Poitiers : ce que l'on sait de la fusillade qui a blessé grièvement plusieurs mineurs

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Jeudi soir 31 octobre, cinq mineurs ont été grièvement blessés dans une fusillade. L'un d'entre eux, âgé de 15 ans, est entre la vie et la mort.​

Cinq mineurs blessés grièvement dans une fusillade. Jeudi 31 octobre à Poitiers, des tirs ont éclaté devant un restaurant du quartier des Couronneries. À la suite de la fusillade, une rixe a eu lieu entre une cinquantaine de personnes. Parmi les blessés, un jeune adolescent de 15 ans est entre la vie et la mort après avoir été visé à la tête.

Quatre autres mineurs de 15 et 16 ans ont également essuyé les tirs jeudi soir, notamment à l'épaule et à la cheville. La police a été appelée vers 22 h 45 dans ce quartier excentré du centre-ville, en pleine une zone d'activité, sur un grand parking entouré de barres d'immeubles. C'est là où se trouvent plusieurs commerces, dont un kebab ouvert à ce moment-là.

Alors qu'une cinquantaine de personnes étaient amassées, des tirs ont retenti avant que les coups pleuvent. Une rixe a éclaté, puis la police a fini par arriver. Les assaillants ont été dispersés à l'aide de gaz lacrymogène. À une rue de là, les policiers ont été informés qu'un individu venait d'être enlevé, retenu par une dizaine de personnes. Retrouvé et libéré, il a été conduit au commissariat.

Selon le ministre de l'Intérieur, cette fusillade serait liée au trafic de drogue. Sur BFMTV, il a affirmé que "les narcoracailles n'ont plus de limites", ajoutant : "On est à un point de bascule. Nous avons le choix entre une mobilisation générale ou la mexicanisation du pays."

 
Une fusillade encore on ne va pas ouvrir un nouveau sujet....:confused:




Saint-Péray : trois jeunes blessés, dont un en urgence absolue, dans une fusillade devant la discothèque Le Seven.

Trois jeunes ont été blessés par arme à feu devant la discothèque Le Seven à Saint-Péray, en Ardèche, dans la nuit du jeudi au vendredi 1er novembre, lors de la soirée d'Halloween. L'un d'eux, âgé de 22 ans, a reçu une balle dans la tête.


Les pompiers sont intervenus vers 2 heures 30 dans la nuit de jeudi à vendredi 1er novembre à Saint-Péray en Ardèche pour une fusillade. Trois jeunes âgés de 22 à 24 ans ont été blessés, dont un gravement, sur le parking devant la boîte de nuit Le Seven. Un homme de 22 ans a reçu une balle dans la tête. Une femme de 24 ans a été touchée aussi par un coup de feu à la jambe. Les deux ont été transportés à l'hôpital de Valence. Un autre homme âgé également de 22 ans a été blessé à la jambe mais plus légèrement, après avoir reçu des éclats de balle dans la jambe. Lui est hospitalisé à la clinique Pasteur de Guilherand-Granges.


Pas d'interpellation ce vendredi matin​

Le parquet de Privas confirme ce vendredi matin à France Bleu Drôme Ardèche qu'il n'y a pas eu d'interpellation pour le moment. L'enquête a été confiée à la DCOS de Valence, ex-police judiciaire. Elle devra dire si ces jeunes étaient délibérément visés, s'il y a eu un ou plusieurs tireurs.

La discothèque était pleine au moment des faits, avec environ 800 personnes à l'intérieur venus pour une soirée spéciale Halloween. Les policiers ardéchois qui sont intervenus sur place ont par ailleurs fait sortir tout le monde au compte-goutte de l'établissement afin d'éviter tout mouvement de panique.

France Bleue
 

Narcotrafic : Bruno Retailleau part en guerre contre la « mexicanisation » de la France​

Au lendemain de la fusillade à Poitiers, le ministre de l’Intérieur appelle à des ressources judiciaires renforcées pour faire face à l'« hyperviolence » qui se répand dans le pays.....

