Pierre Moscovici nommé à la tête de la Cour des comptes

Un corrompu pour soutenir comme lagarde
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Sa nomination sera officialisée par un décret lors du prochain conseil des ministres. L'ancien ministre socialiste et ex-commissaire européen Pierre Moscovici sera nommé mercredi 3 juin premier président de la Cour des comptes, a indiqué samedi l'Elysée, confirmant une information du Journal du Dimanche.
Pierre Moscovici va succéder à Didier Migaud, parti en janvier présider la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Il a pour sa part quitté à l'automne dernier son poste de commissaire européen aux Affaires économiques, une fonction dans laquelle il tançait déjà régulièrement le gouvernement français pour ses efforts insuffisants en matière de réduction des déficits publics.
Comme l'indique l'hebdomadaire, une certaine impatience régnait à la Cour des comptes, le poste étant à pourvoir depuis fin janvier.

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L'enquête sur un système de financement occulte mis en place par le RPR, le PR et le PS, autour de l'attribution des marchés de rénovation des lycées d'île-de-France, vient de rebondir de manière spectaculaire. Deux ministres du gouvernement Jospin _ Claude Bartolone, délégué à la ville, et Pierre Moscovici, chargé des affaires européennes _ pourraient bientôt être entendus comme témoins par les juges en charge du dossier, Armand Riberolles, Marc Brisset-Foucault et Renaud Van Ruymbeke. La garde des Sceaux devrait présenter la demande que les trois magistrats lui ont adressée lors d'un prochain conseil des ministres, car son autorisation préalable est indispensable pour entendre un ministre comme témoin. Les juges souhaitent savoir si Claude Bartolone et Pierre Moscovici ont eu connaissance du système de corruption lié au mode d'attribution des marchés publics d'île-de-France.
La demande de convocation de Pierre Moscovici n'est pas véritablement une surprise. Trésorier du Parti socialiste de 1992 à 1994, l'actuel ministre avait été directement mis en cause par le responsable de l'Association de financement du Parti socialiste (AFPS) entre 1991 et 1994, Gérard Peybernes. Lors de sa mise en examen, en décembre 2000, ce dernier, ancien collecteur de fonds du PS, avait notamment déclaré que « les trésoriers successifs, c'est-à-dire André Laignel, Henri Emmanuelli, Pierre Moscovici et Alain Clayes » étaient « informés des ententes entre les entreprises et leur corollaire, la répartition d'un pourcentage entre les partis ». En clair, le Parti socialiste avait sa place dans ce système de financement occulte et sa part dans l'attribution des sommes qu'il générait.

La droite n'est pas épargnée dans ce dossier
En revanche, le nom de Claude Bartolone n'avait pas été cité jusqu'à présent. Il n'a d'ailleurs jamais été directement en charge des finances du PS. Dans son entourage, on explique cette demande des juges par « son appartenance à la commission parlementaire d'enquête sur le financement des partis politiques. A ce titre, il a interrogé en 1991 le trésorier du RPR de l'époque, Robert Galley ».
La droite n'est pas épargnée dans cette affaire. Au cours des dernières semaines, les juges d'instruction ont entendu trois responsables des finances du RPR. Interrogés en qualité de témoins assistés, au début du mois de mai, les trois trésoriers successifs du RPR entre 1984 et 1995, Robert Galley, Jacques Oudin et Jacques Boyon, ont démenti les déclarations de l'ancienne directrice du parti gaulliste, Louise-Yvonne Casetta.
Mise en examen dans le dossier, celle que certains surnomment la « cassette du RPR », les avait présentés comme ayant pris part au système de corruption parisien. Toujours au RPR, Michel Roussin, l'ancien directeur de cabinet de Jacques Chirac à l'hôtel de ville et à Matignon avait été également mis en examen à la fin 2000, après plusieurs jours de garde à vue.
Le Parti républicain (PR) devenu Démocratie libérale est le troisième parti visé par les investigations des juges. Son ancien président Gérard Longuet a été mis en examen le 16 mai pour « recel de corruption ». Cité par l'ancien trésorier du PR Jean-Pierre Thomas, il est soupçonné d'avoir associé son parti au pacte de corruption. Lors de son interrogatoire, l'ancien ministre et président du conseil général de Lorraine « a démenti toute implication dans cet accord politique ».
A ce jour, plus de 80 personnes ont été mises en examen dans ce dossier.
lacroix
 

Hessia

I am MAN, hear me roar!
VIB
Où en est l'histoire de la pédophilie sur la petite de 4 ans du papa qui essayait de se faire entendre ?
Il est tjrs en vie le gars ?
 

Ninive

Nomad addict
La france tjr a recycler ses pourritures

On attend le rerour de fabius :rolleyes:
Valls fait de la leche a fond mais il a tellement retourner sa veste que meme macron n en veut pas sauf si il donne son luc
 
Après moscovici pour "gérer" les chiffres avec les "copains(es)" et des élections qui n'auraient pas dû avoir lieu on trouve des "portes des sorties "

Édouard Philippe est de retour à la maison, au Havre (Seine-Maritime), alors il en profite. Lui qui, jusqu'ici, marchait d’un pas pressé, prend désormais son temps. Près de trois quarts d’heure de bain de foule, pour saluer les Havrais, et même au-delà. "Moi, je viens de Rouen (en Seine-Maritime, NDLR), je suis fan d’Édouard Philippe", confie une sympathisante.
 
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