Plan autisme

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
au moins 340 millions d'euros prévus sur 5 ans pour améliorer la recherche, le dépistage et la prise en charge de l'autisme

Macron déclare que sera mis en place un "forfait de remboursement pour les parents" dans le cadre du dépistage.
en marge d'une visite d'Emmanuel Macron dans un service hospitalier spécialisé à Rouen.

Le président de la République a notamment expliqué devant des journalistes que serait mis en place un "forfait de remboursement pour les parents à partir du 1er janvier 2019" pour les dépistages, dans le cadre de la "stratégie autisme" que doit présenter vendredi le Premier ministre Edouard Philippe.
Dans le CHU, il a également été pris à partie par des infirmières avec lesquelles il a eu un échange tendu sur la situation à l'hôpital.

"Renforcer la recherche, prévention, diagnostic et inclusion, voici le cœur de ce que nous voulons faire" pour l'autisme, a déclaré le chef de l'Etat, qui s'est à peine exprimé sur la grève des cheminots, évoquant seulement des "protestations totalement légitimes" mais qui ne doivent "pas empêcher le gouvernement de gouverner".

"Il faut avoir un diagnostic le plus tôt possible. Nous allons généraliser la formation de tous les professionnels, pédiatres, médecins, pour avoir, au 9e mois ou au 24e mois, aux consultations prévues, le réflexe de vérifier le minimum et alerter sur un trouble psycho autistique", a-t-il détaillé.

Il a aussi expliqué que le but de la stratégie du gouvernement était de "permettre aux enfants d'avoir une scolarité normale, pour que cette génération puisse rentrer en maternelle en 2021, soit dans une unité spécialisée, soit à l'école avec des auxiliaires de vie scolaire".

"Vous allez économiser énormément d'argent si vous arrivez à inscrire très tôt un jeune enfant de
2 ans dans un programme qui permettra ensuite de le scolariser normalement.

Aller en IME (institut médico-éducatif) coûte beaucoup plus cher. Cette stratégie d'inclusion consiste à mettre de plus en plus d'enfants dans des écoles normales et les pathologies lourdes dans les IME", a-t-il dit.
Il compte aussi aider les parents à garder ou retrouver une activité professionnelle et installer des "centres de répit", comme à Rouen, pour qu'ils aient du temps en semaine pour eux ou pour leurs autres enfants.

Le Premier ministre doit présenter vendredi cette stratégie portant sur la période 2018-2022, qui a été élaborée à l'issue d'une concertation avec les associations et autre acteurs du secteur, lancée en juillet 2017 par Emmanuel Macron.

Huffpost

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Obtenir un diagnostic d'autisme à l'âge adulte, le parcours du combattant

- "Obtenir un diagnostic est salvateur. S'il ne change rien à la personne, il change tout pour elle, il lui permet de savoir qui elle est pour avancer". Alexandra Reynaud sait bien de quoi elle parle. En 2009, à l'âge de 32 ans, on lui annonçait qu'elle était autiste Asperger avec très haut QI.

Trois longues années auront été nécessaires à l'établissement de ce diagnostic. Une prise en charge déjà longue pour les enfants, mais qui est encore plus complexe à l'âge adulte.

Et c'est en partie pour pallier ce problème que le gouvernement annonce ce vendredi 6 avril le quatrième plan autisme, auquel devraient être consacrés au moins 340 millions d'euros sur cinq ans.

"Dans la nouvelle stratégie, nous voulons pouvoir diagnostiquer les adultes qui ont des prises en charge qui ne sont pas adaptées, qui sont dans les hôpitaux psychiatriques où ils n'ont rien à faire ou alors dans des établissements médico-sociaux sans une bonne prise en charge parce non diagnostiqués", soulignait en début de semaine Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, au micro d'Europe 1.

