Poèmes à partager

Tharbat

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un jour viendra...
ou tout le monde verra....

ce qu'il a avancé
ou oublié...

le riche viendra démuni,
le pauvre sera comme le riche...

le fort sera faible
le faible sera dans un etat similaire...

le juste sera recompensé
l'injuste sera chatié...

mais seul le pieux
sera en presence des vertueux...

celui qui ici-bas
a oeuvré pour l'audela

verra la promesse d'ALLAH

la recompense ultime
se trouve au paradis

ou le Roi des rois
devoilera sa face


ya ALLAH fait de nous des serviteurs reconnaissant
des bienfaits dont tu nous fait present

Bladi


@mes hommages au poète de bladi alessandrina.....qui avait commencé son toréador par ces belles parole de tolerence:plutot que de passer mon temps a menerver sur les islamophobe de se site a critiquer norte prophete je voudrai partager avec vous quelques poemes trouvé sur le net un peu de douceur dans ce monde de brute avec ses poemes islamiques
 
Dernière édition:

Tharbat

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Aller s'allonger
Au coin d'un cerisier
Apprécier
Oh oui, apprécier
Cet instant plein de légèreté.

Étendue au soleil
Apprécier monts et merveilles
Ce sentiment de liberté,
Ce sentiment de légèreté.

Mon voile au vent,
Mes pieds dans l'herbe,
Le soleil sur la verdure
Et voilà mon plus beau cadeau


Valantine
 

Tharbat

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Il ne m'est que des mots
et ces couleurs du souvenir ardent
pour voiler la blessure
et ouvrir la porte de la forêt qui s'éloigne
comme moi qui apprends
le silence
du miroir ému.
Tahar Ben Jelloun
 

Freyja

Madame Blondin
VIB
La meilleure poésie que j'ai pu lire aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa7 3la lfene. :p

when i need u i 7lam bik
when i need u i khammam fik
but when i krah u i tfooooo 3lik
indeed i understand but wakha 3lik
days and nights are long bla bik
life is hard and boring fi ghiabik
but i am patient and i have hope om3awwal 3lik
i cant sleep blabik
night and days i 7lam bik
everywhere i see, kay bano liya 3inik
i want to khtob you, because ghadi nettsata 3lik
and if u refuse, in3el waldik


:D
 
demain.... dès l'aube

"Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur."

Victor Hugo
 

Tharbat

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demain.... dès l'aube

"Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur."

Victor Hugo
ça c'est Vicor Hugo pour de vrai.....merci pour ce merveilleux partage
 
L'Etranger
- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ?
ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est
resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas...
là-bas... les merveilleux nuages !

Baudelaire
 

Tharbat

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L'Etranger
- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ?
ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est
resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas...
là-bas... les merveilleux nuages !

Baudelaire
oh les gigantesques ..........un merveilleux partage aussi
 
الليلُ أسهرهُ فَهَمِّي راتبُ والصُّبْحُ أكرههُ ففيهِ نوائبُ
فكأنَّ ذاكَ قذًى لطرفي مُسْهِرٌ وكأنَّ هذا فيه سيفٌ قاضبُ
 

Tharbat

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ma mère mon soleil

Qui m' émerveille


Un sourire
la joie que je respire

Elle m’a offert ce que j’ai voulu
Qui suis-je ? Un enfant ?
Je souhaite rester comme ça
Je souhaite revenir en arrière pour s’endormir dans ses bras..
almorabit
 
ديالوج

أأُعطيكَ الحُب ؟

أعطيني

لكنَّه في الوَحل

لو موحِلا أعطيني

سأخمِّن قليلا

خمِّني

وأودُ أن أسأل

إسألي

إنْ قَرَعتُ

سأفتحُ

وإن ناديتُ

سآتي

ولو إلى الفَجيعة

لو إليها

وإنْ كذبتُ عَليك

سأسامِحكِ

آمركَ أن تُغنّي

سأُغنّي

اطردْ أصدقاءَكَ

سأطرُدُهم

آمُرُك أنْ تَقتُل

سأقتُلُ

أقولُ لكَ مُت

سأموتُ

وإن أشرفتُ على الغَرق

سأنقِذُكِ

وإن جاءَ الألم

سأتحمَّل

أو اعترضَ جِدار

سأشلَعُهُ

وإنْ بَدتْ عقدَة

سأقطَعُها

وإن مئةُ عقدة

وإنْ كانتْ مئة

أأعطيكَ الحبَّ

أعطيني

محالٌ وأبعدُ من بَعيد

لماذا ؟

لأنَّني لا أحبُّ العَبيد
 

Tharbat

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Gentil Rousseau tu nous entends
Nous te saluons
Delaunay sa femme Monsieur Queval et moi
Laisse passer nos bagages en franchise à la porte du ciel
Nous t'apporterons des pinceaux des couleurs des toiles
Afin que tes loisirs sacrés dans la lumière réelle
Tu les consacres à peindre comme tu tiras mon portrait
La face des étoiles

Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque,
Des forêts où poussaient la mangue et l'ananas,
Des singes répandant tout le sang des pastèques
Et du blond empereur qu'on fusilla là-bas.

