Les pédophiles sont nés comme ça?

A travers ce sujet je vais tenter d'expliquer ce qu'est le modernisme, la religion majoritaire dans le monde.
Cette religion qui découlerait notamment des "lumières" a pour principe fondamental que la morale est définit par la "Raison", autrement dit par la raison de l'élite du moment.
C'est ces gens la qui décident à travers les époques, qu'est ce qui est morale et ne l'est pas, ce qui est juste ou injuste, ils définissent le mal et le bien et diffusent leurs vision de la morale à travers leurs outils d'éducation de masse, tel que les médias, les universités, les leaders d'opinions etc...
La morale sera entre autre définit par apport aux interets économiques, politiques, socio etc...du moment.
Quand le modernisme est l'idéologie dominante, le cadre de la masse, il est possible d'imposer n'importe quel raisonnement. Cela est possible grace à un principe simple: le relativisme.
Comme va l'illustrer le sujet et le cas du crime qu'est la pédophilie, qui peut etre vu et définit comme une orientation sexuelle (voir sur youtube Maitre Levy, avocat puissant et médiatisé est l'un des plus grandes défenseur de la pédophilie en France), c'est à dire que le pédophile serait né comme ça, il n'a pas le choix, il est attiré sexuellement que par les enfants et ce de manière naturel.
Grace à la déesse raison et au relativisme les sociétés les plus moderniste ont légiféré pour admettre différents types d'orientations sexuelles et les rendre acceptable, aujourd'hui des lobbies font pression pour que la pédophilie ne soit plus un crime ou une perversion comme l'était l'homosexualité mais deviennent une chose acceptée.
Evidement dans un premier temps les enfants seront protégés, il ne s'agit juste que de faire accepter l'attirance pour les enfants et non le passage à l'acte.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Bonjour Piyale,

Si tu es capable d’être sérieux et honnête intellectuellement dans un débat, on pourrait avoir un échange intéressant ici, parce que oui tu mets le doigt sur certains problèmes, bien que je sois pas d’accord avec ta vision du modernisme (du moment qu’on distingue l’idéal et la réalité).

De façon générale, le modernisme a bifurqué dans deux directions opposées. Il a donné naissance à des États policiers totalitaires sur le modèle des ruches d’abeilles, où l’individu est mis tout entier au service du collectif et sacrifie son autonomie et ses libertés dans l’espoir illusoire que des ouvrages grandioses seront réalisés collectivement. L’État est divinisé. Mais on sait bien que les élites dans ce système sont corrompues, hypocrites et malhonnêtes.

L’autre chemin du modernisme est vers la démocratie libérale constitutionnelle qui valorise les droits de la personne et les protections des individus contre les empiètements des représentants de l’État. Cette voie est aussi caractérisée par un usage fréquent de la raison critique et instrumentale, et remet constamment en question des traditions, des façons de faire et de penser qui apparaissent comme irrationnelles ou incohérentes avec les principes d’égalité et de liberté individuelles. L’idéal d’émancipation porté par ce chemin ne sera jamais réalisé complètement, et nos acquis ne sont pas garantis.
 
Bonjour Piyale,

Si tu es capable d’être sérieux et honnête intellectuellement dans un débat, on pourrait avoir un échange intéressant ici, parce que oui tu mets le doigt sur certains problèmes, bien que je sois pas d’accord avec ta vision du modernisme (du moment qu’on distingue l’idéal et la réalité).

De façon générale, le modernisme a bifurqué dans deux directions opposées. Il a donné naissance à des États policiers totalitaires sur le modèle des ruches d’abeilles, où l’individu est mis tout entier au service du collectif et sacrifie son autonomie et ses libertés dans l’espoir illusoire que des ouvrages grandioses seront réalisés collectivement. L’État est divinisé. Mais on sait bien que les élites dans ce système sont corrompues, hypocrites et malhonnêtes.

L’autre chemin du modernisme est vers la démocratie libérale constitutionnelle qui valorise les droits de la personne et les protections des individus contre les empiètements des représentants de l’État. Cette voie est aussi caractérisée par un usage fréquent de la raison critique et instrumentale, et remet constamment en question des traditions, des façons de faire et de penser qui apparaissent comme irrationnelles ou incohérentes avec les principes d’égalité et de liberté individuelles. L’idéal d’émancipation porté par ce chemin ne sera jamais réalisé complètement, et nos acquis ne sont pas garantis.
Je ne crois pas que tu puisse donner des leçons d’honnêteté intellectuelle vu ce dont tu as été capable illustré parfaitement par ton introduction ridicule.
Sinon pour répondre sur le fond et surtout à la dernière partie de ton intervention, le problème du modernisme est justement d'avoir diviniser la Raison des élites, qui définit à un moment donné de leurs domination ce qu'est l'idéal, la définition des droits, ce qu'est l'égalité etc...
Forcement, la définition de ce qui est bien sera orientée de manière à aller dans l'interet de l'ordre établi.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Dire que le bien et le mal sont définis (mieux vaut dire : perçus) par la raison a l’effet contraire à ce que tu dis. Comme toutes les personnes adultes normales sont capables de raison, les élites ne peuvent se justifier qu’en raisonnant mieux que les masses et les opposants. Sauf que cela n’arrive pas nécessairement : un travailleur social parmi des marginaux peut être plus raisonnable que des idéologues de la droite économique qui soutiennent les riches et attaquent les filets sociaux. Un débat rationnel, c’est comme une partie d’échecs. Tout le monde a sa chance de gagner.

