salam
Le livre du Dr Elizabeth Blackburn et du Dr Elissa Epel consacré aux télomères est une source d’informations essentielles pour vivre mieux et plus longtemps.
On n’y apprend que nos habitudes de pensée, liées à notre personnalité et nos croyances, jouent un rôle prépondérant dans la longueur de nos télomères, sorte de capuchons situés à l’extrémité de nos chromosomes dont le longueur détermine notre longévité et notre santé.
Je vous invite à explorer ces habitudes de pensées dont les effets ont été démontrés scientifiquement. À nous de les changer !
Les pensées qui réduisent nos télomères
L’hostilité cynique : c’est un style émotionnel associant un niveau élevé de colère et l’idée récurrente qu’on ne peut faire confiance à personne. Elle se caractérise aussi par la tendance à considérer que les autres nous en veulent ou agissent pour nous tourmenter.
Le pessimisme : Notre cerveau est programmé pour prévoir le futur.
Il sonde l’environnement en permanence, le compare aux expériences vécues dans le passé à la recherche de menaces potentielles, ceci afin de nous garder en sécurité. Certaines personnes ont un biais de perception de ces dangers en exagérant les risques dans les situations les plus banales et en s’attendant « au pire ». C’est ce que nous appelons le pessimisme.
Le vagabondage mental : Nous passons en moyenne la moitié de la journée à penser à autre chose que ce que nous sommes en train de faire, notamment en ruminaient des idées noires. Cette habitude réduit la longueur de nos télomères.
Faire plusieurs choses à la fois : Le multi-tâche est dommageable pour nos télomères. Ce facteur est malheureusement favorisé par les nouvelles technologies et la profusion d’écrans. Cela demande donc de la discipline pour se concentrer sur une seule tâche.
La rumination : Ruminer, c’est ressasser ses doutes et difficultés encore et encore sans pour autant trouver de solution. Ruminer est par conséquent l’opposé de la réflexion, qui, elle, mène à des issues favorables et à l’action.
La répression mentale : Il s’agit d’une anti-pensée dans le sens où c’est une tentative de se débarrasser des pensées et des émotions indésirables. L’inefficacité de cette technique se cumule à un raccourcissement des télomère lié au stress induit. Comme exemple de répression : « Essayez de NE PAS PENSER à un ours blanc ? ». Au lieu de chasser la pensée, elle devient obsédante.
Les pensées et habitudes qui préservent nos télomères
Les pensées qui préservent nos télomères et augmentent notre longévité peuvent se regrouper sous l’appellation de pensées résilientes.
Voici ce qui les alimente.
Le livre du Dr Elizabeth Blackburn et du Dr Elissa Epel consacré aux télomères est une source d’informations essentielles pour vivre mieux et plus longtemps.
On n’y apprend que nos habitudes de pensée, liées à notre personnalité et nos croyances, jouent un rôle prépondérant dans la longueur de nos télomères, sorte de capuchons situés à l’extrémité de nos chromosomes dont le longueur détermine notre longévité et notre santé.
Je vous invite à explorer ces habitudes de pensées dont les effets ont été démontrés scientifiquement. À nous de les changer !
Les pensées qui réduisent nos télomères
L’hostilité cynique : c’est un style émotionnel associant un niveau élevé de colère et l’idée récurrente qu’on ne peut faire confiance à personne. Elle se caractérise aussi par la tendance à considérer que les autres nous en veulent ou agissent pour nous tourmenter.
Le pessimisme : Notre cerveau est programmé pour prévoir le futur.
Il sonde l’environnement en permanence, le compare aux expériences vécues dans le passé à la recherche de menaces potentielles, ceci afin de nous garder en sécurité. Certaines personnes ont un biais de perception de ces dangers en exagérant les risques dans les situations les plus banales et en s’attendant « au pire ». C’est ce que nous appelons le pessimisme.
Le vagabondage mental : Nous passons en moyenne la moitié de la journée à penser à autre chose que ce que nous sommes en train de faire, notamment en ruminaient des idées noires. Cette habitude réduit la longueur de nos télomères.
Faire plusieurs choses à la fois : Le multi-tâche est dommageable pour nos télomères. Ce facteur est malheureusement favorisé par les nouvelles technologies et la profusion d’écrans. Cela demande donc de la discipline pour se concentrer sur une seule tâche.
La rumination : Ruminer, c’est ressasser ses doutes et difficultés encore et encore sans pour autant trouver de solution. Ruminer est par conséquent l’opposé de la réflexion, qui, elle, mène à des issues favorables et à l’action.
La répression mentale : Il s’agit d’une anti-pensée dans le sens où c’est une tentative de se débarrasser des pensées et des émotions indésirables. L’inefficacité de cette technique se cumule à un raccourcissement des télomère lié au stress induit. Comme exemple de répression : « Essayez de NE PAS PENSER à un ours blanc ? ». Au lieu de chasser la pensée, elle devient obsédante.
Les pensées et habitudes qui préservent nos télomères
Les pensées qui préservent nos télomères et augmentent notre longévité peuvent se regrouper sous l’appellation de pensées résilientes.
Voici ce qui les alimente.