Le point du mari et la mutilation sexuelle des jeunes mamans

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Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
Après l’accouchement, lorsque les nouvelles mamans ont besoin d’une suture pour réparer un périnée déchiré, certains médecins proposent d’ajouter un point supplémentaire, le « point du mari », dans le seul but de resserrer le vagin de ces femmes et (soi-disant) d’accentuer le plaisir de leur conjoint pendant l’acte sexuel.
« C’est son mari qui va être content, un vrai vagin de jeune fille », a un jour entendu Caroline, une sage-femme de la région parisienne, de la bouche d’un gynécologue, à la sortie d’une salle d’accouchement. « Je l’observais en train de faire, il me semblait bien qu’il faisait quelque chose de bizarre à l’entrée du vagin », a-t-elle expliqué au magazine français L’Express.

La romancière et sage-femme Agnès Ledig a récemment fait la lumière sur cette pratique, qu’elle qualifie de « mutilation sexuelle » et d’« ignominie humaine » dans un billet.

En parcourant les commentaires qui accompagnent ce billet, sur la page Facebook d’Agnès Ledig, on tombe sur les témoignages de quelques femmes qui expliquent que le « point du mari » leur a parfois été posé sans leur consentement. Avec raison, elles se désolent que leur propre plaisir ait été placé après celui de l’homme.
« Il va sans dire que la patiente n’avait rien demandé, et, depuis, elle vit l’enfer lors des rapports… Elle n’a plus confiance dans les gynécos », écrit une internaute.
« La plupart des médecins ne le proposent même pas ! Pour ma part, c’est ce qui s’est passé. Un point et l’impression d’être vierge à nouveau. Les massages m’ont aidé. Mais le gynécologue, lui, ne m’a rien dit, rien demandé. Il l’a fait. À vif », renchérit une autre.
Des collègues sages-femmes d’Agnès Ledig laissent entendre que les conjoints sont parfois à l’origine de cette procédure.
« Une fois, un mari m’a demandé alors que je suturais sa femme si je pouvais serrer un peu plus le vagin… Je me suis retenue de lui proposer des injections de silicone dans le pénis et lui ai “rendu” sa femme avec son périnée d’origine. Quelle honte ! Je pensais être tombée sur un tordu mais si des gynécos le proposent… Pauvre nous ! » écrit l’une d’entre elles.
Le « point du mari » semble être une procédure rare, mais cela ne la rend pas moins inacceptable.

31 mar. 2014 , Vincent Destouches
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
esthétique vaginale chez la femme.
Le Dr Pierre Audet-Lapointe, ancien chef du département d’obstétrique gynécologie de la faculté de médecine de l’Université de Montréal, n’en a cependant jamais entendu parler en 38 ans de pratique à l’Hôpital Notre-Dame de Montréal. « Le rétrécissement du vagin peut être plus prononcé que voulu, cela peut arriver, mais sans faire exprès », a-t-il concédé.
Un article intitulé « Chirurgie esthétique des organes génitaux féminins » et publié sur le portail de la Bibliothèque américaine de médecine laisse toutefois entendre que la procédure perdure depuis plusieurs décennies.
« La chirurgie de resserrement du vagin existe depuis le milieu des années 1950 ; les gynécologues rendaient l’entrée du vagin d’une femme plus étroite à l’aide d’un point supplémentaire en réparant les déchirures vaginales et du périnée ou les épisiotomies après un accouchement. À l’époque, c’était notoirement connu comme le « point du mari » ou le « nœud du mari », et les médecins parlaient discrètement de cette procédure comme une manière « d’améliorer le bien-être d’une femme ». »
 

Marok19

Dernière résistante stouta
VIB
Après l’accouchement, lorsque les nouvelles mamans ont besoin d’une suture pour réparer un périnée déchiré, certains médecins proposent d’ajouter un point supplémentaire, le « point du mari », dans le seul but de resserrer le vagin de ces femmes et (soi-disant) d’accentuer le plaisir de leur conjoint pendant l’acte sexuel.
« C’est son mari qui va être content, un vrai vagin de jeune fille », a un jour entendu Caroline, une sage-femme de la région parisienne, de la bouche d’un gynécologue, à la sortie d’une salle d’accouchement. « Je l’observais en train de faire, il me semblait bien qu’il faisait quelque chose de bizarre à l’entrée du vagin », a-t-elle expliqué au magazine français L’Express.