Oui les élites se justifient, mais de façon malhonnête, en utilisant les armes de la rhétorique, les sophismes, les mensonges et fake News, en diffamant, en manipulant les émotions et les passions des masses au lieu d’appeler à leur raison. Mais justement, le problème là-dedans est pas la raison du modernisme, mais justement son échec, ou l’échec de sa mise en œuvre. D’une certaine manière, on en est encore au débat de Socrate avec les sophistes.

Bref, le problème est que l’idéal d’émancipation et de rationalité des Lumières ne s’est réalisé que très partiellement. Le cœur humain est resté ce qu’il est : avide de pouvoir, intolérant, égoïste, fabulateur, tricheur, manipulateur. De cela, le modernisme est innocent. L’erreur d’un certain modernisme est de croire que la nature humaine est perfectible.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Je ne crois pas que tu puisse donner des leçons d’honnêteté intellectuelle vu ce dont tu as été capable illustré parfaitement par ton introduction ridicule.
Sinon pour répondre sur le fond et surtout à la dernière partie de ton intervention, le problème du modernisme est justement d'avoir diviniser la Raison des élites, qui définit à un moment donné de leurs domination ce qu'est l'idéal, la définition des droits, ce qu'est l'égalité etc...
Forcement, la définition de ce qui est bien sera orientée de manière à aller dans l'interet de l'ordre établi.

As-tu des références philosophiques qui proposent de diviniser la raison des élites? Je crois plutôt que la raison est ce qu’il y a de plus égalitaire, de plus démocratique, puisqu’il y a pas de droits de propriété sur la vérité. Voir le discours de la méthode de Descartes.

Ce sont les anciennes religions qui divinisaient les opinions des élites, puisqu’elles étaient censées représenter Dieu sur Terre, et l’accès aux révélations divines et à l’interprétation des révélations était contrôlé par l’élite, justement. Les masses n’avaient plus qu’à obéir au roi et aux prêtres.
 
Dire que le bien et le mal sont définis (mieux vaut dire : perçus) par la raison a l’effet contraire à ce que tu dis. Comme toutes les personnes adultes normales sont capables de raison, les élites ne peuvent se justifier qu’en raisonnant mieux que les masses et les opposants. Sauf que cela n’arrive pas nécessairement : un travailleur social parmi des marginaux peut être plus raisonnable que des idéologues de la droite économique qui soutiennent les riches et attaquent les filets sociaux. Un débat rationnel, c’est comme une partie d’échecs. Tout le monde a sa chance de gagner.

Oui les élites se justifient, mais de façon malhonnête, en utilisant les armes de la rhétorique, les sophismes, les mensonges et fake News, en diffamant, en manipulant les émotions et les passions des masses au lieu d’appeler à leur raison. Mais justement, le problème là-dedans est pas la raison du modernisme, mais justement son échec, ou l’échec de sa mise en œuvre. D’une certaine manière, on en est encore au débat de Socrate avec les sophistes.

Bref, le problème est que l’idéal d’émancipation et de rationalité des Lumières ne s’est réalisé que très partiellement. Le cœur humain est resté ce qu’il est : avide de pouvoir, intolérant, égoïste, fabulateur, tricheur, manipulateur. De cela, le modernisme est innocent. L’erreur d’un certain modernisme est de croire que la nature humaine est perfectible.
Meme dans l'idéal le plus merveilleux cela ne peut se réaliser pour une raison simple, la limite des connaissances.
En outre, dans la réalité, les dominant définissent la morale, ce qui est bien et mal, juste et injuste et ils leurs suffit d'etre bien organisé état "bourgeois", "bolchevique" ...et de maitriser les moyens de conditionnements pour façonner les opinions. A lire absolument les ouvrages de Berneys, Chomsky, Muray ....
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Meme dans l'idéal le plus merveilleux cela ne peut se réaliser pour une raison simple, la limite des connaissances.
En outre, dans la réalité, les dominant définissent la morale, ce qui est bien et mal, juste et injuste et ils leurs suffit d'etre bien organisé état "bourgeois", "bolchevique" ...et de maitriser les moyens de conditionnements pour façonner les opinions. A lire absolument les ouvrages de Berneys, Chomsky, Muray ....

