La persécution des Ouïgours en Chine, aucun pays ne s'en préoccupe !

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Il est des pays qui obéissent à la Chine
Les autorités marocaines ne doivent pas renvoyer Idris Hasan, un homme ouïghour qui a été placé en détention, vers la Chine où il risque la torture, a déclaré Amnesty International mardi 27 juillet.

Âgé de 34 ans et père de trois enfants, il a été arrêté à son arrivée au Maroc en provenance de la Turquie la semaine dernière et conduit dans une prison près de la ville de Tifle
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Une manifestante Ouïghoure installée en Turquie, lors d'une manifestation à Istanbul en octobre 2020. La Chine a ratifié le 26 décembre dernier un traité d'extradition avec la Turquie. Le texte doit favoriser le retour de Ouïghours, accusés de "terrorisme" s'étant réfugiés en Turquie.6 janv. 2021
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Ouigours, Tibétains, autres minorités en Chine... Ceux qui se mettent en travers de l'idée d'unité des l'empire du milieu sont écrasés... Et personne n'ose "franchement" condamner autrement que verbalement, parce que la Chine, c'est quand même la Chine... :)
Faut respecter le leader des BRICS
 
Il est des pays qui obéissent à la Chine
Les autorités marocaines ne doivent pas renvoyer Idris Hasan, un homme ouïghour qui a été placé en détention, vers la Chine où il risque la torture, a déclaré Amnesty International mardi 27 juillet.

Âgé de 34 ans et père de trois enfants, il a été arrêté à son arrivée au Maroc en provenance de la Turquie la semaine dernière et conduit dans une prison près de la ville de Tifle
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Une manifestante Ouïghoure installée en Turquie, lors d'une manifestation à Istanbul en octobre 2020. La Chine a ratifié le 26 décembre dernier un traité d'extradition avec la Turquie. Le texte doit favoriser le retour de Ouïghours, accusés de "terrorisme" s'étant réfugiés en Turquie.6 janv. 2021
 
C'est incroyable, tu es russe un jour, marocain le lendemain, algérien le mardi, ingénieur militaire le jeudi, et maintenant globe trotter des dictatures. Tu es Zadig ma parole. Incroyable. Aujourd'hui, tu râcles le fond des forums. Triste fin pour un tel aventurier...
.
Korozif qui défend l'islam et les musulmans...
On aura tout vu.

Quelle hypocrisie !


Un peu de lecture pour remédier à tes fantasmes

 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

La Chine accusée de démolir des mosquées dans des régions à forte population musulmane​

La Chine est accusée ces dernières années de procéder à des destructions de milliers de mosquées au Xinjiang. Cette fois, elle est accusée par Human Rights Watch de réduire considérablement le nombre de mosquées dans les provinces du Ningxia et du Gansu dans le cadre de sa politique de « regroupement des mosquées », « en violation du droit à la liberté de culte ».

Les autorités chinoises ont ainsi « désaffecté, fermé, démoli et converti des mosquées à un usage séculier, dans un effort visant à restreindre la pratique de l’islam » dans deux régions abritant les plus importantes populations musulmanes après le Xinjiang, a fait savoir l’ONG mercredi 22 novembre. « Dans de nombreuses autres mosquées, elles ont démantelé et retiré certaines caractéristiques architecturales islamiques, telles que les dômes et les minarets » ainsi que les salles d’ablutions afin de « dissuader les fidèles d’aller (y) prier » et « décourager les pratiques religieuses ».

« Le gouvernement chinois ne ‘regroupe’ pas les mosquées comme il le prétend car, en réalité, il ferme beaucoup d’entre elles en violation flagrante de la liberté de religion », a affirmé Maya Wang, directrice par intérim pour la Chine à HRW.

Avec la politique de « sinisation » des religions, entamée depuis 2016 et visant à faire du Parti communiste chinois (PCC) « l’arbitre de la vie spirituelle des citoyens, le contrôle de l’État sur la religion s’est renforcé ».

L’ONG n’est pas en mesure de déterminer le nombre de mosquées qui ont été fermées ou réaffectées dans les provinces du Ningxia et du Gansu « car les documents officiels ne fournissent pas de détails précis ». Deux universitaires spécialistes des musulmans Hui, ont néanmoins estimé, dans un rapport de recherches à paraître prochainement, qu’un tiers des mosquées du Ningxia sont fermées depuis 2020. Cette province en comptait 4 203 mosquées en 2014.

« Les gouvernements étrangers, en particulier ceux des pays membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), devraient insister auprès du gouvernement chinois pour qu’il cesse sa politique de "regroupement de mosquées" et, plus généralement, sa campagne de sinisation » qui démontre, selon HRW, « un mépris total pour la liberté de religion, non seulement de tous les musulmans de Chine, mais aussi de toutes les communautés religieuses du pays ».