À l'Assemblée nationale, elle reconnnait elle-même qu'il s'agissait d'un véritable "parcours du combattant indigne de notre République" "Autant pour passer un bilan psychologique en vue d'identifier une hypothétique douance intellectuelle, c'est finalement assez simple (si si, croyez-moi ça l'est, comparativement au parcours du combattant que représente un bilan lié au spectre autistique). [...] Autant pour les TSA en règle générale, et en particulier sur un adulte, c'est une autre histoire", écrivait-elle.

Des signes mieux connus chez les enfants
Un parcours du combattant, mais pourquoi? "Les adultes sont les grands oubliés des plans autisme.

C'est extrêmement compliqué de les diagnostiquer car il existe très peu de professionnels pour le faire", avance Danièle Langloys, présidente d'Autisme France, contactée par Le HuffPost. "Les enfants peuvent être pré-diagnostiqués lors d'une consultation chez le pédiatre ou le généraliste parce que les signes sont mieux connus. Les psychiatres ne sont pas spécialisés pour reconnaître les adultes, qui s'en rendent souvent compte d'eux-mêmes de par leurs grandes difficultés affectives", poursuit-elle.
C'est ce qui est arrivé à Alexandra Reynaud, 38 ans aujourd'hui. En 2009, peu après que son fils a lui-même été diagnostiqué autiste Asperger, elle s'interroge: "peut-être suis-je autiste à 29 ans. Mais comment est-ce possible que personne n'ait rien vu avant?"
C'est en lisant le livre de Daniel Tammet, "Je suis né un jour bleu", le témoignage d'une personne autiste Asperger, qu'elle prend conscience des similitudes avec ses propres comportements. "J'étais presque comme éblouie, j'ai compris que j'étais concernée", se souvient-elle auprès du HuffPost.
Très vite, elle prend contact avec un psychiatre, pensant que n'importe quel spécialiste de la santé mentale serait capable de poser un diagnostic. "À cette époque, personne ne parlait des troubles du spectre de l'autisme (TSA) On n'imaginait que des enfants coupés du monde, dans leur bulle. J'ai essayé de trouver des informations mais je ne savais pas où je mettais les pieds. Si j'avais su que cela prendrait trois ans, peut-être n'aurais-je pas entamé ces démarches", avoue-t-elle. Le psychiatre en question, honnête quant à son incapacité à poser un tel diagnostic, l'oriente alors vers un Centre Ressources Autisme (CRA).
Peu de professionnels spécialisés et d'unités dédiées aux adultes
C'est là l'autre problème auxquels sont confrontés les adultes. Au-delà des difficultés à les repérer,

la suite :
.

https://www.huffingtonpost.fr/2018/...combattant_a_23403496/?utm_hp_ref=fr-homepage

mam
 
Obtenir un diagnostic d'autisme à l'âge adulte, le parcours du combattant

- "Obtenir un diagnostic est salvateur. S'il ne change rien à la personne, il change tout pour elle, il lui permet de savoir qui elle est pour avancer". Alexandra Reynaud sait bien de quoi elle parle. En 2009, à l'âge de 32 ans, on lui annonçait qu'elle était autiste Asperger avec très haut QI.

Trois longues années auront été nécessaires à l'établissement de ce diagnostic. Une prise en charge déjà longue pour les enfants, mais qui est encore plus complexe à l'âge adulte.

Et c'est en partie pour pallier ce problème que le gouvernement annonce ce vendredi 6 avril le quatrième plan autisme, auquel devraient être consacrés au moins 340 millions d'euros sur cinq ans.

"Dans la nouvelle stratégie, nous voulons pouvoir diagnostiquer les adultes qui ont des prises en charge qui ne sont pas adaptées, qui sont dans les hôpitaux psychiatriques où ils n'ont rien à faire ou alors dans des établissements médico-sociaux sans une bonne prise en charge parce non diagnostiqués", soulignait en début de semaine Sophie Cluzel, secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, au micro d'Europe 1.