 

Fusillade devant une boîte de nuit près de Valence : Nicolas, la victime, est décédé, il jouait dans le même club de rugby que Thomas tué lors du bal de Crépol​


La fusillade a eu lieu sur le parking d’une boîte de nuit lors de la soirée d’Halloween. Nicolas avait été gravement touché à la tête. Il est décédé samedi après-midi.

Le club de rugby de Romans-Péage est à nouveau durement touché par la perte de l’un de ses jeunes joueurs. Après le drame de la mort de Thomas en novembre dernier, un jeune du même club est mort des suites de ses blessures lors d’une fusillade devant une boîte de nuit près de Valence dans la nuit de jeudi à vendredi. Touché d’une balle dans la tête, son pronostic vital était engagé.

Grièvement blessé, Nicolas un jeune homme de 22 ans, originaire de Romans-sur-Isère, avait été pris en charge par les secours, mais il est décédé samedi "en début d’après-midi" a indiqué le parquet de Privas en Ardèche, rapporte France Bleu. La maire de Romans-sur-Isère lui a rendu hommage sur X. Sur sa page facebook, son club de rugby, le Rugby Club Romans-Péage (RCRP), est anéanti par ce nouveau drame : "Le club est à nouveau touché en plein cœur depuis jeudi soir". C’est dans ce club que jouait Thomas Perotto, le jeune homme tué lors du bal de Crépol en novembre 2023.............

 

Anis, tué à Poitiers : « Sa mère a eu le sentiment qu’il était traité comme un suspect », déplore son avocate​

Maître Yasmina Djoudi, l’avocate de la mère de l’adolescent de 15 ans mort des suites de ses blessures après une fusillade jeudi à Poitiers (Vienne), se fait la porte-parole de la douleur d’une maman dont le fils était totalement étranger au trafic de drogue.

Au lendemain de la mort d’Anis, 15 ans, victime de la fusillade perpétrée jeudi soir dans le quartier des Couronneries à Poitiers (Vienne), l’heure est au deuil et au ressentiment. Me Yasmina Djoudi, l’avocate de la mère de l’adolescent, fait part du désarroi de cette femme éplorée et qui a très mal vécu que son fils puisse être perçu comme un trafiquant de drogue. Le principal suspect de ce crime, déjà connu de la justice pour association de malfaiteurs et détention d’armes, est toujours activement recherché.

 

Fusillade de Poitiers : L’adolescent tué n’était « pas un délinquant », assure sa famille​

Drame•Par la voix de son avocate, la famille du jeune Anis, 15 ans, décédé ce samedi déplore des « amalgames »

adolescent de 15 ans décédé samedi après avoir été grièvement blessé par balle à la tête lors d’une fusillade à Poitiers, est une « victime collatérale » qui n’avait « aucun problème de délinquance », selon sa famille qui déplore des « amalgames ».

Cette fusillade, qui a également fait quatre blessés, tous mineurs, a eu lieu jeudi soir devant un restaurant kebab de la ville, alors qu’une soirée Halloween organisée par une association avait rassemblé de nombreux jeunes à proximité.

« Aucun problème de délinquance »​

« Anis n’avait aucun problème de délinquance, ni quoi que ce soit. C’était un garçon gentil, scolarisé en première au lycée Saint-Jacques de Compostelle à Poitiers, qui faisait du foot, de la natation », indique dimanche Yasmina Djoudi, avocate de la mère de l’adolescent.

Le quartier des Couronneries, classé prioritaire de la politique de la ville, était « plein de monde ce soir-là. Il y avait eu la soirée Halloween, il faisait bon, c’était la veille d’un long week-end », ajoute l’avocate. L’adolescent « a dit à sa mère qu’il allait s’acheter un sandwich avant de rentrer. Et il a reçu une balle. »

Parquet et police tempèrent les propos de Retailleau​

Commentant les faits vendredi matin sur « BFMTV/RMC », le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, avait déclaré qu’après la fusillade, « une rixe entre bandes rivales » avait opposé « plusieurs centaines de personnes ». « Les “narcoracailles” n’ont plus de limites […] On est à un point de bascule », avait-il ajouté. Selon la police et le parquet cependant, de brèves échauffourées n’ont concerné que quelques dizaines de personnes parmi la foule présente.

