Un policier de 32 ans a été mis en examen lundi pour avoir agressé sexuellement et violé sept jeunes enfants de son entourage. Le fonctionnaire a également été mis en examen pour détention et diffusion d'images pédopornographiques et il a été placé en détention provisoire, a précisé le parquet de Versailles dans un communiqué mardi, confirmant une information du Parisien.
Le gardien de la paix qui réside à Mantes-la-Jolie (Yvelines) et travaille à la direction territoriale de la sécurité publique à Nanterre est soupçonné d'avoir violé et agressé sexuellement « au moins sept enfants, âgés de 2 à 8 ans entre 2012 et 2018 » dans les Hautes-Pyrénées, en Seine-Maritime ou encore dans les Landes, selon la source proche de l'affaire. Les jeunes victimes présumées sont des enfants d'amis ou encore ses nièces.
Le policier a été arrêté samedi chez son père à Orleix (Hautes-Pyrénées), après qu'un homme, interpellé dans le Maine-et-Loire, avec qui il échangeait des images pédopornographiques via internet, ait parlé de lui en garde à vue,
dans le cadre d'une autre affaire, selon la même source. Les enquêteurs ont retrouvé près de 400 photos d'enfants abusés, ainsi que des vidéos tournées par le policier, avec son téléphone portable notamment.
En garde à vue, l'homme a reconnu les agressions, mais nié les viols, selon la même source. La sûreté départementale des Yvelines est en charge de l'enquête
lepoint.fr
Le gardien de la paix qui réside à Mantes-la-Jolie (Yvelines) et travaille à la direction territoriale de la sécurité publique à Nanterre est soupçonné d'avoir violé et agressé sexuellement « au moins sept enfants, âgés de 2 à 8 ans entre 2012 et 2018 » dans les Hautes-Pyrénées, en Seine-Maritime ou encore dans les Landes, selon la source proche de l'affaire. Les jeunes victimes présumées sont des enfants d'amis ou encore ses nièces.
Le policier a été arrêté samedi chez son père à Orleix (Hautes-Pyrénées), après qu'un homme, interpellé dans le Maine-et-Loire, avec qui il échangeait des images pédopornographiques via internet, ait parlé de lui en garde à vue,
dans le cadre d'une autre affaire, selon la même source. Les enquêteurs ont retrouvé près de 400 photos d'enfants abusés, ainsi que des vidéos tournées par le policier, avec son téléphone portable notamment.
En garde à vue, l'homme a reconnu les agressions, mais nié les viols, selon la même source. La sûreté départementale des Yvelines est en charge de l'enquête
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