Aprés avoir fait acte de provocation à l'égard de la contestation sociale, en prétendant que dorénavant « quand il y a une grève en france, plus personne ne s'en aperçois », le pouvoir réitère.... en annonçant qu'il a gagné la bataille idéologique contre la gauche.... les membres issus de « l'ouverture » apprécieront.
Lire la suite : La droite affirme qu'elle a gagné la bataille idéologique
Où sont les apports de l'ouverture si la droite prétend avoir écrasé l'opposition ?
Le mot « parenthèse » est une interprétation du journale Le Monde, et non pas un mot de gouvernement... mais les paroles de F. Fillon confirment que le mot est bien légitime.
Ainsi, l'un des principaux arguments de campagne de N. Sarkozy, n'était qu'une parenthèse.
journal Le Monde à dit:La droite affirme qu'elle a gagné la bataille idéologique
LE MONDE | 14.07.08 | 13h18 • Mis à jour le 15.07.08 | 15h34
Un an après l'élection de Nicolas Sarkozy, la parenthèse de l'ouverture est bel et bien refermée. Plutôt que d'entretenir le brouillage idéologique comme elle le faisait à l'été 2007, la droite a décidé de s'affirmer comme telle : "Nous avons gagné la bataille idéologique", répète depuis quelques semaines le premier ministre, François Fillon, devant les militants de l'UMP ou les représentants de l'Union démocratique internationale (UDI), qui rassemble soixante-dix partis de droite à travers le monde. "Nous sortons du relativisme culturel et moral que la gauche française des années 1980 avait diffusé dans le pays", s'est-il encore réjoui le 26 juin, en se vantant de réhabiliter "des vertus qui avaient été négligées, parfois même ridiculisées : la réussite, le respect ou la responsabilité".
Lire la suite : La droite affirme qu'elle a gagné la bataille idéologique
Où sont les apports de l'ouverture si la droite prétend avoir écrasé l'opposition ?
Le mot « parenthèse » est une interprétation du journale Le Monde, et non pas un mot de gouvernement... mais les paroles de F. Fillon confirment que le mot est bien légitime.
Ainsi, l'un des principaux arguments de campagne de N. Sarkozy, n'était qu'une parenthèse.