La romancière et sage-femme Agnès Ledig a récemment fait la lumière sur cette pratique, qu’elle qualifie de « mutilation sexuelle » et d’« ignominie humaine » dans un billet.

En parcourant les commentaires qui accompagnent ce billet, sur la page Facebook d’Agnès Ledig, on tombe sur les témoignages de quelques femmes qui expliquent que le « point du mari » leur a parfois été posé sans leur consentement. Avec raison, elles se désolent que leur propre plaisir ait été placé après celui de l’homme.
« Il va sans dire que la patiente n’avait rien demandé, et, depuis, elle vit l’enfer lors des rapports… Elle n’a plus confiance dans les gynécos », écrit une internaute.
« La plupart des médecins ne le proposent même pas ! Pour ma part, c’est ce qui s’est passé. Un point et l’impression d’être vierge à nouveau. Les massages m’ont aidé. Mais le gynécologue, lui, ne m’a rien dit, rien demandé. Il l’a fait. À vif », renchérit une autre.
Des collègues sages-femmes d’Agnès Ledig laissent entendre que les conjoints sont parfois à l’origine de cette procédure.
« Une fois, un mari m’a demandé alors que je suturais sa femme si je pouvais serrer un peu plus le vagin… Je me suis retenue de lui proposer des injections de silicone dans le pénis et lui ai “rendu” sa femme avec son périnée d’origine. Quelle honte ! Je pensais être tombée sur un tordu mais si des gynécos le proposent… Pauvre nous ! » écrit l’une d’entre elles.
Le « point du mari » semble être une procédure rare, mais cela ne la rend pas moins inacceptable.

31 mar. 2014 , Vincent Destouches


http://www.bladi.info/threads/point-mari.376031/
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
ha ouais .. pas vu .. d un coté j ai pas chercher , c est pas la première fois que je me fait avoir .. comment vous faite pour avoir une mémoire comme ca .. 2014 .. 1 an .. je me rappelle même plus de ce que j ai posé y a 3 jours ..

bon vé aller lire les commentaire .. l affaire m intrigue
 
Après l’accouchement, lorsque les nouvelles mamans ont besoin d’une suture pour réparer un périnée déchiré, certains médecins proposent d’ajouter un point supplémentaire, le « point du mari », dans le seul but de resserrer le vagin de ces femmes et (soi-disant) d’accentuer le plaisir de leur conjoint pendant l’acte sexuel.
« C’est son mari qui va être content, un vrai vagin de jeune fille », a un jour entendu Caroline, une sage-femme de la région parisienne, de la bouche d’un gynécologue, à la sortie d’une salle d’accouchement. « Je l’observais en train de faire, il me semblait bien qu’il faisait quelque chose de bizarre à l’entrée du vagin », a-t-elle expliqué au magazine français L’Express.

La romancière et sage-femme Agnès Ledig a récemment fait la lumière sur cette pratique, qu’elle qualifie de « mutilation sexuelle » et d’« ignominie humaine » dans un billet.

En parcourant les commentaires qui accompagnent ce billet, sur la page Facebook d’Agnès Ledig, on tombe sur les témoignages de quelques femmes qui expliquent que le « point du mari » leur a parfois été posé sans leur consentement. Avec raison, elles se désolent que leur propre plaisir ait été placé après celui de l’homme.
« Il va sans dire que la patiente n’avait rien demandé, et, depuis, elle vit l’enfer lors des rapports… Elle n’a plus confiance dans les gynécos », écrit une internaute.
« La plupart des médecins ne le proposent même pas ! Pour ma part, c’est ce qui s’est passé. Un point et l’impression d’être vierge à nouveau. Les massages m’ont aidé. Mais le gynécologue, lui, ne m’a rien dit, rien demandé. Il l’a fait. À vif », renchérit une autre.
Des collègues sages-femmes d’Agnès Ledig laissent entendre que les conjoints sont parfois à l’origine de cette procédure.
« Une fois, un mari m’a demandé alors que je suturais sa femme si je pouvais serrer un peu plus le vagin… Je me suis retenue de lui proposer des injections de silicone dans le pénis et lui ai “rendu” sa femme avec son périnée d’origine. Quelle honte ! Je pensais être tombée sur un tordu mais si des gynécos le proposent… Pauvre nous ! » écrit l’une d’entre elles.
Le « point du mari » semble être une procédure rare, mais cela ne la rend pas moins inacceptable.