« Alors que son enfant unique, qu’elle élève seule, était entre la vie et la mort, non seulement cette mère n’a reçu aucune parole, aucun soutien de la part des autorités, mais elle a aussi dû subir les fausses informations, sous-entendant que son gamin faisait partie d’un trafic de drogue », déplore l’avocate. Elle a été contactée depuis par la maire écologiste de Poitiers, Léonore Moncond’huy...............

 

Tentative d’homicide à Vaulx-en-Velin contre un homme connu pour meurtre et trafic de stupéfiants​

L’individu a été visé dans la nuit par des tirs d’arme à feu, tandis qu’il circulait en voiture sur la commune, avec un passager à son bord. Il a pris la fuite précipitamment, provoquant un accident, avant de se rendre à la police.

Une attaque violente, au plein milieu de la nuit. Un homme connu pour meurtre et trafic de stupéfiants, qui circulait en voiture à Vaulx-en-Velin, près de Lyon, a été visé par des tirs d’arme à feu par des personnes à bord d’un véhicule, dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris de source policière.

L’homme roulait au volant d’une BMW X4 accompagné d’un passager quand leur voiture a été percutée vers 3 heures du matin par un véhicule Audi A5 à bord duquel se trouvaient deux « individus masqués ». Ces derniers ont alors tiré plusieurs coups de feu sur l’autre véhicule, selon la même source.

Une douzaine d’impacts de balles relevés​

La voiture visée a pu repartir et semer ses poursuivants mais s’est accidentée peu après sur le périphérique de Lyon. La police est alors intervenue pour l’accident et le conducteur s’est rendu, alors que le passager est parvenu à prendre la fuite à pied. Une douzaine d’impacts de balles ont été relevés sur leur voiture.


À lire aussiUn enfant de 5 ans blessé par balle lors d’une course-poursuite : ce que l’on sait du drame près de Rennes

Le conducteur visé, âgé de 37 ans, a indiqué aux forces de l’ordre qu’il passait par la commune avec un passager à ses côtés, quand deux personnes ont ouvert leu feu dans leur direction avec des armes indéterminées, a appris Le Parisien de source policière. Il a indiqué avoir quitté les lieux précipitamment et dans la panique, avoir fait un accident avec son véhicule.
L’homme visé par les tirs est inscrit au fichier de traitement d’antécédents judiciaires (TAJ) pour meurtre, importation de stupéfiants et acquisition d’armes, selon une autre source policière. Il roulait de Perpignan à Paris, et s’était arrêté à Vaulx-en-Velin pour dîner dans un restaurant. Les sources n’ont pas précisé s’il avait été blessé.

 

Courbevoie : un jeune de 15 ans blessé au couteau lors d’une rixe​

Les faits se sont produits ce samedi soir place Charras à Courbevoie (Hauts-de-Seine), lors d’une bagarre entre sept individus. Un adolescent de 15 ans a été interpellé dans la foulée.
Une nouvelle rixe a éclaté ce samedi soir à Courbevoie (Hauts-de-Seine). Selon nos informations, sept jeunes se sont affrontés place Charras vers 23 heures. Au cours de la bagarre, un adolescent de 15 ans habitant Courbevoie a reçu des coups de couteau, notamment au dos. Il a été transporté en urgence à l’hôpital. Un autre jeune de 15 ans, lui aussi de Courbevoie, a été interpellé dans la foulée. S’agit-il d’un énième affrontement entre bandes rivales ?

