Sur les opportunités et les dangers de la phytothérapie. Sur le divorce entre la médecine classique et la médecine ancienne, bien que la médecine classique a ses origines dans la médecine ancienne. Une question de prévisibilité et de précision, surtout, une question de coût parfois aussi.
Les molécules utilisées dans la médecine classique sont copiées de la phytothérapie, donc sont copiées des plantes. Mais les plantes ne sont pas toujours fiables, la concentration d’un composé souhaité varie selon les lieux, les années et les variétés (d’où l’importance des extraits normalisés, mais le documentaire n’en parle pas). Dans une plante, il peut aussi y avoir des composés supplémentaires en plus de celui souhaité, et ces composés supplémentaires peuvent ne pas être bien connus, dans les deux sens : ils peuvent rendre la plante meilleure qu’un médicament classique autant que la rendre plus mauvaise.
Les molécules utilisées dans la médecine classique sont copiées de la phytothérapie, donc sont copiées des plantes. Mais les plantes ne sont pas toujours fiables, la concentration d’un composé souhaité varie selon les lieux, les années et les variétés (d’où l’importance des extraits normalisés, mais le documentaire n’en parle pas). Dans une plante, il peut aussi y avoir des composés supplémentaires en plus de celui souhaité, et ces composés supplémentaires peuvent ne pas être bien connus, dans les deux sens : ils peuvent rendre la plante meilleure qu’un médicament classique autant que la rendre plus mauvaise.