Comme le dit le canard pour un bout de viande ce policier ripoux aurait pu assassiner 2 personnes .
Quelle légitime défense ? Il ment . Et pourtant il est ressorti "libre" par la fausse justice .
Le budget de la "justice " est très loin de celui de l'intérieur et ce n'est pas un hasard .
Gouvernement de type soviétique surtout depuis mitte errant 1981 et mort et sa secte puante qui elle et toujours là
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Tout ça pour deux magrets de canard... Un ex-policier, Gwenaël L., 47 ans, comparaît devant la cour d'assises de l'Essonne, du 5 au 8 février, pour tentative d'homicide. Il est accusé d'avoir délibérément blessé par balles deux hommes qui venaient de dérober de la viande dans un magasin de Limours-en-Hurepoix, le 2 avril 2011, après les avoir pris en chasse avec sa voiture. L'ancien fonctionnaire, lui, jure avoir agi en situation de légitime défense.
A partir de ce moment-là, les versions divergent. "Mon client a fait ce qui lui semblait relever de son devoir, affirme l'avocat de Gwenaël L., Jean Piétrois. Il a poursuivi la voiture jusqu'à être en mesure de relever le numéro d'immatriculation. Il s'est alors arrêté pour appeler la gendarmerie. En relevant la tête, il a vu que la Citroën s'était arrêtée et faisait marche arrière dans sa direction. Il a alors entendu "sale flic, on va te buter" et, pensant que le véhicule allait le percuter, il a saisi son arme de service, dissimulée sous le siège, et il a tiré. D'abord en direction du sol, en guise de sommation."
Deux impacts de tirs relevés sur la voiture
Gary Châtelain et Ludovic Tiercelin racontent, eux, une tout autre histoire. Le policier, qui ne se serait à aucun moment identifié comme tel, aurait fait feu sur leur camionnette à plusieurs reprises tout en conduisant. Tous deux blessés, l'un à la jambe, l'autre au bras, ils auraient demandé au conducteur d'arrêter le véhicule. Le brigadier-chef serait alors venu vers eux, pistolet au poing et menaces aux lèvres.
Le rapport de l'expert en balistique semble accréditer la version des cousins. Selon lui, le policier, gaucher, aurait tiré sept balles: à deux reprises, par la fenêtre de son Scénic, en roulant, puis une troisième fois à pied, après être descendu de sa voiture. Un scénario contesté par la défense, selon laquelle "des douilles ont pu être déplacées". Quoi qu'il en soit, deux projectiles ont touché l'utilitaire Citroën, l'un dans la vitre latérale gauche, l'autre dans la vitre arrière. "Cela prouve que Monsieur L. a tiré à hauteur d'homme, souligne Camille Doutreluingne, l'avocate des frères Châtelain. Or il est policier, formé au tir et parfaitement conscient la dangerosité de son pistolet Sig Sauer."
"Gwenaël L. a agi en justicier"
C'est la même ogive, fragmentée par l'impact sur le verre, qui touche Gary à la cuisse et sectionne l'artère humorale de Ludovic. Gwenaël L. "conduisait son arme à la main, voire entre les cuisses ou encore posée sur le siège passager", estiment les magistrats de la cour d'appel qui, en avril 2018, balaient la thèse de la légitime défense et confirment la mise en accusation du brigadier-chef pour tentative d'homicide. Pis: s'il est "déraisonnable de penser qu'un policier puisse tirer à sept reprises avec son arme de service sur des voleurs prenant la fuite après avoir dérobé deux magrets de canard, pourtant, il s'agit de la stricte réalité des faits [...] En tirant volontairement sur le côté du véhicule et à l'arrière, en dehors de tout danger et de tout enjeu, prenant le risque conscient d'atteindre et de tuer ses occupants, Gwenaël L. a agi en justicier."
Quelle légitime défense ? Il ment . Et pourtant il est ressorti "libre" par la fausse justice .
Le budget de la "justice " est très loin de celui de l'intérieur et ce n'est pas un hasard .
Gouvernement de type soviétique surtout depuis mitte errant 1981 et mort et sa secte puante qui elle et toujours là
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Tout ça pour deux magrets de canard... Un ex-policier, Gwenaël L., 47 ans, comparaît devant la cour d'assises de l'Essonne, du 5 au 8 février, pour tentative d'homicide. Il est accusé d'avoir délibérément blessé par balles deux hommes qui venaient de dérober de la viande dans un magasin de Limours-en-Hurepoix, le 2 avril 2011, après les avoir pris en chasse avec sa voiture. L'ancien fonctionnaire, lui, jure avoir agi en situation de légitime défense.
A partir de ce moment-là, les versions divergent. "Mon client a fait ce qui lui semblait relever de son devoir, affirme l'avocat de Gwenaël L., Jean Piétrois. Il a poursuivi la voiture jusqu'à être en mesure de relever le numéro d'immatriculation. Il s'est alors arrêté pour appeler la gendarmerie. En relevant la tête, il a vu que la Citroën s'était arrêtée et faisait marche arrière dans sa direction. Il a alors entendu "sale flic, on va te buter" et, pensant que le véhicule allait le percuter, il a saisi son arme de service, dissimulée sous le siège, et il a tiré. D'abord en direction du sol, en guise de sommation."
Deux impacts de tirs relevés sur la voiture
Gary Châtelain et Ludovic Tiercelin racontent, eux, une tout autre histoire. Le policier, qui ne se serait à aucun moment identifié comme tel, aurait fait feu sur leur camionnette à plusieurs reprises tout en conduisant. Tous deux blessés, l'un à la jambe, l'autre au bras, ils auraient demandé au conducteur d'arrêter le véhicule. Le brigadier-chef serait alors venu vers eux, pistolet au poing et menaces aux lèvres.
Le rapport de l'expert en balistique semble accréditer la version des cousins. Selon lui, le policier, gaucher, aurait tiré sept balles: à deux reprises, par la fenêtre de son Scénic, en roulant, puis une troisième fois à pied, après être descendu de sa voiture. Un scénario contesté par la défense, selon laquelle "des douilles ont pu être déplacées". Quoi qu'il en soit, deux projectiles ont touché l'utilitaire Citroën, l'un dans la vitre latérale gauche, l'autre dans la vitre arrière. "Cela prouve que Monsieur L. a tiré à hauteur d'homme, souligne Camille Doutreluingne, l'avocate des frères Châtelain. Or il est policier, formé au tir et parfaitement conscient la dangerosité de son pistolet Sig Sauer."
"Gwenaël L. a agi en justicier"
C'est la même ogive, fragmentée par l'impact sur le verre, qui touche Gary à la cuisse et sectionne l'artère humorale de Ludovic. Gwenaël L. "conduisait son arme à la main, voire entre les cuisses ou encore posée sur le siège passager", estiment les magistrats de la cour d'appel qui, en avril 2018, balaient la thèse de la légitime défense et confirment la mise en accusation du brigadier-chef pour tentative d'homicide. Pis: s'il est "déraisonnable de penser qu'un policier puisse tirer à sept reprises avec son arme de service sur des voleurs prenant la fuite après avoir dérobé deux magrets de canard, pourtant, il s'agit de la stricte réalité des faits [...] En tirant volontairement sur le côté du véhicule et à l'arrière, en dehors de tout danger et de tout enjeu, prenant le risque conscient d'atteindre et de tuer ses occupants, Gwenaël L. a agi en justicier."