salam
364.367 unions consommées en 2011
Pour le meilleur et pour le pire jusquà la mort. Cest loin dêtre le cas chez nous où plus dun mariage sur 6 se solde par un divorce. Cest ce qui ressort en tout cas des statistiques qui viennent dêtre délivrées par les services de la justice familiale, relevant du ministère de la Justice et des Libertés.
Elles font état ainsi de quelque 364.367 cas de mariage en 2011 contre 56.198 cas de divorce la même année. Des chiffres qui suscitent moult interrogations.
Fini le temps où convoler en justes noces signifiait le mariage pour léternité comme ce fut le cas de nos parents. En effet, la société marocaine bouge : évolution des mentalités, libéralisation des murs, indépendance économique notamment celle des femmes, montée en puissance de lindividualisme, etc.
Tout cela fait que le mariage nest plus une institution vénérée. On entend parler beaucoup plus de divorces que de mariages. Une tendance qui reproduit le schéma occidental.
Et pourtant, il faut garder en tête quon ne devrait recourir au divorce quen dernier lieu sachant que le Code de la famille prévoit une disposition importante, à savoir la conciliation.
Comme dans lancienne Moudawana, il sagit pour le tribunal, avant quil ne valide la dissolution du lien conjugal, dessayer de convaincre les deux époux darrêter la procédure de divorce et de régler le différend à lamiable.
http://www.libe.ma/Plus-d-un-mariage-sur-six-se-solde-par-un-divorce_a35068.html
364.367 unions consommées en 2011
Pour le meilleur et pour le pire jusquà la mort. Cest loin dêtre le cas chez nous où plus dun mariage sur 6 se solde par un divorce. Cest ce qui ressort en tout cas des statistiques qui viennent dêtre délivrées par les services de la justice familiale, relevant du ministère de la Justice et des Libertés.
Elles font état ainsi de quelque 364.367 cas de mariage en 2011 contre 56.198 cas de divorce la même année. Des chiffres qui suscitent moult interrogations.
Fini le temps où convoler en justes noces signifiait le mariage pour léternité comme ce fut le cas de nos parents. En effet, la société marocaine bouge : évolution des mentalités, libéralisation des murs, indépendance économique notamment celle des femmes, montée en puissance de lindividualisme, etc.
Tout cela fait que le mariage nest plus une institution vénérée. On entend parler beaucoup plus de divorces que de mariages. Une tendance qui reproduit le schéma occidental.
Et pourtant, il faut garder en tête quon ne devrait recourir au divorce quen dernier lieu sachant que le Code de la famille prévoit une disposition importante, à savoir la conciliation.
Comme dans lancienne Moudawana, il sagit pour le tribunal, avant quil ne valide la dissolution du lien conjugal, dessayer de convaincre les deux époux darrêter la procédure de divorce et de régler le différend à lamiable.
http://www.libe.ma/Plus-d-un-mariage-sur-six-se-solde-par-un-divorce_a35068.html