Ok mais c’est pas à cela qu’aspiraient les philosophes des Lumières.

Par exemple, bien que Voltaire et sa clique fussent racistes et sexistes, les mouvements des droits civiques des Noirs et les mouvements de libération des femmes étaient au fond des réalisations tout à fait dans l’Esprit des Lumières, et ils ne sont pas venus des élites.

Donc ta critique ne porte pas vraiment. Pas plus que ta critique de l’Église basée sur des Croisés anthropophages.
 
As-tu des références philosophiques qui proposent de diviniser la raison des élites? Je crois plutôt que la raison est ce qu’il y a de plus égalitaire, de plus démocratique, puisqu’il y a pas de droits de propriété sur la vérité. Voir le discours de la méthode de Descartes.

Ce sont les anciennes religions qui divinisaient les opinions des élites, puisqu’elles étaient censées représenter Dieu sur Terre, et l’accès aux révélations divines et à l’interprétation des révélations était contrôlé par l’élite, justement. Les masses n’avaient plus qu’à obéir au roi et aux prêtres.
Les rois et les pretres ont pris de nouvelles formes. Quand je parle de diviniser la raison, je veux dire par la que l'ordre établi dont profite l'élite actuelle, à fait de cette idole ce que les prêtres égyptiens ont fait de pharaon. Ce qui permet de légitimer leurs définitions de la morale.
 
Ok mais c’est pas à cela qu’aspiraient les philosophes des Lumières.

Par exemple, bien que Voltaire et sa clique fussent racistes et sexistes, les mouvements des droits civiques des Noirs et les mouvements de libération des femmes étaient au fond des réalisations tout à fait dans l’Esprit des Lumières, et ils ne sont pas venus des élites.

Donc ta critique ne porte pas vraiment. Pas plus que ta critique de l’Église basée sur des Croisés anthropophages.
L'esprit des lumières est la religion qui a permis à la bourgeoisie de fonder son régime, comme le catholicisme était nécessaire aux féodaux. Ces derniers définissaient la morale en la justifiant pour l'église, ceux qui te gouvernent la justifient par la raison, la leurs évidement que tu finiras par accepter.
 

Ebion

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VIB
L'esprit des lumières est la religion qui a permis à la bourgeoisie de fonder son régime, comme le catholicisme était nécessaire aux féodaux. Ces derniers définissaient la morale en la justifiant pour l'église, ceux qui te gouvernent la justifient par la raison, la leurs évidement que tu finiras par accepter.

Dire que le pouvoir repose sur la raison - plutôt que sur la volonté des dieux ou ancêtres ou sur une Tradition immuable - est une idée profondément subversive, avec le potentiel de perturber l’ordre établi et les puissants.

C’est cela que tu ne sembles pas voir.

Car les opprimés ne sont pas moins raisonnables que les élites, et les dissidents politiques ont souvent plus de capital intellectuel que les idéologues au service du statu quo. Que des puissants usent de tactiques, de manipulation, et de ruses pour faire croire qu’ils ont raison est une arme à double tranchant, car leurs ennemis peuvent les démasquer et les dénoncer, ce qui leur ôte de la légitimité. La raison est démocratique en ceci que tous les adultes normaux, surtout avec quelques notions de logiques, sont capables de juger d’un argument basé (réellement ou non) sur la raison. Il y a aussi l’arme de la dérision. Ce qui est raisonnable impose le respect. Ce qui est illogique ou absurde fait rire. Et le rire peut ôter de la légitimité.

Il y a aussi le fait qu’on ne peut pas se battre indéfiniment contre la réalité. La réalité finit par faire sentir son poids. Il y a des hommes d’Église qui ont combattu le paratonnerre ou le vaccin comme affront à la Providence divine, mais la réalité a fait valoir ses droits. De même, les Soviets ne pouvaient pas faire semblant qu’il y avait autant d’abondance dans les magasins en URSS que dans ceux des pays capitalistes. De nos jours, les fanatiques et complotistes nient l’existence du changement climatique causé par l’activité humaine. La réalité est pourtant en train de les rattraper.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
@morjani

Une autre illustration de la réalité qu’on ne peut pas combattre indéfiniment, c’est la génétique stalinienne de Lyssenko et son échec total.
 
Dire que le pouvoir repose sur la raison - plutôt que sur la volonté des dieux ou ancêtres ou sur une Tradition immuable - est une idée profondément subversive, avec le potentiel de perturber l’ordre établi et les puissants.

C’est cela que tu ne sembles pas voir.