Lire aussi :
Chine : la démolition partielle d'une mosquée met les musulmans en colère
Ouïghours : la Chine accusée de la destruction de milliers de mosquées au Xinjiang
Chine : une destruction à grande échelle de mosquées et sites musulmans au Xinjiang
Chine : les mosquées sommées de hisser le drapeau national
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

Chine. Les mesures de répression draconiennes contre les musulmans du Xinjiang s’apparentent à des crimes contre l’humanité​

  • Des centaines de milliers d’hommes et de femmes appartenant à la minorité musulmane internés et torturés
  • Des millions de musulmans soumis à une surveillance de masse systématisée
  • Des groupes ethniques musulmans forcés à abandonner leurs traditions religieuses, leurs pratiques culturelles et leur langue
  • Plus de 50 personnes ayant été détenues dans des camps livrent des témoignages inédits qui donnent un aperçu précis de l’atrocité des conditions d’internement et du traitement réservé aux personnes détenues
  • La campagne d’Amnesty International appelle à la fermeture des camps d’internement, en s’appuyant sur 60 cas détaillés de personnes qui seraient actuellement détenues
Les Ouïghours, les Kazakhs et les autres minorités ethniques à majorité musulmane de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (Chine) sont victimes d’emprisonnement, de torture et de persécutions à grande échelle orchestrés par l’État, qui s’apparentent à des crimes contre l’humanité, a déclaré Amnesty International lors du lancement d’un nouveau rapport et d’une nouvelle campagne, le 10 juin 2021.

Dans ce rapport de plus de 160 pages, intitulé « Comme si nous étions ennemis de guerre » – Internements, torture et persécutions perpétrés à une échelle massive contre les musulmans du Xinjiang, l’équipe de réaction aux crises d’Amnesty International publie des dizaines de témoignages inédits d’ancien·ne·s détenu·e·s qui détaillent les mesures extrêmes prises par les autorités chinoises depuis 2017 pour éliminer les traditions religieuses, les pratiques culturelles et les langues des groupes ethniques musulmans de la région. Perpétrés sous couvert de lutte contre le « terrorisme », ces crimes visent les Ouïghours, les Kazakhs, les Huis, les Kirghizes, les Ouzbeks et les Tadjiks.

Les autorités chinoises ont mis en place l’un des systèmes de surveillance les plus sophistiqués au monde et un vaste réseau composé de milliers de sinistres centres de « transformation par l’éducation » – en réalité, des camps d’internement – dans tout le Xinjiang. Dans ces camps, le recours à la torture et à d’autres formes de mauvais traitements est systématique et chaque aspect de la vie quotidienne est régenté, l’objectif étant de constituer de force une nation laïque et homogène et d’inculquer les idéaux du Parti communiste.

« Les autorités chinoises ont créé un environnement dystopique cauchemardesque à une échelle stupéfiante dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.

Les autorités chinoises ont créé un environnement dystopique cauchemardesque à une échelle stupéfiante dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Les Ouïghours, les Kazakhs et les autres minorités musulmanes sont victimes de crimes contre l’humanité et d’autres graves violations des droits humains qui menacent de faire disparaître leur identité religieuse et culturelle.
Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International

La suite dans le lien https://www.amnesty.org/fr/latest/n...-xinjiang-amounts-to-crimes-against-humanity/
 

Chine. Les mesures de répression draconiennes contre les musulmans du Xinjiang s’apparentent à des crimes contre l’humanité​

  • Des centaines de milliers d’hommes et de femmes appartenant à la minorité musulmane internés et torturés
  • Des millions de musulmans soumis à une surveillance de masse systématisée
  • Des groupes ethniques musulmans forcés à abandonner leurs traditions religieuses, leurs pratiques culturelles et leur langue
  • Plus de 50 personnes ayant été détenues dans des camps livrent des témoignages inédits qui donnent un aperçu précis de l’atrocité des conditions d’internement et du traitement réservé aux personnes détenues
  • La campagne d’Amnesty International appelle à la fermeture des camps d’internement, en s’appuyant sur 60 cas détaillés de personnes qui seraient actuellement détenues
Les Ouïghours, les Kazakhs et les autres minorités ethniques à majorité musulmane de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (Chine) sont victimes d’emprisonnement, de torture et de persécutions à grande échelle orchestrés par l’État, qui s’apparentent à des crimes contre l’humanité, a déclaré Amnesty International lors du lancement d’un nouveau rapport et d’une nouvelle campagne, le 10 juin 2021.

Dans ce rapport de plus de 160 pages, intitulé « Comme si nous étions ennemis de guerre » – Internements, torture et persécutions perpétrés à une échelle massive contre les musulmans du Xinjiang, l’équipe de réaction aux crises d’Amnesty International publie des dizaines de témoignages inédits d’ancien·ne·s détenu·e·s qui détaillent les mesures extrêmes prises par les autorités chinoises depuis 2017 pour éliminer les traditions religieuses, les pratiques culturelles et les langues des groupes ethniques musulmans de la région. Perpétrés sous couvert de lutte contre le « terrorisme », ces crimes visent les Ouïghours, les Kazakhs, les Huis, les Kirghizes, les Ouzbeks et les Tadjiks.

Les autorités chinoises ont mis en place l’un des systèmes de surveillance les plus sophistiqués au monde et un vaste réseau composé de milliers de sinistres centres de « transformation par l’éducation » – en réalité, des camps d’internement – dans tout le Xinjiang. Dans ces camps, le recours à la torture et à d’autres formes de mauvais traitements est systématique et chaque aspect de la vie quotidienne est régenté, l’objectif étant de constituer de force une nation laïque et homogène et d’inculquer les idéaux du Parti communiste.

« Les autorités chinoises ont créé un environnement dystopique cauchemardesque à une échelle stupéfiante dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, a déclaré Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.



La suite dans le lien https://www.amnesty.org/fr/latest/n...-xinjiang-amounts-to-crimes-against-humanity/
Si il y'a des survivants de ce massacre après tant d'années, ils seront fuis et stigmatisés d'être devenus fous, alimenteront les conversations légères pleines d'humour, personne leur tendra la main.
 
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