Des bagarres à répétition​

Difficile à ce stade de déterminer les circonstances exactes et les motivations de cette rixe. Ces dernières semaines, plusieurs bagarres ayant éclaté entre jeunes aux abords d’établissements scolaires ont secoué certaines villes du sud du département, notamment à Clamart, Malakoff et Vanves.

Mercredi 30 octobre à Levallois-Perret, un adolescent de 14 ans a été pris à partie par un groupe d’une quinzaine d’individus. Ce dernier présentait une blessure à une main. Aux effectifs de la police municipale de Levallois-Perret qui sont intervenus sur place, le jeune a expliqué avoir été abordé par une bande d’individus hostiles qui lui aurait demandé d’où il venait. Selon lui, c’est après avoir expliqué venir du XVIIe arrondissement de Paris, et plus précisément de la porte d’Asnières, que la victime aurait été frappée et aurait reçu un coup de couteau à une main.
 

Bagarre à Cahors, coups de couteau : des jumeaux de 18 ans en garde à vue​


Une bagarre s'est déroulée en deux temps ce lundi 28 octobre sur le boulevard Gambetta à Cahors. Des jumeaux de 18 ans, d'origine algérienne, sont toujours en garde à vue.
Une bagarre a éclaté ce lundi 28 octobre 2024 à Cahors vers 18 h, en haut du Boulevard Gambetta. La police a interpellé des jumeaux de 18 ans d’origine algérienne, qui sont toujours en garde à vue ce mercredi. Cette arrestation a entraîné des faits graves dans la soirée devant le commissariat, des faits condamnés fermement par la préfète du Lot, Claire Raulin.


Coups de couteau à Cahors​

La rixe qui a éclaté ce lundi 28 octobre vers 18 h en haut du Boulevard Gambetta de Cahors s’est semble-t-il déroulée en deux temps. Des coups de couteau ont été donnés. Le pronostic vital des victimes n’est pas engagé. L’enquête est toujours en cours.

Les policiers sont rapidement intervenus et ont interpellé les auteurs présumés, des jumeaux âgés de 18 ans d’origine algérienne (l’un des deux faisait l’objet d’une OQTF* selon nos informations). Les frères sont toujours en garde à vue ce mercredi 30 octobre.

Ils pourraient être présentés en comparution immédiate devant le tribunal de Cahors ce jeudi 31 octobre.


Un attroupement armé devant le commissariat de Cahors​

L’affaire ne s’est pas terminée là. Plus tard dans la soirée, des proches des victimes armés – la préfecture du Lot évoque une dizaine de personnes – se sont rendus devant le commissariat de Cahors avec la volonté d’en découdre avec les jumeaux. Les policiers ont rapidement écarté et maîtrisé les assaillants. Une enquête distincte a été ouverte.

Ces faits ont fait réagir Claire Raulin, préfète du Lot, dès le mardi matin, qui a fermement condamné ces agissements. « On ne peut pas se faire justice soi-même, c’est inacceptable ! Je condamne très fermement ces agissements. La situation a été rapidement maîtrisée et gérée par la police nationale. »
La préfète du Lot précise que la présence des forces de l’ordre est renforcée dans les rues de Cahors ces prochains jours pour prévenir tout débordement. Une brigade canine de Montauban s’est rendue à Cahors dès le lundi soir. Des renforts de Toulouse et de Montpellier sont aussi arrivés dans la préfecture du Lot.

* Obligation de quitter le territoire français
 

Fusillade à Poitiers : La maire demande à Bruno Retailleau de « rectifier » ses propos concernant une rixe entre bandes​

ENQUÊTE•Léonore Moncond’huy confirme qu’il n’y a pas eu d’affrontement entre bandes rivales avec « des centaines de personnes », après la fusillade mortelle survenue dans sa ville jeudi soir, contrairement à ce qu’a affirmé le ministre de l’Intérieur.

Des propos qui ne passent pas. L’annonce par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, d’une « rixe entre bandes rivales » qui aurait opposé « des centaines de personnes », après la fusillade mortelle survenue à Poitiers (Vienne) jeudi soir devant un restaurant kebab, a suscité la colère de la maire de la ville, Léonore Moncond’huy (Les écologistes).