Car les opprimés ne sont pas moins raisonnables que les élites, et les dissidents politiques ont souvent plus de capital intellectuel que les idéologues au service du statu quo. Que des puissants usent de tactiques, de manipulation, et de ruses pour faire croire qu’ils ont raison est une arme à double tranchant, car leurs ennemis peuvent les démasquer et les dénoncer, ce qui leur ôte de la légitimité. La raison est démocratique en ceci que tous les adultes normaux, surtout avec quelques notions de logiques, sont capables de juger d’un argument basé (réellement ou non) sur la raison. Il y a aussi l’arme de la dérision. Ce qui est raisonnable impose le respect. Ce qui est illogique ou absurde fait rire. Et le rire peut ôter de la légitimité.

Il y a aussi le fait qu’on ne peut pas se battre indéfiniment contre la réalité. La réalité finit par faire sentir son poids. Il y a des hommes d’Église qui ont combattu le paratonnerre ou le vaccin comme affront à la Providence divine, mais la réalité a fait valoir ses droits. De même, les Soviets ne pouvaient pas faire semblant qu’il y avait autant d’abondance dans les magasins en URSS que dans ceux des pays capitalistes. De nos jours, les fanatiques et complotistes nient l’existence du changement climatique causé par l’activité humaine. La réalité est pourtant en train de les rattraper.

C'est naif pour ne pas dire autre chose de croire que tout le monde peut définir la morale, en réalité seule l'élite le fait, car elle a tout simplement les moyens de le faire et d'imposer sa vision au reste de la masse.
 
@morjani

Une autre illustration de la réalité qu’on ne peut pas combattre indéfiniment, c’est la génétique stalinienne de Lyssenko et son échec total.
Ce que tu évoques est dérisoire. Grace à la religion moderniste qu'elle soit dans sa forme bolchevique, républicaine, libérale...c'est toujours l'élite qui définit la morale, ce qui est juste et injuste, en justifiant cela par le droit de s'en remettre à la "Raison".
 

BloodySunday

Bladinaute averti
Ce que tu évoques est dérisoire. Grace à la religion moderniste qu'elle soit dans sa forme bolchevique, républicaine, libérale...c'est toujours l'élite qui définit la morale, ce qui est juste et injuste, en justifiant cela par le droit de s'en remettre à la "Raison".
D'ailleurs, cette morale de l'élite, chez les bolchéviques, ça s'appelait même, l'élite de rouge.
 

Ebion

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VIB
C'est naif pour ne pas dire autre chose de croire que tout le monde peut définir la morale, en réalité seule l'élite le fait, car elle a tout simplement les moyens de le faire et d'imposer sa vision au reste de la masse.

Comme on vit en société et que plusieurs groupes ont des intérêts divergents et même opposés, il faut accepter certaines règles communes régissant les relations entre citoyens ou entre citoyens et l’État pour éviter les violences et le chaos. Le problème est de fonder cette morale sociale. Et ce fondement n’est jamais complètement assuré et inébranlable. Qu’on affirme que la société repose sur une Loi divine, sur des traditions léguées par des ancêtres héroïques, sur un droit naturel, sur un calcul utilitariste ou sur un contrat social, cela ne fonctionne jamais de façon parfaite et l’équilibre est précaire.

L’avantage de s’en remettre à la Raison est qu’elle n’est pas élitiste, même si, bien sûr, certains sont plus savants ou éloquents que d’autres. Chacun peut utiliser sa raison et juger des arguments des débats. Le problème, pour le redire, n’est pas la raison, mais les manipulateurs, sophistes et menteurs qui essaient de faire croire qu’ils ont raison.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Ce que tu évoques est dérisoire. Grace à la religion moderniste qu'elle soit dans sa forme bolchevique, républicaine, libérale...c'est toujours l'élite qui définit la morale, ce qui est juste et injuste, en justifiant cela par le droit de s'en remettre à la "Raison".

Tu n’argumentes pas, tu reformules simplement ta thèse.
 
Comme on vit en société et que plusieurs groupes ont des intérêts divergents et même opposés, il faut accepter certaines règles communes régissant les relations entre citoyens ou entre citoyens et l’État pour éviter les violences et le chaos. Le problème est de fonder cette morale sociale. Et ce fondement n’est jamais complètement assuré et inébranlable. Qu’on affirme que la société repose sur une Loi divine, sur des traditions léguées par des ancêtres héroïques, sur un droit naturel, sur un calcul utilitariste ou sur un contrat social, cela ne fonctionne jamais de façon parfaite et l’équilibre est précaire.

L’avantage de s’en remettre à la Raison est qu’elle n’est pas élitiste, même si, bien sûr, certains sont plus savants ou éloquents que d’autres. Chacun peut utiliser sa raison et juger des arguments des débats. Le problème, pour le redire, n’est pas la raison, mais les manipulateurs, sophistes et menteurs qui essaient de faire croire qu’ils ont raison.

