Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Art et Culture
Culture
Poésie et érotisme
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Romantika, post: 8450327, member: 157544"] Sous la douche Partie 3 Elle a coupé leau. La buée la refait apparaître. Je vais mourir. Elle est là, nue, face à moi, et entièrement apparente. Cest lheure du gel douche. Mais cette femme nen utilise pas. Elle, cest une fille à lancienne comme qui dirait. Cest mieux. Elle préfère sentir ce doux et rond savon à la lavande lui passer sur toutes les parties du corps. Elle se passe le savon sur tout le corps. Celui-ci a lair trop huileux. Comment le rincerait-elle ? Elle est magnifique, que jen oublis même que jai une main destiné à soccuper. Je suis mort. Cest bon la mort à ce moment précis. Je pense plus bouger, et elle, continue de samuser de son pommeau de douche luisant, moussant, lubrifiant. Je mimagine à la place de ce pommeau, caressé par ces douces mains sensuelles et innocentes. Amené dun endroit à lautre de ce paysage aux belles vallées, comme quelquun rêvant dun paradis, errant dans ces jardins quon ne sauraient décrire mais quon imagine parfaitement. Je suis ce savon. Je mousse sur ce corps. Je suis trop huileux, alors elle me garde longtemps avant de pouvoir me rincer. Alors quelle relance une eau des plus tièdes et agréables pour me démousser. Et ce nest pas avec regret que je coule le long de ses cheveux, passant par sa poitrine, ses mamelons, oh oui ces tendus par les effets de leau. Je les caresse de mes bulles moussantes, les embrasse a vec délectation avant de men aller vers ses hanches. Hanches, des hanches de la plus belle représentation, un paysage, un poème, ne serait pas assez généreux pour les apprécier. Après avoir couler le long de celles-ci avec extase, je coule en larmes. Mes larmes memmènent alors sur ces fesses. Des fesses quon ne saurait rebondir plus. Des fesses si délicatement nettes et rondes que jai du mal à tenir en équilibre. Et cette eau, douce, tiède, agréable, qui me pousse à descendre plus bas encore. Ni une ni deux, je longe ses jambes, longues, pures, vraiment interminables, je glisse, je coule, je bulle. Je souffre dêtre si heureux à ce moment. Quelle sensation étrange ! Mais ce moment crée le manque de demain, celui qui me fait mal, mais que jaime à retrouver. Celui qui me trahit aussi, mais à qui je pardonne chaque jour ; Avec qui je me réconcilie chaque fin daprès-midi. Ce destin que jaime parcourir, sur lequel jaime flirter. Mon extase traversée se ralentit à hauteur de ses mollets, et jusquaux chevilles, je prends le trajet quont la chance de prendre chaque jour ses lanières de chaussures. Pourquoi moi ? Pourquoi aussi ne pourrais-je en profiter ? Je glisse, un baiser sur chacune de ces chevilles et chacun de ces pieds avant de menfuir et de disparaître sous ceux-ci. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Art et Culture
Culture
Poésie et érotisme
Haut