À l'Assemblée nationale, elle reconnnait elle-même qu'il s'agissait d'un véritable "parcours du combattant indigne de notre République" "Autant pour passer un bilan psychologique en vue d'identifier une hypothétique douance intellectuelle, c'est finalement assez simple (si si, croyez-moi ça l'est, comparativement au parcours du combattant que représente un bilan lié au spectre autistique). [...] Autant pour les TSA en règle générale, et en particulier sur un adulte, c'est une autre histoire", écrivait-elle.

Des signes mieux connus chez les enfants
Un parcours du combattant, mais pourquoi? "Les adultes sont les grands oubliés des plans autisme.

C'est extrêmement compliqué de les diagnostiquer car il existe très peu de professionnels pour le faire", avance Danièle Langloys, présidente d'Autisme France, contactée par Le HuffPost. "Les enfants peuvent être pré-diagnostiqués lors d'une consultation chez le pédiatre ou le généraliste parce que les signes sont mieux connus. Les psychiatres ne sont pas spécialisés pour reconnaître les adultes, qui s'en rendent souvent compte d'eux-mêmes de par leurs grandes difficultés affectives", poursuit-elle.
C'est ce qui est arrivé à Alexandra Reynaud, 38 ans aujourd'hui. En 2009, peu après que son fils a lui-même été diagnostiqué autiste Asperger, elle s'interroge: "peut-être suis-je autiste à 29 ans. Mais comment est-ce possible que personne n'ait rien vu avant?"
C'est en lisant le livre de Daniel Tammet, "Je suis né un jour bleu", le témoignage d'une personne autiste Asperger, qu'elle prend conscience des similitudes avec ses propres comportements. "J'étais presque comme éblouie, j'ai compris que j'étais concernée", se souvient-elle auprès du HuffPost.
Très vite, elle prend contact avec un psychiatre, pensant que n'importe quel spécialiste de la santé mentale serait capable de poser un diagnostic. "À cette époque, personne ne parlait des troubles du spectre de l'autisme (TSA) On n'imaginait que des enfants coupés du monde, dans leur bulle. J'ai essayé de trouver des informations mais je ne savais pas où je mettais les pieds. Si j'avais su que cela prendrait trois ans, peut-être n'aurais-je pas entamé ces démarches", avoue-t-elle. Le psychiatre en question, honnête quant à son incapacité à poser un tel diagnostic, l'oriente alors vers un Centre Ressources Autisme (CRA).
Peu de professionnels spécialisés et d'unités dédiées aux adultes
C'est là l'autre problème auxquels sont confrontés les adultes. Au-delà des difficultés à les repérer,

la suite :
.

https://www.huffingtonpost.fr/2018/...combattant_a_23403496/?utm_hp_ref=fr-homepage

mam
y a rien a diagnostiquer faut revenir a la nature et pas manger des ogm, respirer du poison, sans compter
les ondes etc on vie dans un nuage de pollution et a tout les niveaux et on veut diagnostiquer
laissons les chose comme ca et c est bon
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Merci pure @mam80 , ange gardien de bladi ! :timide:

On estime à environ 700.000 le nombre de sujets concernées par cette pathologie qui est un trouble neurologique de développement qui apparaît précocement lors de l’enfance et persiste à l’âge adulte.
Ce trouble se manifeste par des altérations dans la capacité à établir des interactions sociales, des troubles du comportement et une difficulté à communiquer. Les personnes souffrant d’autisme semblent souvent isolées dans une sorte de monde intérieur et l’autisme est classé comme étant un trouble envahissant du développement (TED) par les spécialistes. Ces troubles peuvent s’accompagner, parfois, d’une déficience intellectuelle.

Une variété d’autisme, appelée syndrome d’Asperger, concerne des sujets qui présentent une forme d’autisme sans retard mental, et avec des possibilités intellectuelles accrues, particulièrement sur le plan de la mémoire, ainsi qu’avec une capacité de concentration sur des détails souvent supérieure à la moyenne.