Fonde la morale que ceux qui ont en les moyens, c'est donc un privilège qui revient logiquement à l'élite, tout ce qui est débat, et autres mise en scènes démocratique, fait partie du management.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Fonde la morale que ceux qui ont en les moyens, c'est donc un privilège qui revient logiquement à l'élite, tout ce qui est débat, et autres mise en scènes démocratique, fait partie du management.

On peut quand même pas dire que le peuple est aussi réprimé et muselé et finalement impuissant en France ou au Canada en 2018 qu’ils l’étaient en France sous Louis XIV ou en Égypte pharaonique! Le fait d’accorder le droit de vote aux femmes ou d’abolir l’esclavage, ou d’adopter des normes du travail, cela ne servait pas les intérêts des puissants, et pourtant ça a eu lieu!

Tu as quand même un peu raison de dire que les puissants jettent de la poudre aux yeux en nous faisant croire plus libres qu’en réalité.
 
On peut quand même pas dire que le peuple est aussi réprimé et muselé et finalement impuissant en France ou au Canada en 2018 qu’ils l’étaient en France sous Louis XIV ou en Égypte pharaonique! Le fait d’accorder le droit de vote aux femmes ou d’abolir l’esclavage, ou d’adopter des normes du travail, cela ne servait pas les intérêts des puissants, et pourtant ça a eu lieu!

Tu as quand même un peu raison de dire que les puissants jettent de la poudre aux yeux en nous faisant croire plus libres qu’en réalité.
Tous les arguments que tu évoques ne sont que les effets produit par une structure dont profite les agents qui l'ont façonné et la font évoluer.
Le droit de vote des femmes n'a évidement aucune conséquence sur l'ordre établi, car les femmes comme les hommes votent comme on leur dit de voter. Quant à l'abolition de l’esclavage "occidental" elle est tout simplement la conséquence directe du changement de mode de production et des relations de production. Pour finir les normes du
travail, sont tout simplement le produit d'un arrangement rendu possible par l'espace que donne le marché du travail. Mais l’ignominie du salariat, ou encore les taxes sur le revenu à travers l’impôt et surtout l'inflation font du travail moderne une véritable aliénation.
 

BloodySunday

Bladinaute averti
Tous les arguments que tu évoques ne sont que les effets produit par une structure dont profite les agents qui l'ont façonné et la font évoluer.
Le droit de vote des femmes n'a évidement aucune conséquence sur l'ordre établi, car les femmes comme les hommes votent comme on leur dit de voter. Quant à l'abolition de l’esclavage "occidental" elle est tout simplement la conséquence directe du changement de mode de production et des relations de production. Pour finir les normes du
travail, sont tout simplement le produit d'un arrangement rendu possible par l'espace que donne le marché du travail. Mais l’ignominie du salariat, ou encore les taxes sur le revenu à travers l’impôt et surtout l'inflation font du travail moderne une véritable aliénation.
C'est vrai que le travail ancestral ( par opposition au travail "moderne" ) n'était en rien une aliénation. Pas de congés, des journées de travail interminables, aucune protection sociale, des salaires de misère, etc.....

Ceci dit, ça ne nous change pas du discours sur l'esclavage en Islam et en occident. En Islam, l'esclavage, c'était super cool et les gens faisaient la queue pour y aller. T'étais syndiqué, t'avais des congés payés et le boss musulman qui t'avait acheté, il avait tellement les boules de t'avoir comme esclave qu'il t'invitait chez lui et tu couchais dans la chambre d'amis.

En occident, c'était "ta gueule", "monte dans le bateau" et un bon coup de fouet genre "faut quand même leur montrer qui c'est le patron".
 
C'est vrai que le travail ancestral ( par opposition au travail "moderne" ) n'était en rien une aliénation. Pas de congés, des journées de travail interminables, aucune protection sociale, des salaires de misère, etc.....

Ceci dit, ça ne nous change pas du discours sur l'esclavage en Islam et en occident. En Islam, l'esclavage, c'était super cool et les gens faisaient la queue pour y aller. T'étais syndiqué, t'avais des congés payés et le boss musulman qui t'avait acheté, il avait tellement les boules de t'avoir comme esclave qu'il t'invitait chez lui et tu couchais dans la chambre d'amis.

En occident, c'était "ta gueule", "monte dans le bateau" et un bon coup de fouet genre "faut quand même leur montrer qui c'est le patron".
Un argument simple que comprendrait n'importe quel simplet: Chez nous le 3abid pouvait devenir sultan, aux USA ou aux Antilles, l'esclave était un bien mobilier ainsi que toute sa descendance.
 
