pensant qu'il dormait

il voulait mourir en martyr après avoir rempli ses objectifs en tuant 4 miliaires français il les a attendu chez lui lourdement armé

en fait l'adresse IP ou le concessionaire de Yahama c'est du pipo, c'est l'appel de la journaliste de France 24 qui a accéléré la traque

On peut dire se qu'on veut, il a eu du cran et du courage pour réaliser se qu'il devait faire et il a reussit. Dans son paradigme, il a reussit.
 
Il attendait dans une posture de combattant, avec une détermination sans faille."[/b] Voilà comment Amaury de Hautecloque, le patron du RAID, décrit Mohamed Merah. L'unité d'intervention d'élite de la police nationale a mené le siège de l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban trente-deux heures durant, mercredi 21 et jeudi 22 mars. "On a essayé de le fatiguer toute la nuit avant d'opérer la reprise des lieux", explique le chef du RAID. Pourtant, Merah les attendait, les pieds dans 30 cm d'eau, après que la colonne d'eau a été touché par un tir lors du premier assaut, dans la nuit de mardi à mercredi.
"C'est la première fois de ma vie que je vois quelqu'un, alors que nous lançons un assaut, venir mener l'assaut contre nous", assure-t-il. Amaury de Hautecloque, petit-neveu du maréchal Leclerc, dirige le RAID depuis 2007. "Nous avions une idée très précise de l'endroit où il était, mais cette idée devait être corroborée, précise-t-il. C'est la raison pour laquelle nous avons progressé très prudemment dans l'appartement. Mais il est venu à l'engagement contre nous avec trois Colt 45 de calibre 11.43 [le même modèle que celui utilisé lors des meurtres] alors que nous avions alors engagé uniquement des armes non-létales. J'avais donné l'ordre de ne riposter qu'avec des grenades susceptibles de le choquer. Mais il a progressé dans l'appartement, et il a tenté d'abattre mes hommes qui étaient placés en protection sur le balcon. C'est probablement l'un des snipers qui l'a alors touché."

Son petit trois-pièces, Mohamed Merah en avait fait sa "zone de combat": "Tout était barricadé. Il avait aménagé des recoins et des tanières." Quinze hommes ont participé à l'attaque de l'appartement lui-même, et soixante à toute l'opération.

Mercredi soir, pourtant, "un protocole de confiance mutuelle" semblait exister. Mohamed Merah devait se rendre avant 23 heures. En fait, "il ne souhaitait que se reposer pour mieux nous affronter", estime le patron du RAID. Avant la rupture, à 22h45, les négociations ont été quasiment "ininterrompues", le forcené donnant aux hommes du RAID un luxe de détails sur ses actes: "C'était comme un testament, avant de partir", conclut Amaury de Hautecloque.

http://delinquance.blog.lemonde.fr/...aid-donne-sa-version-de-lassaut-contre-merah/

Impressionnant !

en fait il avait tout prévu, quand il a appelait la journaliste de France 24 il savait qu'il était repéré par la police il les a attendu chez lui ce qui explique qu'il était encore éveillé quand le RAID a tenté de le perquisitionner par surprise en pensant qu'il dormait

il voulait mourir en martyr après avoir rempli ses objectifs en tuant 4 miliaires français il les a attendu chez lui lourdement armé

en fait l'adresse IP ou le concessionaire de Yahama c'est du pipo, c'est l'appel de la journaliste de France 24 qui a accéléré la traque
Maintenant rien exclu que dans le futur il n'y aura pas des attentats kamikazes contre la secte et leurs larbins(es) c'est la hantise de l'état et des talmudistes.
Une personne seule peut très bien vouloir se venger sur eux pour x raisons en commettant un acte spectaculaire et pas besoin de beaucoup de matériel.
Ils se servent des immigrés pour les exploiter mais il y en a un autre qui pense
autrement . Ces ordures croient contrôler alors que l'autre pense autrement.
 
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