Faire un trou dans le mur pour y insérer son sexe et recevoir une *********, c’est le principe du “glory hole”. Et cette pratique fait partie des recommandations du British Columbia Centre for Disease Control, l’agence de santé publique de la province canadienne de Colombie-Britannique. C’est dans un communiqué sur leur site que cette pratique est mise en avant afin de réduire les risques de contamination du virus.
Sur Twitter, le conseil n’a pas manqué de faire réagir si bien qu’il a été parmi les sujets les plus discutés sur le réseau social au Canada le 22 et 23 juillet.
S’assurer que la personne n’est pas contaminée
L’objectif premier du B.C. Centre for Disease Control, est de montrer à travers ce fameux communiqué, les différentes pratiques sexuelles à adopter pendant ce temps d’épidémie. Dans cette liste, se trouvait le “glory hole” mais pas seulement. Il était aussi conseillé de garder son masque, de mettre un préservatif, de se laver entièrement avant et après l’acte, et d’éviter des positions en “face-à-face”. Mais avant tout, de s’assurer évidemment que la personne ne soit pas touchée par le coronavirus.
“Le BC Center for Disease Control recommande d’utiliser des ‘glory holes’ pour pratiquer des rapports sexuels protégés pendant la pandémie - et je veux simplement savoir si c’est une chose courante chez les gens”, écrit Kamil Karamali, journaliste canadien. Les internautes n’ont pas manqué de donner leur avis sous la publication.
À New York, les responsables de la santé publique ont aussi conseillé au début de la pandémie, d’utiliser les “glory holes” comme moyen potentiel d’éviter la propagation du COVID-19.
Les “glory holes” présentent l’avantage, comme le rappellent nos confrères canadiens, de maintenir une distance suffisante avec les très contagieuses gouttelettes respiratoires car les visages restent éloignés.
Les risques d’infection du covid par voie sexuelle sont étudiés mais encore relativement mal connus. Une étude en particulier cherche à comprendre si le virus peut se transmettre via les sécrétions vaginales.
www.huffingtonpost.fr
Sur Twitter, le conseil n’a pas manqué de faire réagir si bien qu’il a été parmi les sujets les plus discutés sur le réseau social au Canada le 22 et 23 juillet.
S’assurer que la personne n’est pas contaminée
L’objectif premier du B.C. Centre for Disease Control, est de montrer à travers ce fameux communiqué, les différentes pratiques sexuelles à adopter pendant ce temps d’épidémie. Dans cette liste, se trouvait le “glory hole” mais pas seulement. Il était aussi conseillé de garder son masque, de mettre un préservatif, de se laver entièrement avant et après l’acte, et d’éviter des positions en “face-à-face”. Mais avant tout, de s’assurer évidemment que la personne ne soit pas touchée par le coronavirus.
“Le BC Center for Disease Control recommande d’utiliser des ‘glory holes’ pour pratiquer des rapports sexuels protégés pendant la pandémie - et je veux simplement savoir si c’est une chose courante chez les gens”, écrit Kamil Karamali, journaliste canadien. Les internautes n’ont pas manqué de donner leur avis sous la publication.
À New York, les responsables de la santé publique ont aussi conseillé au début de la pandémie, d’utiliser les “glory holes” comme moyen potentiel d’éviter la propagation du COVID-19.
Les “glory holes” présentent l’avantage, comme le rappellent nos confrères canadiens, de maintenir une distance suffisante avec les très contagieuses gouttelettes respiratoires car les visages restent éloignés.
Les risques d’infection du covid par voie sexuelle sont étudiés mais encore relativement mal connus. Une étude en particulier cherche à comprendre si le virus peut se transmettre via les sécrétions vaginales.

Pour se protéger du covid, les autorités canadiennes conseillent le "glory hole"
Pour limiter les risques d'infection au coronavirus, la sexualité aussi s'adapte avec des conseils officiels... plus ou moins attendus.