Dernière édition:

1HundredEyes

Vive la Palestine
VIB
A travers ce sujet je vais tenter d'expliquer ce qu'est le modernisme, la religion majoritaire dans le monde.
Cette religion qui découlerait notamment des "lumières" a pour principe fondamental que la morale est définit par la "Raison", autrement dit par la raison de l'élite du moment.
C'est ces gens la qui décident à travers les époques, qu'est ce qui est morale et ne l'est pas, ce qui est juste ou injuste, ils définissent le mal et le bien et diffusent leurs vision de la morale à travers leurs outils d'éducation de masse, tel que les médias, les universités, les leaders d'opinions etc...
La morale sera entre autre définit par apport aux interets économiques, politiques, socio etc...du moment.
Quand le modernisme est l'idéologie dominante, le cadre de la masse, il est possible d'imposer n'importe quel raisonnement. Cela est possible grace à un principe simple: le relativisme.
Comme va l'illustrer le sujet et le cas du crime qu'est la pédophilie, qui peut etre vu et définit comme une orientation sexuelle (voir sur youtube Maitre Levy, avocat puissant et médiatisé est l'un des plus grandes défenseur de la pédophilie en France), c'est à dire que le pédophile serait né comme ça, il n'a pas le choix, il est attiré sexuellement que par les enfants et ce de manière naturel.
Grace à la déesse raison et au relativisme les sociétés les plus moderniste ont légiféré pour admettre différents types d'orientations sexuelles et les rendre acceptable, aujourd'hui des lobbies font pression pour que la pédophilie ne soit plus un crime ou une perversion comme l'était l'homosexualité mais deviennent une chose acceptée.
Evidement dans un premier temps les enfants seront protégés, il ne s'agit juste que de faire accepter l'attirance pour les enfants et non le passage à l'acte.

La pédophilie c'est trop beau :love:

Edit: oups dsl j'écoutais de la musique poétique, à faire chialer même sur une scène de papy qui fait popo.

Plus sérieusement la morale des Hommes c'est de la *****, cette pauvre vermine qui évolue dans un monde qui l'a dépasse totalement et qui malgré ça arrive à se fabriquer des certitudes :joueur: inchallah qu'ils s'étouffent avec, misérables vermines orgueilleuses... Cela pourrait suffire à justifier l'existence de l'enfer.
 

1HundredEyes

Vive la Palestine
VIB
Avant de l'offusquer et lever les yeux en l'air comme si on connaissait les secrets de l'alpha et de l'omega ça serait bien de se disséquer et voir comment biologiquement l'Homme se forge une opinion, de manière arbitraire et finit par y croire très fort: cerveau reptilien ( primitif/instinctif) > Cerveau limbique> néo cortex, en gros vos choix et actions, vos principes et morale sont initiés par le cortex (instinct de survie/opportunisme/reproduction de l'espèce) qui provoque des émotions et sensations au niveau du cerveau limbique, et rationalisé au niveau du cortex pour lui donner une raison/une légitimité etc voilà tout !! RIEN D'AUTRE !!
Là vous avez le concret, après le levage des yeux en l'air, les pères la morale et autres adeptes de l'offusquerie tooz !!!

Je vous met 2 vidéo pour vous donner une idée du niveau de celui qui s'est hérigé en maitre de l'univers et capable de faire la morale et légiférer en ce sens:



Un peu d'humilité ça nous ferait du bien.
 

Darth

La preuve incombe à celui qui affirme.
VIB
Un argument simple que comprendrait n'importe quel simplet: Chez nous le 3abid pouvait devenir sultan, aux USA ou aux Antilles, l'esclave était un bien mobilier ainsi que toute sa descendance.
Même un simplet pourrait comprendre que l'esclavage est une abomination et que rien ne peut le justifier. Rien. Pas même les quelques exemples d'affranchis...

Et ne t'en déplaise, l'on sait aujourd'hui que les musulmans furent les premiers à piller l'Afrique noire en ressources humaines à très large échelle. Une prouesse qui permit de soutenir financièrement leurs empires naissants. Un système génial légué ensuite aux hispaniques en manque cruel de main d'oeuvre corvéable à souhait dans leurs nouvelles colonies. Car à contrario que de ce que beaucoup d'ignares pensent encore et toujours, les européens n'ont pas massacré la majorité des amérindiens; ce sont des crasses naturelles comme la variole & Co involontairement importées aux Amériques qui ont très majoritairement décimé les populations autochtones. L'hécatombe virale fut telle qu'il leur fallut se tourner vers l'Afrique et les négriers arabes forts d'une expérience de 6 siècles déjà.

Ne me remercie pas pour cette remise à l'heure juste des pendules, c'est avec plaisir.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Car rien ne peut justifier la réification de l'etre humain, malheureusement elle est toujours encoure dans le monde ultra libéral.

Autrefois l’esclavage était encadré par les religieux et leurs « révélations », maintenant il l’est par le marché, et ce sont parfois les religieux qui sont à la pointe du combat contre l’esclavage.
 