31 mar. 2014 , Vincent Destouches
Pour toute personne ayant un minimum de connaissances anatomiques (ce qui est inquiétant de la part d'une ex-sage-femme!), cette histoire de "point du mari" c'est simplement du grand n'importe-quoi...
http://www.20minutes.fr/sante/1332062-20140324-point-mari-mythe
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
Pour le docteur Michaël Dahan

pour le docteur Denis Danan, également


voila les source de ton Article ... des hommes ... j aimerai bien l avis des premières concernées , les maman ... apparemment il y a des témoignages .. tu pense que les témoin se sont des hystérique mythomane ?

et tu sais 20mn , quand on lit certain de leur article sur l islam ou les banlieue on est en droit de se demander si l esprit critique et l honnêté intellectuel est leur première préoccupation ..

 
Lorsqu'on recoud une épisio ou une déchirure périnéale spontanée ( déjà s'il y a déchirure c'est que quelque part on a "merdé", parce que un bon obstétricien et/ou un bon maïeuticien se reconnait justement à sa capacité à anticiper la déchirure et à couper avant ; c'est beaucoup plus simple de réparer une incision franche qu'une déchirure qu'on aura laissé filer...) ça fait mal...et ça fait mal pendant plusieurs jours et/ou semaines après. Quelquefois plusieurs mois. "Point du mari" ou pas.
Et c'est vrai qu'anatomiquement...j'ai beau chercher, je vois pas trop à quoi ça peut bien correspondre, comme truc, ni à quel endroit faudrait bien faire ça...parce que resserrer juste l'orifice pour se retrouver avec une béance des parois derrière...je vois pas trop l'utilité "hédonique", pour tout dire. :prudent:
 

HeySunshine

💃🏻
VIB
Je trouve cette pratique très choquante!!

Elles devraient non seulement porter plainte, mais alerter l'opinion publique pour que les femmes aient connaissance de ce genre de pratique pour les éviter!

J'en avais jamais entendu parler :eek:
 
Je trouve cette pratique très choquante!!
Alors on vient d'essayer d'expliquer qu'il est plus que probable que cette pratique n'existe pas! Oui on fait des points serrés après une épisio ou une déchirure, oui ça fait mal ensuite pendant plusieurs semaines chez certaines, mais non ça ne "resserre" absolument pas le vagin! On n'y arrive pas juste en faisant un ou deux points.
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
il y a bien une mutiliation sexuelle , le but n est sans doute pour la grande majorité des cas un rapport avec le plaisir du mari mais plutot comme le dit un medecin . « L'épisiotomie n'est pas une priorité de santé publique », elle est parfois laissée aux mains des internes de l'hôpital, de sages-femmes encore inexpérimentées, ou de gynécologues qui ne se soucient pas de la vie des femmes une fois sorties de la salle d'accouchement, regrette le chirurgien.
La peur du « point du mari », donc, serait aussi la conséquence d'un travail extrêmement délicat totalement banalisé, parfois bâclé, et du manque de suivi des patientes les plus fragiles. « Une bonne épisiotomie, ce n'est pas compliqué, rassure-t-il, mais il faut du temps, et du respect. »


tout le monde dans cette affaire admet au moins une chose .. on bacle l acte … et cela a des consequence douloureuse pour les femmes … a t on deja baclé de la sorte les circoncision dans les clinique en France ? Deleguer cela a quelqu un d inexpérimenté .. qui foire qui anticipe mal … imaginez les réaction …mais comme c est le corps des femmes c est secondaire .. personne ne réagit , non pas sur le point du mari , mais simplement sur un acte chrirugical baclé car on vit dans société ou le corps des femmes n a jamais été pris en considération a sa juste valeur car la plupart des Décisionnaire sont des hommes , et plutot que de chercher a saisir un dossier pour en tirer une chose positive .. prendre au sérieux l épisitiomie .. on cherche a fermer un dossier comme on range un journal dans un tiroir …
 