Les tableaux que tu peins, tu les vis au Mexique,
Un soleil rouge ornait le front des bananiers,
Et valeureux soldat, tu troquas ta tunique,
Contre le dolman bleu des braves douaniers.

Le malheur s'acharna sur ta progéniture
Tu perdis tes enfants et tes femmes aussi
Et te remarias avecque la peinture
Pour faire tes tableaux, enfants de ton esprit.

Nous sommes réunis pour célébrer ta gloire,
Ces vins qu'en ton honneur nous verse Picasso,
Buvons-les donc, puisque c'est l'heure de les boire
En criant tous en chœur : " Vive ! vive Rousseau ! "

Ô peintre glorieux de l'alme République
Ton nom est le drapeau des fiers Indépendants
Et dans le marbre blanc, issu du Pentélique,
On sculptera ta face, orgueil de notre temps.

Or sus ! que l'on se lève et qu'on choque les verres
Et que renaisse ici la française gaîté ;
Arrière noirs soucis, fuyez ô fronts sévères,
Je bois à mon Rousseau, je bois à sa santé !
Guillaume Apollinaire(1880 - 1918)
 
J'ai fait lire mes poèmes à un éditeur et il a accepté de me publier. Le problème est qu'il faut que j'attende d'avoir 20 ans (j'en ai 19).
Je voudrais des avis de votre part s'il vous plait.


le vent courait l’herbe de la plaine
autrefois.
Ce même vent qui soupire au passage
nourrissant l’insatiable fournaise,
consumant en amont
les débris de notre mémoire

C’est ici que nous pleurions
sur cette fange acre

t’en souvient-tu ?
Les joncs et les tilleuls
ornaient le pourtour
autrefois
et le jasmin lourd de rosée
radiait nos aurores
de son baume rugueux.

Le brasier crépitant taquine le silence ;
Seul survivant d’une nuit malade
Promise à son déclin,
dédaigné par l’aube silencieuse

passager ignorant : vent acerbe
Bat les cendres en cadence
Passant les pans de loques rouges,
Indifférent
 
Un autre:


Nous jurons détenir la vérité.
La divine vérité
promiscue à cette ignorance maladive
qui nous habite.

Cette ignorance si familière,
ornant songes et rêveries,
se faisant lancinante et rageuse
quand un feu daigne éclairer nos lanternes.

De nos lanternes usées
ne renaîtra plus la clarté
Car sur nos consciences la fange
A élu domicile
Abandonnant le salut
à la rage des temps

Ce tapis, souillé,
Usé par d’incessants épanchements,
J y trouverais assurément
ton salut déplié
De ce pas pressé je m’en vais te prier
mon Dieu.

La mosquée tremble aux pas de la nuée.
Combien sont-ils, dis moi
ceux qui sont venus te prier, toi,
mon Dieu ?
 

Tharbat

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J'ai cru qu'écrire...

J'ai cru qu'écrire c'est mourir,
Mourir lentement dans le plaisir,
Déplier à tâtons les pages de la mémoire,
Illuminer peu à peu, sa pénombre noire.

Ecrire sur le passé, les pieds empétrés dans un tapis de prière,
Jeté au hasard sur un chemin à l'aurore où jaillit la lumière,
Le silence de l'écriture, vent du désert qui tourne sa meule
 

Tharbat

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@ Milamber
.

Le lion rugit pour protéger sa clique.
On n'a jamais vu de lion piller l'Afrique.
La panthère frappe pour se couvrir
De ceux qui voudraient la voir mourir
Le tigre est solitaire
l'homme est le pire des compères.