Autrefois l’esclavage était encadré par les religieux et leurs « révélations », maintenant il l’est par le marché, et ce sont parfois les religieux qui sont à la pointe du combat contre l’esclavage.
L'église s'est couché devant le modernisme à Vatican II, quant au protestantisme il est la matrice du libéralisme (pour Sombart c'est le judaisme, dans tout les cas les 2 religions ont un lien très fort). Par contre l'esclavagisme "occidental" mené d'abord par des juifs portugais et hollandais comme Isaac Da Costa (sans doute le plus grand marchand d'esclaves durant la Traite), la famille Gradis, D'Andrad...a non seulement fait de l'esclave une marchandise, un bien mobilier, mais il l'a racialisé et il est vrai qu'il y avait des hommes d'église qui se sont battu contre ça mais ils furent très vite réduit par leurs supérieurs, car la curie était deja soumise à la bourgeoisie qui avait deja à cette 'époque le vent en poupe.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
L'église s'est couché devant le modernisme à Vatican II, quant au protestantisme il est la matrice du libéralisme (pour Sombart c'est le judaisme, dans tout les cas les 2 religions ont un lien très fort). Par contre l'esclavagisme "occidental" mené d'abord par des juifs portugais et hollandais comme Isaac Da Costa (sans doute le plus grand marchand d'esclaves durant la Traite), la famille Gradis, D'Andrad...a non seulement fait de l'esclave une marchandise, un bien mobilier, mais il l'a racialisé et il est vrai qu'il y avait des hommes d'église qui se sont battu contre ça mais ils furent très vite réduit par leurs supérieurs, car la curie était deja soumise à la bourgeoisie qui avait deja à cette 'époque le vent en poupe.

Je ne pense pas que tu comprennes ce qu’a fait Vatican II, et c’est ridicule de résumer cela à un aplatissement devant le modernisme comme tu le fais. :)
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Ta naiveté ou ton ignorance est affligeante, Vatican 2 ce n'est rien d'autre que la soumission de l'église au modernisme.

Tu ne sais pas de quoi tu parles. D'ailleurs ton message n'argumente pas, mais ne fait que reformuler ton idée.

L'Église a abandonné un certain style théologique sclérosé et servile à Vatican II et elle a incorporé certaines idées modernes à son bagage, non sans nuancer et "filtrer", mais ce n'est pas un aplatissement devant le modernisme (surtout que le modernisme a un sens bien particulier dans l'histoire de l'Église, en particulier entre 1900 et 1965). L'Église n'a pas abandonné à Vatican II son engagement pour la vérité objective, ni pour la morale objective, ni pour la hiérarchie objective des religions et des Églises. Elle n'a pas abandonné son attachement à une certaine connaissance métaphysique (même sans encourager une scolastique de manuels sclérosée). Elle n'a pas abandonné les dogmes christologiques, trinitaires et mariologiques. Elle n'a pas assoupli son refus de l'avortement ou du divorce (il n'était pas encore question d'homosexualité). Elle ne s'est rangée ni du côté des communistes ni du côté des capitalistes. Elle a apporté quelques aménagements à la liturgie, l'usage du vernaculaire, l'implication des fidèles, la collaboration des laïcs, mais dans l'histoire de l'Église, la liturgie avait déjà connu d'autres évolutions. Elle a accepté le principe de liberté religieuse, mais sans affirmer que "toutes les religions se valent" ou que le pluralisme religieux est conforme au plan de Dieu et que les missions ne servent plus à rien.

Pour donner un autre exemple, les Pères de l'Église ont utilisé des termes grecs abstraits pour décrire la foi chrétienne (ousia, hypostasis, prosopon, kénose, etc.), mais ça ne veut pas dire que l'Évangile a été contaminé par l'hellénisme au point d'en être dénaturé, de s'aplatir devant lui. Quand on analyse bien, on se rend compte que les Pères de l'Église n'ont pas altéré certains points irréductiblement bibliques (contrairement à des hérétiques).
 

toino

Bladinaute averti
Les rois de France étaient les élus de Dieu. Leur pouvoir était absolu et sacré. Puis on en a pris un, et on lui a coupé la tête. Depuis ça va un peu mieux.
Les pédophiles sont peut-être nés comme ça. Ou c'est acquis. On s'en fout. On a le "droit" d'être pédophile. On a pas le droit de passer à l'acte.
Moi j'ai envie d'éclater à coups de batte mon voisin qui met son chien à l'attache h24. On peut pas m'interdire d'en avoir envie.
Un jour on reconnaitra que les chiens sont des êtres vivants et l'attache sera interdite. C'est l'évolution législative que permet une morale fondée sur la raison, et non sur des vagues textes qui ont des siècles. En attendant, puisque Dieu a soi disant créé le reste du vivant pour nous servir, les animaux n'ont aucun droit, et on peut rien faire. Ça coïncide très bien avec des intérêts économiques d'ailleurs. Elle est pas belle la vie ?
 