Dernière édition:
« L'épisiotomie n'est pas une priorité de santé publique », elle est parfois laissée aux mains des internes de l'hôpital, de sages-femmes encore inexpérimentées, ou de gynécologues qui ne se soucient pas de la vie des femmes une fois sorties de la salle d'accouchement, regrette le chirurgien.
......... « Une bonne épisiotomie, ce n'est pas compliqué, rassure-t-il, mais il faut du temps, et du respect. »
je complète : pour la suturer.
Et la suture est sous la responsabilité du médecin, la sage-femme n'a ni le droit légal ni les compétences pour la pratiquer. Par contre elle peut ( je crois bien mais ne suis pas sûre, faudrait vérifier) la réaliser.
Je suis tout à fait d'accord avec ce chirurgien, une épisio ( à fortiori une déchirure!) mal suturée c'est une source de complications potentielles graves, douleurs, infections, etc...
tout le monde dans cette affaire admet au moins une chose .. on bacle l acte …
Ca arrive, mais faut pas généraliser tout de même! La majorité des sutures sont bien faites, hein!
a t on deja baclé de la sorte les circoncision dans les clinique en France ?
Bah bien sûr que si ça arrive aussi allons!
N'importe quel geste chirurgical est susceptible d’être bâclé!
Et dire qu'on ne se préoccupe pas de la façon dont elles sont faites est faux!
C'est une technique enseignée et bien codifiée!
http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_14.HTM
http://campus.cerimes.fr/maieutique/UE-obstetrique/episiotomie/site/html/cours.pdf

Edit ; je me suis trompée apparemment, d'après mon propre lien la sage-femme peut aussi suturer.
Désolée.
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
la vrai question est en réalité ailleurs pour moi Ienouchka ... non pas si c est une technique bien enseignées et codifiée mais pourquoi la faire ... c est là ou je voulais en venir ..

En 2003, le CHU de Besançon faisait 19 % d'épisiotomies, un pourcentage déjà peu élevé par rapport à la moyenne nationale de 47 %. Il passe à 10 % après la publication des recommandations pour la pratique du CNGOF en 2006, pour atteindre 3,4 % désormais [en 2007] ! […] Ces pratiques nouvelles n'ont pas augmenté le taux de déchirures du troisième et quatrième degré. "Notre pratique est reproductible", estime le professeur Maillet [(chef de service de la maternité du CHU de Besançon)]. Et sans attendre des années, pourrait-on ajouter. La prudence du CNGOF, qui estimaient que le taux de 30 % préconisé au niveau national pourrait baisser si les conséquences de cette politique de réduction étaient positives, n'est donc plus de mise. On peut désormais plaider moins de 5 % d'épisiotomie. Non seulement c'est possible, mais c'est surtout nettement moins délétère pour les femmes !
Les taux d'épisiotomies est d'environ 13 % au Royaume-Uni et moins de 6 % en Suède[2]. Le taux américain est passé en 15 ans de plus de 60% à moins de 25% (données 2004)[3] et continue encore de décroître[4].
https://fr.wikipedia.org/wiki/Épisiotomie

ce débat aurait du soulever dans la presse cela ... et non pas que le point mari est un mythe et qu il fallait refermer le dossier et se contenter dans le meilleurs des cas de sensibiliser aux mieux le personnel médical ...mais pkoi continuer a rendre systématique une pratique qui dans la plupart des cas est inutile







 
Dernière édition:
Pour le docteur Michaël Dahan

pour le docteur Denis Danan, également


voila les source de ton Article ... des hommes ... j aimerai bien l avis des premières concernées , les maman ... apparemment il y a des témoignages .. tu pense que les témoin se sont des hystérique mythomane ?

et tu sais 20mn , quand on lit certain de leur article sur l islam ou les banlieue on est en droit de se demander si l esprit critique et l honnêté intellectuel est leur première préoccupation ..
L'article n'est qu'une illustration de ma source principale, à savoir l'anatomie humaine. Quand à disqualifier l'opinion de gynecos dont l'épisiotomie et la déchirure vaginale est le quotidien, au motif qu'ils sont des hommes c'est une façon étrange de débattre dans la mesure où elle suppose qu'ils mentent alors que personne ne les accuse de rien. Un des gyneco donne une explication possible sans rapport avec l'hystérie à savoir un emballement consécutif à une mauvaise plaisanterie.
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
mais tu a lu mon dernier post ou tu contente de répliquer au lieu de répondre au fait que le souci n est plus le point du mari mais le fait de savoir pkoi en France on a systématiser une pratique inutile dan sla mjorité des cas , l'épisiotomies

comment expliquer que seulement 6 pourcent des femmes en suedes subissent cela et 47 pourcent en France , comment explique tu que les usa depuis 20 on réduit de 60 a 25 pourcent cette pratique
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
bon aller ciao .. si la modération peut ferme le topics pour cause de doublon merci d avance ...
 