Mais ces personnes peuvent aussi présenter des difficultés de communication, rendant parfois la vie professionnelle difficile avec les collègues de travail.

C’est précisément en raison des possibilités cognitives atypiques de ces personnes qu’une jeune société franco-canadienne créée en 2015, Aspertise, recherche des autistes Asperger pour travailler sur des projets en matière de cybersécurité, d’intelligence artificielle et de développement.

Pour le président de la société Aspertise, le cerveau de ces personnes est câblé de telle manière qu’elles ont une perception différente et qu’elles voient facilement ce qu’il appelle « des angles morts cognitifs » ou des failles et vulnérabilités dans les systèmes créés par des équipes classiques et proposent souvent des solutions auxquelles les personnes ayant un cerveau « normal » n’auraient pas pensé.

En matière d’autisme, on observe, en schématisant, deux situations totalement opposées : d’un côté, des personnes qui nécessitent une prise en charge précoce et adaptée afin de permettre une insertion dans le monde qui les entoure et, de l’autre, des personnes chez qui ce trouble du fonctionnement cognitif a permis de dépasser les capacités habituelles, leur apportant ainsi un « plus » dans l’approche de certaines technologies.


Dans un cas comme dans l’autre, les scientifiques n’ont pas résolu l’origine du trouble. Ils semblent s’orienter maintenant vers une origine génétique qui entraînerait des modifications dans la synthèse de certains neuromédiateurs ou de certaines hormones

Dr. Jacques Michel Lacroix
Médecin

@Ebion

mam
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Merci pure @mam80 :timide:

Je sais pas si tu voulais me pousser à me tourner vers cette entreprise, mais j'ai pas d'aptitudes particulières en informatique. Je maîtrise assez des logiciels comme Excel, Outlook ou mon logiciel comptable, mais j'ai pas de grands talents dans le domaine de l'informatique en général ni de formation là-dedans.

C'est plutôt dans les langues où j'ai des aptitudes au-dessus de la moyenne...
 
Merci pure @mam80 :timide:

Je sais pas si tu voulais me pousser à me tourner vers cette entreprise, mais j'ai pas d'aptitudes particulières en informatique. Je maîtrise assez des logiciels comme Excel, Outlook ou mon logiciel comptable, mais j'ai pas de grands talents dans le domaine de l'informatique en général ni de formation là-dedans.

C'est plutôt dans les langues où j'ai des aptitudes au-dessus de la moyenne...
Pourquoi, tu es Asperger Ebion?
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Mon mari en avait 1 dans son équipe, ses capacités intellectuelles étaient fascinantes c'était passionnant de l'écouter parler sur les sujets (de ouf) qu'il étudiait (seul) en parallèle de son travail

Si on veut... ces handicapés sociaux peuvent se donner à fond dans une passion. Le problème est que leur entourage est rarement autant dans leur délire, et les Asperger peuvent vite devenir casse-pieds avec leurs monologues interminables sur leurs obsessions, sachant qu’ils ne se rendent pas compte que leurs interlocuteurs en ont marre et veulent parler d’autre chose. Comme ces Asperger n’ont pas trop d’empathie, ils ont du mal à comprendre des points de vue différents ou comment mener une conversation avec art.

Avec Internet, ils peuvent au moins se joindre à des groupes qui partagent leurs passions, et là ils seront mieux acceptés.
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
nan moii j ai décidé de pllus dire bonjour et de doubler cerrtaines de mes lettres !!
mare de ces conventions stupides qui n offre aucune alternative!

a partir d aaujourd hui je doubble mes lettttres quand je veuxx et ou veux !!
 
