salam
La société moderne dans laquelle nous vivons, exige de nous toujours plus de performance, de vitesse et de productivité. Ainsi, l’homme est transformé en opérateur mécanique, qui s’il est usé, est jeté au rebut. L’homme est poussé en permanence au perfectionnisme, à être une machine bien huilée qui reproduit sans cesse les mêmes gestes, sans jamais faire d’erreur. Mais l’être humain est, par nature, imparfait.
Qu’est-ce donc que le perfectionnisme ? C’est un trait de personnalité qui mène beaucoup d’hommes et de femmes vers un mal-être psychologique. Il consiste à vouloir être parfait, être le meilleur dans chaque domaine que l’on aborde. Vu sous cet angle, cela paraît à l’évidence comme une qualité, car qui aime faire des erreurs ? Il est notable, cependant, que l’erreur volontaire ou involontaire est source d’enseignements et apporte beaucoup à celui qui la commet. C’est par les essais et erreurs que l’enfant apprend à marcher ; il se met debout, chute, puis se remet debout. De même, à l’école, c’est par les exercices que l’enfant réussit à comprendre les concepts et donc par le biais de réussites et d’échecs. L’être humain lorsqu’il apprend, et donc lorsqu’il est sur le chemin vers Dieu, connait des réussites mais aussi des erreurs dont il doit tirer partie. Et Dieu est Le Clément, Le Tout-Compatissant, Le Pardonneur.
Comment donc pourrions-nous être intransigeants envers-nous même alors que Dieu est le Grand Accueillant au repentir et qu’Il « n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens […] »[1].
La société moderne dans laquelle nous vivons, exige de nous toujours plus de performance, de vitesse et de productivité. Ainsi, l’homme est transformé en opérateur mécanique, qui s’il est usé, est jeté au rebut. L’homme est poussé en permanence au perfectionnisme, à être une machine bien huilée qui reproduit sans cesse les mêmes gestes, sans jamais faire d’erreur. Mais l’être humain est, par nature, imparfait.
Qu’est-ce donc que le perfectionnisme ? C’est un trait de personnalité qui mène beaucoup d’hommes et de femmes vers un mal-être psychologique. Il consiste à vouloir être parfait, être le meilleur dans chaque domaine que l’on aborde. Vu sous cet angle, cela paraît à l’évidence comme une qualité, car qui aime faire des erreurs ? Il est notable, cependant, que l’erreur volontaire ou involontaire est source d’enseignements et apporte beaucoup à celui qui la commet. C’est par les essais et erreurs que l’enfant apprend à marcher ; il se met debout, chute, puis se remet debout. De même, à l’école, c’est par les exercices que l’enfant réussit à comprendre les concepts et donc par le biais de réussites et d’échecs. L’être humain lorsqu’il apprend, et donc lorsqu’il est sur le chemin vers Dieu, connait des réussites mais aussi des erreurs dont il doit tirer partie. Et Dieu est Le Clément, Le Tout-Compatissant, Le Pardonneur.
Comment donc pourrions-nous être intransigeants envers-nous même alors que Dieu est le Grand Accueillant au repentir et qu’Il « n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens […] »[1].