mais tu a lu mon dernier post ou tu contente de répliquer au lieu de répondre au fait que le souci n est plus le point du mari mais le fait de savoir pkoi en France on a systématiser une pratique inutile dan sla mjorité des cas , l'épisiotomies

comment expliquer que seulement 6 pourcent des femmes en suedes subissent cela et 47 pourcent en France , comment explique tu que les usa depuis 20 on réduit de 60 a 25 pourcent cette pratique
Intéressant mais quel rapport avec le sujet?
 
la vrai question est en réalité ailleurs pour moi Ienouchka ... non pas si c est une technique bien enseignées et codifiée mais pourquoi la faire ... c est là ou je voulais en venir ..
C'est un point intéressant mais on ne peut pas en débattre sur un forum comme celui-ci, c'est beaucoup trop technique.

C'est toujours bien de diminuer le taux d'épisio, c'est bien que les USA en fassent moins que nous, maintenant faut qu'ils diminuent leur taux de césariennes! Il est de 30% ( contre 15% en France ce qui est déjà beaucoup trop!) et question morbidité, y a pas photo avec l'épisiotomie! Je préfère mille fois une épisio à une césarienne!
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
je ne pense pas qu il faille poser les choses ainsi ...

en disant "Je préfère mille fois une épisio à une césarienne!" tu laisse sous entendre qu il y a un rapport entre les deux ... et qu il faut choisir entre deux "mal" .. il ne s agit pas de préférer l un a l autre mais de réduire des pratique si elle ne sont pas necessaire .. il s agit d un part de prendre act qu il est démontrer scientifiquement que au moins 5femme sur 10 subissent une épisio alors que ce n est pas nécessaire donc oui en France il faudrait au moins une enquête parlementaire pour saisir avec plus de précision ou on en est ..

visiblement depuis les années 2000 bien avant l histoire du point du mari des Gynécologue eux meme on tiré la sonnette d alarme .. écoutons les .. je ne dis que ca ..

et sur la césarienne le plus sur est de pratiquer comme pour la double pesée , deja comparé l évolution en France av de le faire avec les usa ... et que nous disent les chiffre ... 10 pourcent en 1981 .... 20 en 2010 .. le chiffre a doublé ..donc il faudrait aussi se demander toi qui préfère la césarienne si bientôt nous n allons pas nous aussi devenir comme les américain ..

le consentement intervient ici je crois ..car parfois la césarienne se fait a la demande de la mere .. par contre l episio je ne suis pas sur qu'on demande tout le temps a la patiente si elle en veut une ou pas ... quand je parle de façon systématique c est de ca que je parle ...

je suis tombé sur cela .. et j ai trouvé tres interessant ,
"« les pratiques professionnelles du personnel hospitalier pourraient aussi influencer le recours à une césarienne. (...) L’évolution des pratiques médicales fondée sur le principe de précaution pourrait contribuer à l’augmentation des césariennes avec demande de la part des professionnels en raison de la crainte d’un potentiel accru de recours juridiques à l’issue d’un accouchement présentant un petit risque (gros enfant, bassin un peu étroit, enfant prématuré, jumeaux) mais qui pourrait être jugé difficile (…). Il n’existe pas cependant, à ce jour, de donnée permettant de juger l’importance de ce fait, non quantifiable" ca vient La Haute Autorité de Santé

comme si au final parfois c est plus l aspect juridique qui va imposer une pratique médical , cela n explique pas tout plein de facteur interviennent ... on ne fait pas les enfants aux meme ages en 1980 et en 2010 .. l obésité ... on oublie souvent que les usa sont un pays ou le taux d obésité est elevé ... ca peut aussi influence les chiffres ..

c est pour toute ces raison que je ne voulais pas réduire cela aux mythe du point du mari qui au final occulte tout le reste .. et qui mérite peut etre notre attention

enfin bref ..
 
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