Je n'arrive pas à choisir : la violence physique, est très marquante, blessante et humiliante. On peut s'en rappeler des années après. Le souvenir du coup, de sa douleur et de sa fréquence peut hanter une personne toute sa vie.
La violence psychologique, elle, est insidieuse, car même quand on croit l'avoir "surmonter", elle peut se témoigner des années après et être le facteur de la stagnation de la victime. Cette violence là est destructrice.
Ces deux violences, de nature différente, marquent, et peuvent atteindre profondément une personne au point de ne s'en remettre, si cela est possible, que des décennies plus tard. Même si la personne qui en est victime avait un moral d'acier. Ces violences fragilisent n'importe qui.