Ebion à dit:
Car les opprimés ne sont pas moins raisonnables que les élites, et les dissidents politiques ont souvent plus de capital intellectuel que les idéologues au service du statu quo. Que des puissants usent de tactiques, de manipulation, et de ruses pour faire croire qu’ils ont raison est une arme à double tranchant, car leurs ennemis peuvent les démasquer et les dénoncer, ce qui leur ôte de la légitimité. La raison est démocratique en ceci que tous les adultes normaux, surtout avec quelques notions de logiques, sont capables de juger d’un argument basé (réellement ou non) sur la raison. Il y a aussi l’arme de la dérision. Ce qui est raisonnable impose le respect. Ce qui est illogique ou absurde fait rire. Et le rire peut ôter de la légitimité.
Bonjour Ebion,

Je ne crois pas qu'à notre ère il soit possible, pour les ennemis des puissants, d'avoir une capacité d'expression suffisamment importante pour démonter, raisonnablement, les tactiques insidieuses de manipulation mises au point par les puissants. Afin que le message puisse porter, il est nécessaire de disposer de certains canaux de communication qui se situent malheureusement tous entre les mains des puissants. Pour ce qui est de la France tout du moins, les principaux journaux, les principales chaines de télévision, les principales radios appartiennent à un cercle très restreint de millionnaires/milliardaires qui s'avèrent être affiliés aux hommes de pouvoir.

La désinformation, l'appel aux émotions, la volonté de réveiller et de contrôler les bas instincts qui sommeillent en chacun d'entre-nous et ce par le biais d'un matraquage médiatique, toutes ces techniques de manipulation se montrent, à mon sens, bien plus opérantes, bien plus prolifiques en terme de résultats qu'une démonstration critique de l'inefficience concrète des politiques menées et des moyens de détournements utilisés afin d'occulter cette incurie caractéristique de la classe politique, si celle-ci t cette critique) n'est pas propagée à large échelle (Or, comment peut-elle l'être).

De plus, s'il est vrai que la raison est utilisable par tous, il m'apparait nécessaire de prendre en compte que tous ne sont pas capables de la mener avec justesse. Il ne suffit pas de raisonner, je pense, afin d'appréhender la vérité. Au contraire, celle-ci (la raison) ne peut irrémédiablement que nous en y éloigner (la vérité) lorsque nous ne menons pas correctement notre réflexion. Ainsi, je peux juger de l'argument d'untel ou untel avec ma raison mais rien ne me certifie que mes conclusions s'avèreront être justes puisque divers biais s'agrègeront pour influer ma réflexion vers telle ou telle direction qui m'éloignera/me rapprochera de la vérité (que ce soient mes émotions du moment, mes croyances, mes intérêts personnels, mes expériences passées qui me conduiront à plus ou moins percevoir certains aspects etc...).

J'en conclus que d'une part, même une raison correctement menée se montre insuffisante pour porter un message de vérité qui viendra s'opposer aux tactiques de manipulation des puissants. D'autre part, que la raison n'est pas gage de vérité car de nombreux autres éléments interviennent nécessairement dans toute réflexion en plus du fait qu'il faut savoir correctement la mener.

Prenez un argumentaire que vous donnez à analyser à dix personnes et vous constaterez peut-être que ceux-ci finiront par en tirer 10 conclusions différentes. De plus, bien des actions malveillantes peuvent se justifier par la raison. Ainsi, le SS était tout aussi raisonnablement convaincu du bien-fondé de son action lorsqu'il exécutait ce qu'il considérait comme étant un parasite pour notre société, que lorsque nous tuons un cafard dans notre lieu de vie afin de l'assainir. De même, c'est par la raison que je peux justifier mon désamour envers l'homosexualité ou le féminisme ou bien d'autres choses que certains percevront différemment grâce, là aussi, à leur raison et ceci car ma raison, combinée à mes croyances, à ma constitution psycho-organique, à mes diverses socialisations, à mes expériences etc.... me poussera à émettre des analyses qui ne seront en fait que la photocopie de mon être profond.

Or, il m'apparait impossible que de se montrer totalement neutre (entendu dans le sens : se détacher de tous ces biais que j'énonce, de tous ses à-priori également) tout en conduisant avec justesse sa raison (même les sociologues témoignent de leur impossibilité à se détacher totalement de l'objet de leur étude afin de le retranscrire exhaustivement et ce de façon totalement objective car ils ont conscience qu'il s'agit là d'une tâche impossible et que la marque de ce que l'on est au fond de soi se retrouvera inéluctablement dans ses conclusions). Comment, dès lors, la raison pourrait-elle être synonyme d'un monde plus juste et plus apaisé si tant est qu'elle était menée par tous.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Bonjour débatto @DKKRR :joueur:

Je te réponds demain!

Je fais habituellement de longs posts à mon retour du boulot puis le reste de la soirée je lis ou je relaxe. :)
 
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