Oh la la ! la religion chrétienne est une religion d'amour a ce qu'on peut constater !
Ya si Tanja, tu es mal a l'aise face aux scandales des Chrétiens !!!
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La connaissance de la pédophilie dans l'Église est à présent un sujet d'enquête non tabou, et son ampleur dans le monde peut être mieux évaluée. En 2004, une étude du John Jay College of Criminal Justice de New York établit à 4 400 le nombre de prêtres pédophiles aux États-Unis entre 1950 et 2002 et, à 11 000 celui des enfants victimes.
Au Canada, des milliers d'Amérindiens ayant séjourné dans des pensionnats religieux attaquent l'Église Catholique en justice pour « abus sexuels », maltraitance physique et « génocide culturel ». Pour la période 1880-1984, figurent aussi au banc des accusés le Gouvernement du Canada et les Églises Anglicane, Unie et Presbytérienne, celui-là ayant donné pour mission à celles-ci l'assimilation des Amérindiens (Église Catholique = 60 pour cent des pensionnats). Les parents autochtones étaient tenus d'envoyer leurs enfants dans ces pensionnats (residential schools) sous peine d'emprisonnement. Dans certaines écoles, les mauvaises conditions et la surpopulation ont causé des décès par tuberculose allant jusqu'à 69 pour cent des élèves. En raison d'allégations de meurtres en grand nombre ainsi que d'expériences médicales, certains emploient l'expression « Holocauste canadien ». En février 2000, on compte plus de 10 000 poursuites intentées contre le Gouvernement du Canada et les Églises. Au total, les dédommagements atteindront 1 milliard de dollars canadiens.
En Espagne, plus d'une centaine de cas d'abus sexuels de la part de prêtres ont été recensés.
En France, plusieurs scandales ont éclaté, et des prêtres ont été condamnés, jusqu'à 18 ans de réclusion criminelle.
Irlande
En Irlande, un rapport de la commission d'enquête sur les abus commis sur des mineurs (dit rapport Murphy - voir en anglais Murphy Report), rendu public le 20 mai 2009, dénonce en 2600 pages les abus subis par de nombreux enfants accueillis par des structures financées par l'Etat et gérées en grande partie par l'Eglise catholique. Le mandat de la commission concerne quatre types d'abus : physiques, sexuels, de négligence et psychologiques