merci Milamber
 
Monsieur l'homme au tambourin

Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Bien que je sache que cet empire du soir est redevenu sable,M'a glissé entre les doigts,M'a laissé aveugle mais pas encore assoupi.La lassitude m'a pris par surprise, je reste planté là,Je n'ai personne à voirEt la vieille rue vide est trop mortelle pour rêver.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Emmène-moi voyager sur ton bateau magique,Mon esprit s’est envolé, mes mains n'ont plus de prise,Mes orteils sont trop gourds pour marcher, je n'attends plus que des bottes Pour errer sans but.Je suis prêt à aller n'importe où, prêt à disparaître En ma propre parade, pour suivre le chemin que m’indique ta danse,Je te promets de te suivre.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Bien que tu entendes rire, tourner, danser follement sous le soleil,Tout ça n'est destiné à personne, c'est juste une échappatoireEt sauf pour aller au ciel il n'y a pas d'obstacle à franchir.Et si tu entends de vagues mots aux rimes sautillantesAu son de ton tambourin, ce ne sont que celles d’un clown en guenilles,Je n'y prêterais attention, ce n'est qu'une ombre que tu Le vois poursuivre.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Puis fais-moi disparaître à travers les anneaux enfumés de mon esprit,Dans les ruines brumeuses du temps, loin des feuilles gelées,Arbres tremblants et hantés, dehors au vent des plages,Loin de l’atteinte tordue des chagrins fous.Oui, je voudrais danser sous le ciel de diamant avec une main flottant librement,Silhouetté par la mer, encerclé de sables de cirque,Tous mes souvenirs et mon destin engloutis sous les vagues,Laisse moi oublier aujourd'hui jusqu'à demain.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Robert Zimmerman
 

Tharbat

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Tu sais,

je ne suis pas l’homme que tu crois

parce-que tu es naïve

et que tu crois

que je me pavane en ville,

en roulant les épaules,

que suis du genre qui gaule ,

enfin ,un gros caïd de cité,

comme tu te fais des idées !

Non ,je suis un «colosse aux pieds d’argile»,

un tendre rêveur,

je regarde la lueur

de la lune le jour ,

l’éclat des étoiles la nuit .

J’ai la tête dans les nuages

très peu les pieds sur terre :

je suis comme l’Albatros de Baudelaire .

Un doux poète ,

un homme sensible .

non ,je ne fais jamais la fête

dans les discothèques .

Je marche en regardant le ciel

et Dame Nature qui m’émerveille .

Très peu pour moi les grosses motos ,

les voitures fringantes ,

toutes ces allures arrogantes :

je suis un homme simple.

Vraiment comme tu te trompes

sur mon compte !

Alors prends moi comme je suis .

Non ,me dis-tu ?

Et pourquoi?

- «Car c’est l’autre homme que je veux,

ce caïd des cités,

dont tu me parlais ,

c’est ce genre qui me rend amoureuse» .

Eh bien...alors...alors.... sois bien heureuse !





P.S. : en hommage à mon compatriote et ancien voisin du poete Poldereau .
 

Louisiane

Libre comme l'Art
VIB
Monsieur l'homme au tambourin

Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Bien que je sache que cet empire du soir est redevenu sable,M'a glissé entre les doigts,M'a laissé aveugle mais pas encore assoupi.La lassitude m'a pris par surprise, je reste planté là,Je n'ai personne à voirEt la vieille rue vide est trop mortelle pour rêver.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Emmène-moi voyager sur ton bateau magique,Mon esprit s’est envolé, mes mains n'ont plus de prise,Mes orteils sont trop gourds pour marcher, je n'attends plus que des bottes Pour errer sans but.Je suis prêt à aller n'importe où, prêt à disparaître En ma propre parade, pour suivre le chemin que m’indique ta danse,Je te promets de te suivre.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Bien que tu entendes rire, tourner, danser follement sous le soleil,Tout ça n'est destiné à personne, c'est juste une échappatoireEt sauf pour aller au ciel il n'y a pas d'obstacle à franchir.Et si tu entends de vagues mots aux rimes sautillantesAu son de ton tambourin, ce ne sont que celles d’un clown en guenilles,Je n'y prêterais attention, ce n'est qu'une ombre que tu Le vois poursuivre.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Puis fais-moi disparaître à travers les anneaux enfumés de mon esprit,Dans les ruines brumeuses du temps, loin des feuilles gelées,Arbres tremblants et hantés, dehors au vent des plages,Loin de l’atteinte tordue des chagrins fous.Oui, je voudrais danser sous le ciel de diamant avec une main flottant librement,Silhouetté par la mer, encerclé de sables de cirque,Tous mes souvenirs et mon destin engloutis sous les vagues,Laisse moi oublier aujourd'hui jusqu'à demain.
Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson, Je n'ai pas sommeil et n’ai nulle part où aller.Hé! Mr.l'homme au tambourin, joue-moi une chanson,En ce matin tintinnabulant je suis prêt à te suivre.
Robert Zimmerman

J'aime beaucoup,
par contre ce n'est pas Bob Dylan par hasard?
 
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