Poeme

La médisance :

Surveille donc ta langue, ô serviteur du Clément
Celui qui la dompte s'est préservé de propos infamants
Elle est pire que la flèche de l'arc, sache-le mon frère
Elle se plante dans les chaires des pieux comme des pervers

La médisance est un poison et pourtant l'Homme l'avale
Et le silence est protection et guérison contre son mal
Combien de langues ont apporté la division entre les frères ?
Combien de langues ont donc causé du tort à leur propriétaire ?
 
La mouche :

Quelle est cette maladie qui a frappé leur bouche ?
Pourquoi s'acharnent-ils à chercher l'escarmouche ?
Les mécréants tempêtent et nous empêchent de vivre
Jamais sont satisfaits, il est dit dans le Livre [1]

Qu'importe leurs colères et qu'importe leurs dires
Qu'importe leurs mensonges et qu'ils puissent mentir
Sur le Sentier avance, laisse-les donc sur la touche
Est-ce que le soleil est gêné par la mouche ?
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
La médisance :

Surveille donc ta langue, ô serviteur du Clément
Celui qui la dompte s'est préservé de propos infamants
Elle est pire que la flèche de l'arc, sache-le mon frère
Elle se plante dans les chaires des pieux comme des pervers

La médisance est un poison et pourtant l'Homme l'avale
Et le silence est protection et guérison contre son mal
Combien de langues ont apporté la division entre les frères ?
Combien de langues ont donc causé du tort à leur propriétaire ?
Salam key,
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Terre de vices :

Que de sombres périodes et que de terres désolées
Gangrenées par le mensonge, l'irrespect et l'impiété
Terres de vices et de passions, dépourvues de raison
Serviteurs de ses pulsions et ce en toute saison

Que fais-tu parmi eux, dis-moi ô noble frère ?
Es-tu donc un ignorant ou es-tu suicidaire ?
Lorsqu'il voit un incendie qui s'approche rapidement
Le doué de raison ne peut que s'enfuir en courant
 
Poème de Kamel69
Qui Est Cet Homme Qui Se Prosterne Devant Rien,
Qui Ne Fréquente Pas Les Miens,
Qui Du Péché S'abstient,
Qui Préfère Rester Fidèle,
Devant Les Lois De L'éternel,
Qui Se Rapproche Du Parfait,
De Son Corps Purifié,
De Ses Actes Ethérés,
Ne Veut T'il Pas Séduire,
Se Réduire A Ses Désirs,
De La Vie Se Divertir Et Réjouir,
De Rire Et De Se Faire Plaisir,
Pire ! Il Préfère Jeûner,
Prier, Pleurer Et Invoquer,
Il Préfère Lire Le Coran,
Implorer Le Clément,
Nourrir Les Pauvres Croyants,
Mais Où Est Son Point Faible,
N'y a T'il Pas Exception a La Règle,
Comment Puis-je L'égarer,
Comment Le Contrôler,
Comment Le Basculer,
M'emparer De Son Coeur,
Afin Que De Dieu Il N'est Plus Peur,
M'emparer De Son Ame,
Afin Qu'il Commette Le Haram,
Impossible, Il Ne Veut Pas,
Il a La Foi,
Et à Chaque Fois Que J'essaye De Le Dévier,
Il Ne Fait Que De S'écrier:
"Je Me Réfugie Auprès D'Allah, Contre Satan Le Lapidé"
 
Dernière édition:

ennemideta

...de passage nous sommes...
je suis...

ici tout est éphémère
et quand on la quitte on ressens un gout amer

on la voit tous les jours a toute heure
on n y prête jamais attention qu importe l heure

beaucoup de nos prédécesseurs l ont compris
aujourd’hui certains quinquagénaire l ont omis

refermant en elle tant de chose
tellement de sentiment opposée

on la sauve grâce au tout puissant
on la retire dans l ignorance de l omnipotent

la beauté , le désir , l espoir ,
enfin de compte nous sommes tributaire
malgré l acharnement de certain
de lui rester fidèle même grabataire

comme tous les films

il y a le début de l histoire commune
et dans tous les cas une fin inéluctable

......
signe le poète d un soir
 

absent

لا إله إلا هو
Je suis le chemin de feu,
Celui qui me suit est dans le feu,

Mes lèvres brûlent et mon esprit bouillonne,
Je suis la colère et l'hostilité,

Je suis le sentier d'épines d'acier,
Celui qui me suit est déchiqueté,

Mon regard transperse l'innocent,
Mon coeur brûle et mes genoux me font mal,

Chemin de ma voie je te suis,
Ne m'abandonne pas à moi-même,
 
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