@Hibou57
La vidéo est bloquée dans mon pays.
Un petit résumé?
Zut, c’est ce que je craignais, mais j’y ai pensé trop tard.
En résumé.
Après la deuxième guerre mondiale en france, il y avait une presse catho‑réac‑pétainiste. Le seule presse pour enfant venait de là aussi. Des anciens résistants on commencé à créer un autre journal pour enfant, qui s’appelait Vaillant. Une mascotte a été créée, un chien, qui dans le journal a fini par chassé un chat jugé trop impérialiste. D’autres dessinateurs de BD publiaient des choses qui étaient destinées à donner des valeurs aux enfants, comme le découverte, l’honnêteté, etc. D’une manière que je ne peux plus trop détailler, ils se sont retrouvés à dessiner et écrire pour le même journal, le fameux Vaillant, qui devenu Pif, du nom de sa mascotte. Comme il y avait des questions de valeurs qui se posaient, inévitablement, une tendance politique s’est installée, et elle était plutôt de gauche, voir bien à gauche. La rédaction de ce journal voulait être un contrepoids à ce qu’elle jugeait être un impérialisme abrutissant.
Par la suite, le journal a été en difficulté financière; Ils ont fait appel à une personne pas du tout de leur milieux politique pour trouver des idées pour renflouer le journal. Cette personne a eu l’idée de créer des gadgets qui seraient ajoutés au journal, à la manière des jouets qu’il y avait dans les paquets de lessive Bonux. Pif et devenu Pif Gadget.
Entre temps, le journal a essayé de s’implanter en URSS, mais n’y est pas parvenu, parce qu’il était jugé trop occidental, malgré ses sympathis pour le communisme et malgré qu’il a fait une excursion temporaire en RDA. Mais il a réussi à s’implanter un peu partout en Europe, surtout en Allemagne, au Canada aussi

, et au Maghreb (sans plus de précisions, j’image en Algérie et au Maroc, peut‑être).
Encore plus tard, le parti communiste français s’est intéressé à ce journal pour en devenir actionnaire. Ça a été le début de la fin, même si ça a pris du temps. Le parti communiste a trop pris goût aux bénéfices qu’il tirait de ce journal, et l’actionnaire qu’il était a mis la pression sur le journal à plusieurs reprises pour qu’il s’occupe plus de ses bénéfices que de ses principes. Ce journal qui était assez novateur et devenu suiviste (le mot employé dans le documentaire).
La chute du mur de Berlin est arrivée, personne ne sait s’il y a un lien entre les deux, mais deux ans plus tard, le journal a fait faillite.
C’est très résumé …