Invitée ce lundi matin de la matinale de France Bleu Poitou, l’élue confirme qu’il n’y a pas eu d’affrontement de la sorte, après la fusillade. Cet événement « est un épisode extrêmement tragique en soi, mais en plus de fausses informations ont été diffusées, par le ministre », accuse-t-elle. Au micro de RMC/BFMTV, Bruno Retailleau avait annoncé vendredi matin qu’une rixe entre bandes rivales avait « engagé plusieurs centaines de personnes », évoquant un compte rendu du préfet qui aurait pointé qu’entre « 400 et 600 personnes » auraient été concernées, alors qu’entre 40 et 60 personnes se seraient retrouvées sur place, de source policière.

« Il n’y avait pas besoin d’en rajouter »..........​


 

Fusillade devant une boîte de nuit près de Valence : Nicolas, la victime, est décédé, il jouait dans le même club de rugby que Thomas tué lors du bal de Crépol​

Fusillade mortelle devant une discothèque en Ardèche : le tireur interpellé par la BAC Nord dans une cité de Marseille​

L'auteur présumé de la fusillade qui a mortellement blessé Nicolas, un rugbyman de 22 ans, et fait deux blessés, en Ardèche, dans la nuit de jeudi à vendredi a été interpellé vers 18 heures lundi 4 novembre, par la BAC sur un point de deal dans la cité de la Bricarde, dans les quartiers Nord de Marseille, a-t-on appris de source policière. Le suspect, âgé de 19 ans, est en possession de papiers d'identité italiens, selon Franceinfo. France Bleu Provence précise qu'il est inconnu des services de Police sous cette identité.

Le complice présumé interpellé à Cavaillon​

Un second individu, âgé de 23 ans, a été arrêté à son domicile à Cavaillon (Vaucluse), lors d'une opération qui a mobilisé dix policiers de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) de Valence, venus à bord de quatre véhicules. Selon France Bleu, ce jeune homme est déjà connu pour des affaires de stupéfiants, il est suspecté de complicité avec le tireur. Un véhicule qui pourrait avoir servi aux suspects a été retrouvé calciné à Valence.
 

Un homme de 54 ans exécuté par balles au centre-ville de Seloncourt​

Ce mardi vers 14 h 30 à Seloncourt, près de Montbéliard (25), un automobiliste a été mortellement blessé par arme à feu au centre-ville. L’homme a pu reprendre le volant avant de provoquer un accident quelques centaines de mètres plus loin et de s’écrouler. Le procureur de Montbéliard parle d’une « véritable exécution ».
Stupeur ce mardi, vers 14 h 30, à Seloncourt. Au centre-ville très fréquenté, rue du Général-Leclerc, des coups de feu retentissent. « J’en ai entendu deux », témoigne une maman, coincée derrière les rubans jaunes de sécurité, qui se demande comment elle va pouvoir récupérer sa voiture et son enfant à l’école.

« On le voit s’approcher tranquillement… »​

Les faits font froid dans le dos. Un automobiliste de 54 ans a été mortellement blessé par arme à feu alors qu’il effectuait une manœuvre (un stationnement ou un demi-tour) devant un bureau de tabac jouxtant un snack. L’auteur était, lui, à pied. A-t-il voulu attirer la victime dans un guet-apens ? La connaissait-il ? L’acte semble en tout cas prémédité. « Il s’agit d’une véritable exécution », commente le procureur de la République de Montbéliard, Paul-Edouard Lallois , qui s’est rendu sur place au regard de la gravité de la situation.

« Presque à bout portant »​

« Sur les bandes de vidéosurveillance, on le voit s’approcher tranquillement de la voiture, extraire une arme de poing de sa poche, la braquer en direction du conducteur et tirer, presque à bout portant, à travers la vitre à plusieurs reprises », continue le représentant du parquet.
 