Si on veut... ces handicapés sociaux peuvent se donner à fond dans une passion. Le problème est que leur entourage est rarement autant dans leur délire, et les Asperger peuvent vite devenir casse-pieds avec leurs monologues interminables sur leurs obsessions, sachant qu’ils ne se rendent pas compte que leurs interlocuteurs en ont marre et veulent parler d’autre chose. Comme ces Asperger n’ont pas trop d’empathie, ils ont du mal à comprendre des points de vue différents ou comment mener une conversation avec art.

Avec Internet, ils peuvent au moins se joindre à des groupes qui partagent leurs passions, et là ils seront mieux acceptés.
Je pense pas qu'ils soient perçus vraiment comme cela
Non des gens s'intéressaient à ses recherches, sinon il n'en parlait pas de lui-même il était assez solitaire mais rien ne montrait sa particularité... Mis à part qu'il ne supportait pas de rester auprès d'un groupe qui critiquait une autre personne en son absence, il quittait la pièce sur le champ, mais ça c'est une bonne chose
 

Mohammad

hein + hein = euh
VIB
C'est très bien pour la prochaine vague d'autiste, mais il faut aussi pensé à corriger le mal fait aux précédentes générations et aussi lutter contre l'idée répandue selon laquelle il est déjà trop tard lorsque l'enfant à 6 ans et plus.

Un point qui me parait de plus en plus évident malgré les moments de désespoirs :
les autistes, personne ne leur a appris qu'il était trop tard pour apprendre. Il ne faut pas commettre l'erreur de les abandonner sous prétexte qu'ils ont passé une partie de leurs scolarités dans des centres au lieu des écoles.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
C'est très bien pour la prochaine vague d'autiste, mais il faut aussi pensé à corriger le mal fait aux précédentes générations et aussi lutter contre l'idée répandue selon laquelle il est déjà trop tard lorsque l'enfant à 6 ans et plus.

Un point qui me parait de plus en plus évident malgré les moments de désespoirs :
les autistes, personne ne leur a appris qu'il était trop tard pour apprendre. Il ne faut pas commettre l'erreur de les abandonner sous prétexte qu'ils ont passé une partie de leurs scolarités dans des centres au lieu des écoles.

et il y a encore trop peu d'endroits pour les accueillir dans de bonnes conditions,
mais ça va venir

si ça t'intéresse, il y a la méthode A.B.A. (science de l'aba)
http://aaronaba.fr/projet-aba/#chap2

mam
 

Mohammad

hein + hein = euh
VIB
et il y a encore trop peu d'endroits pour les accueillir dans de bonnes conditions,
mais ça va venir

si ça t'intéresse, il y a la méthode A.B.A. (science de l'aba)
http://aaronaba.fr/projet-aba/#chap2

mam

Je connais, c'est extrêmement coûteux, et on retrouve l'idée des renforcements positives dans d'autres méthodes.

Je ne vis pas en France, et ce qui m'a vraiment énervé avec les pouvoirs publics est la non prise en considération de nos soucis doublés d'un manque de flexibilité des cadres qui apportent leur bonne volonté dans l'accompagnement des enfants.

Dans ma région, jusqu'à il y a peu, pour 500.000 habitants, il existait une seule et unique classe pouvant accueillir 6 personnes maximum .

De plus, elle ne répond pas totalement à la situation de tout les enfants autistes vu qu'elle cible essentiellement les retards très lourd .

Pour nous, rien ne nous correspond alors qu'il suffisait d'un peu de flexibilité pour obtenir un cadre presque idéal puisque le centre qui l'accueillait très bien ne pouvait lui offrir qu'au maximum 4 heures de cours, j'avais demandé à ce que les heures passe à 10- 12 sur les 32, le reste serait alors dédié aux divers thérapies, mais le centre malgré sa bonne volonté ne pouvait pas parce que ça leur était interdit.

En clair, non seulement, on fait mine de ne pas voir les autistes pas assez léger pour l'inclusion et pas assez lourd pour leurs type d'enseignement, mais en plus, est refusé le cadre légal qui aurait pu permettre aux centres de répondre à ces autistes entre deux mondes
 
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