Le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a mis en avant, à l'occasion de la Journée mondiale de l’Environnement, la façon dont le Maroc «tire parti des connaissances traditionnelles pour préserver l’environnement et les modes de vie».
Dans un reportage diffusé sur le portail web de l’organisation onusienne sous le titre «Savoirs ancestraux», le Pnud soutient qu’»au Maroc, la conservation d'une biodiversité unique s’appuie sur les coutumes et les pratiques innovantes de communautés autochtones vivant en contact direct avec la nature», citant, à cet égard, l’exemple de la commune d’Imegdale, dans le Haut Atlas, qui abrite nombre de Zones Importantes pour les Plantes (ZIP).
«Imegdale est un «micro-hotspot» dans le Haut Atlas, avec une flore très riche en plantes aromatiques et médicinales comprenant 159 espèces botaniques regroupées en 14 catégories de plantes à usage biomédical», relève l’article riche en photographies illustrant les pratiques des communautés amazighes de la région.
«Réglementées par le droit coutumier, leurs pratiques traditionnelles préservent un certain équilibre écologique dans la région», fait valoir le Pnud, citant parmi celles-ci, l’»Azayn» (la fermeture des champs pendant la période de maturation des fruits), le «Tagdalt» (la fermeture de terres privées jusqu'à la fin du cycle de développement de la végétation) et l'interdiction d'accès aux «Agdals» ainsi qu’aux «Azibs» (principalement des pâturages) durant trois mois au printemps..................
lematin.ma
Dans un reportage diffusé sur le portail web de l’organisation onusienne sous le titre «Savoirs ancestraux», le Pnud soutient qu’»au Maroc, la conservation d'une biodiversité unique s’appuie sur les coutumes et les pratiques innovantes de communautés autochtones vivant en contact direct avec la nature», citant, à cet égard, l’exemple de la commune d’Imegdale, dans le Haut Atlas, qui abrite nombre de Zones Importantes pour les Plantes (ZIP).
«Imegdale est un «micro-hotspot» dans le Haut Atlas, avec une flore très riche en plantes aromatiques et médicinales comprenant 159 espèces botaniques regroupées en 14 catégories de plantes à usage biomédical», relève l’article riche en photographies illustrant les pratiques des communautés amazighes de la région.
«Réglementées par le droit coutumier, leurs pratiques traditionnelles préservent un certain équilibre écologique dans la région», fait valoir le Pnud, citant parmi celles-ci, l’»Azayn» (la fermeture des champs pendant la période de maturation des fruits), le «Tagdalt» (la fermeture de terres privées jusqu'à la fin du cycle de développement de la végétation) et l'interdiction d'accès aux «Agdals» ainsi qu’aux «Azibs» (principalement des pâturages) durant trois mois au printemps..................

Pnud : le savoir ancestral du Maroc au service de la préservation de l'environnement
Préservation de l'environnement : Le Pnud met en avant le rôle des «savoirs ancestraux» du Maroc