Fusillade à Poitiers : une marche blanche organisée samedi pour rendre hommage à Anis​

Lecture 1 min
Accueil Faits divers
Fusillade à Poitiers : une marche blanche organisée samedi pour rendre hommage à Anis
Le suspect interpellé après la fusillade a été mis en examen jeudi soir pour « assassinat », a annoncé le parquet.

Par SudOuest.fr
Publié le 08/11/2024 à 18h30.

L’adolescent de 15 ans avait été tué dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre au cours d’une fusillade survenue dans le quartier des Couronneries


Ce samedi 9 novembre se tiendra un rassemblement pour rendre hommage à Anis, tué à 15 ans lors d’une fusillade à Poitiers dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. L’hommage se tiendra dans le quartier où a eu lieu le drame, qui a fait également 4 blessés, tous mineurs, place Couïmbra, dans le quartier des Couronneries, révèle « Le Parisien ». Le rassemblement est organisé par les amis de l’adolescent, qui souhaitent « rétablir la vérité et ne pas laisser les médias salir l’image » d’Anis.......

 

Poitiers: «La fusillade n’a aucun lien avec le milieu marseillais», affirment les avocats du suspect​


Selon des informations du Figaro, le suspect de la fusillade se serait rendu car menacé de mort sur les réseaux sociaux.


Une semaine après la fusillade qui a tué un jeune de 15 ans et blessé quatre autres aux Couronneries à Poitiers, des zones d’ombre persistent sur les motivations du tireur. Mercredi, Bruno Retailleau affirmait que «derrière ce meurtre, il y a la main de la mafia de Marseille.» Contactés par Le Figaro, les avocats du suspect, Mes Julie Gonidec, Malcolm Mouldaia et Marie-David Bellard affirment que «contrairement à ce qui est avancé par le ministre de l’intérieur, la fusillade n’a aucun lien avec le milieu marseillais ou la mafia Yoda à ce stade»......

 

Fusillade à Poitiers : une marche blanche organisée samedi pour rendre hommage à Anis​

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Fusillade à Poitiers : une marche blanche organisée samedi pour rendre hommage à Anis
Le suspect interpellé après la fusillade a été mis en examen jeudi soir pour « assassinat », a annoncé le parquet.

Par SudOuest.fr
Publié le 08/11/2024 à 18h30.

L’adolescent de 15 ans avait été tué dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre au cours d’une fusillade survenue dans le quartier des Couronneries


Ce samedi 9 novembre se tiendra un rassemblement pour rendre hommage à Anis, tué à 15 ans lors d’une fusillade à Poitiers dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. L’hommage se tiendra dans le quartier où a eu lieu le drame, qui a fait également 4 blessés, tous mineurs, place Couïmbra, dans le quartier des Couronneries, révèle « Le Parisien ». Le rassemblement est organisé par les amis de l’adolescent, qui souhaitent « rétablir la vérité et ne pas laisser les médias salir l’image » d’Anis.......

On va encore en faire combien de marches blanches , de bougies allumées, de nounours déposés contre un portail , dans moins d’un mois on aura oublié celle là et en sera déjà passé à la suivante .Répression et fermeté , en finir avec la culture de l’excuse et de la minorité et ouvrir Cayenne et leur faire exploser des pierres toute la journée à coups de marteau avec des chaînes aux pieds .Dans 15 ans ( et je vois large) ce mec est déjà dehors et il reprendra son business qu’il n’aura d’ailleurs pas arrêté pendant son séjour en prison où il sera nourri logé et blanchi au frais de la princesse .Il y a tellement de marches blanches qu’on en a pris l’habitude , ce qui n’est pas normal dans un pays dit civilisé et en dit long sur l’augmentation de la délinquance, je crois que c’est comme pour le terrorisme, les gens qui y sont confrontés souvent sont blazés.En attendant un môme de 15 ans qui n’a rien demandé est mort et des parents dans le chagrin à cause de l’inaction de nos gouvernements depuis 40 ans quand ils ont commencé à laisser pousser des points de deal en disant que c’était pas si grave et que c’est des gens pauvres , ça met du beurre dans les épinards, tous ces politicards ont une lourde responsabilité dans ce qui arrive aujourd’hui.
 
