ArabianKnight
robotcopkiller
peut-être suis-je devenu un vieux plouc ayant vécu sa jeunesse dans un autre siècle (... au 20e siècle ) totalement dépassé par les moeurs naissantes du 21e siècle....
mais pourquoi toute cette violence pour pas grand chose finalement?
article de Riposte Laïque http://ripostelaique.com/ramadan-a-...-des-jeunes-musulmans-cognent-et-gagnent.html
Une fois de plus, le silence est fait par les médias, les autorités et les victimes sur les violences collatérales dues à la pratique dune des religions de paix et damour.
Annonay, ville de 18 000 habitants du Nord de lArdèche, a une forte communauté turque avec une petite communauté maghrébine et une autre petite communauté asiatique dans un quartier de la ville : le Ripaille.
Une gigantesque mosquée turque avec ses dépendances culturelles tout aussi impressionnantes est en construction et en voie dachèvement, avec un imam conquérant qui sattache à ce que les femmes de sa communauté aient une attitude décente en public avec voile et jupe longue.
Mais les pratiquants turcs de cette mosquée excluent de leurs pratiques rituelles les maghrébins, notamment de celles de la rupture du jeune lors du Ramadan (dans cette pratique religieuse, il ny a que des égaux, mais il y a des plus égaux que dautres).
Des jeunes maghrébins, sans doute très pieux, ont donc exigé dun commerçant asiatique du quartier quil leur cède son arrière-boutique pour la rupture du jeûne. Devant son refus, ils le passent à tabac, avec pour conséquence une fracture du nez et diverses ecchymoses. Celui-ci ne porte pas plainte devant des menaces quotidiennes à connotation raciste de ces jeunes gens très pieux.
La communauté asiatique sait quelle ne peut pas obtenir une aide de la Ligue des Droits de lHomme, puisque cette organisation a décrété quil nexiste quune sorte de racisme, celle exercée contre les jeunes dorigine maghrébine.
Ces jeunes, remplis de piété, voulant toujours pratiquer leur religion de paix et damour, exigent alors du Directeur du Centre Social du quartier, quil mette à leur disposition le Centre Social pour les nuits lors du Ramadan. Devant son refus pour cause de non assurance pour ce genre de manifestation, les jeunes, toujours emplis de piété religieuse (comme ont pu lêtre nos chevaliers lors des croisades) le rossent sévèrement, heureusement sans fracture ni lésion grave à lissue.
Les responsables PS de la mairie, en labsence du maire, se précipitent alors pour demander à ladministration des HLM de mettre une salle à disposition de ces pratiquants islamiques pacifiques. La gendarmerie, avertie, vient témoigner de ses bons rapports avec les jeunes du quartier, lesquels manifestent à lissue de cette affaire un triomphe ostentatoire.
Tous saccordent à tenir secret cette affaire pour ne pas stigmatiser ces jeunes du quartier qui ont voulu seulement pratiquer leur religion.
Il ny a donc pas eu un mot dans le journal régional et local « le Dauphiné Libéré » ni dans lhebdomadaire très lu des catholiques du Nord-Ardèche « le Réveil ».
La Ligue des Droits de lHomme reste silencieuse. Après tout, ces jeunes nont fait que réclamer et obtenir la liberté religieuse. Où est le problème ?
Nicolas Dupelous
mais pourquoi toute cette violence pour pas grand chose finalement?
article de Riposte Laïque http://ripostelaique.com/ramadan-a-...-des-jeunes-musulmans-cognent-et-gagnent.html
Une fois de plus, le silence est fait par les médias, les autorités et les victimes sur les violences collatérales dues à la pratique dune des religions de paix et damour.
Annonay, ville de 18 000 habitants du Nord de lArdèche, a une forte communauté turque avec une petite communauté maghrébine et une autre petite communauté asiatique dans un quartier de la ville : le Ripaille.
Une gigantesque mosquée turque avec ses dépendances culturelles tout aussi impressionnantes est en construction et en voie dachèvement, avec un imam conquérant qui sattache à ce que les femmes de sa communauté aient une attitude décente en public avec voile et jupe longue.
Mais les pratiquants turcs de cette mosquée excluent de leurs pratiques rituelles les maghrébins, notamment de celles de la rupture du jeune lors du Ramadan (dans cette pratique religieuse, il ny a que des égaux, mais il y a des plus égaux que dautres).
Des jeunes maghrébins, sans doute très pieux, ont donc exigé dun commerçant asiatique du quartier quil leur cède son arrière-boutique pour la rupture du jeûne. Devant son refus, ils le passent à tabac, avec pour conséquence une fracture du nez et diverses ecchymoses. Celui-ci ne porte pas plainte devant des menaces quotidiennes à connotation raciste de ces jeunes gens très pieux.
La communauté asiatique sait quelle ne peut pas obtenir une aide de la Ligue des Droits de lHomme, puisque cette organisation a décrété quil nexiste quune sorte de racisme, celle exercée contre les jeunes dorigine maghrébine.
Ces jeunes, remplis de piété, voulant toujours pratiquer leur religion de paix et damour, exigent alors du Directeur du Centre Social du quartier, quil mette à leur disposition le Centre Social pour les nuits lors du Ramadan. Devant son refus pour cause de non assurance pour ce genre de manifestation, les jeunes, toujours emplis de piété religieuse (comme ont pu lêtre nos chevaliers lors des croisades) le rossent sévèrement, heureusement sans fracture ni lésion grave à lissue.
Les responsables PS de la mairie, en labsence du maire, se précipitent alors pour demander à ladministration des HLM de mettre une salle à disposition de ces pratiquants islamiques pacifiques. La gendarmerie, avertie, vient témoigner de ses bons rapports avec les jeunes du quartier, lesquels manifestent à lissue de cette affaire un triomphe ostentatoire.
Tous saccordent à tenir secret cette affaire pour ne pas stigmatiser ces jeunes du quartier qui ont voulu seulement pratiquer leur religion.
Il ny a donc pas eu un mot dans le journal régional et local « le Dauphiné Libéré » ni dans lhebdomadaire très lu des catholiques du Nord-Ardèche « le Réveil ».
La Ligue des Droits de lHomme reste silencieuse. Après tout, ces jeunes nont fait que réclamer et obtenir la liberté religieuse. Où est le problème ?
Nicolas Dupelous