Dernière édition:

Un mort et un blessé dans une fusillade à Martigues​

Les trois auteurs des tirs samedi soir ont pris la fuite. Un véhicule en flammes a été découvert à quelques kilomètres du lieu des faits.

Un homme de 21 ans a été tué par balles et un autre blessé samedi soir après avoir été pris pour cibles par des tireurs en voiture dans un quartier populaire de Martigues (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris dimanche de sources policières.

Grièvement blessé à l’abdomen, l’homme a été retrouvé vers 21h30 dans une épicerie, près de laquelle les policiers ont découvert deux grenades, qui se sont avérées démilitarisées, a indiqué une source policière.




Pris en charge par les secours, l’homme, connu pour ses antécédents judiciaires, est décédé à l’hôpital. Une seconde victime, blessée par balle à la main, s’est rendue d’elle-même à l’hôpital.

Près d’un point de deal​

Les trois auteurs des tirs ont pris la fuite. Un véhicule en flammes a été découvert à quelques kilomètres du lieu des faits, a-t-on précisé de même source.

L’enquête a été confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS).

 

INFO LA DEPECHE. Nouvelle fusillade au nord de Toulouse : une jeune femme touchée par une balle perdue​

Les cités du nord de Toulouse sont à nouveau le théâtre de violences. Vendredi soir, une fusillade a éclaté à la station de métro Borderouge, blessant une jeune femme à la cuisse. Selon ses déclarations, elle aurait été touchée par une balle perdue. Les tireurs ont pris la fuite avant l’arrivée des secours.

Tout débute vers 22 heures lorsqu’un groupe de jeunes se rassemble à proximité de la station de métro Borderouge pour consommer du protoxyde d’azote, un gaz à usage détourné qui suscite de plus en plus d’inquiétude en raison de ses effets sur la santé.


A lire aussi : Un homme blessé au visage dans le quartier des Izards

Alors que la soirée se déroule normalement, un scooter approche. Un homme le pilote, un autre est transporté à l’arrière. Ces individus, toujours selon les témoins, étaient vêtus de noir et casqués. Arrivés à leur hauteur, le passager du deux-roues sort une arme de poing et ouvre le feu. Les tireurs auraient visé un homme qui aurait réussi à prendre la fuite sans être touché.

Un livreur Uber Eats légèrement blessé​

Au moins cinq coups de feu ont retenti. L’une des ogives a touché la cuisse d’une femme de 22 ans sans la traverser. Elle a été prise en charge par les secours avant d’être conduite à l’hôpital. Sa vie ne serait pas en danger.

Parmi les victimes collatérales, un livreur Uber Eats a également été blessé, frôlé par un projectile qui lui a causé une brûlure au dos.

Le parquet a immédiatement ouvert une enquête pour tentative de meurtre. Les policiers de la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) sont chargés des investigations. Plusieurs douilles percutées ont été saisies sur place ce vendredi soir. Le mobile de la fusillade reste incertain, mais il pourrait être lié au trafic de stupéfiants. En début de semaine, la police nationale a mené une opération pour démanteler tout un réseau qui revendait de la drogue dans ce secteur. Depuis ce coup de filet, la tension est montée d’un cran dans la cité. Certains profiteraient des arrestations pour prendre le contrôle du point de deal.

A lire aussi : "J’ai fumé le gros" : Mohamed Z., ex-parrain du quartier des Izards à Toulouse, conteste une nouvelle mise en examen pour meurtre

Pour l’instant, les enquêteurs explorent plusieurs hypothèses et restent prudents sur les causes exactes de l’incident. Cette tension inquiète les habitants, qui redoutent une nouvelle flambée de violence dans le quartier.
 
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