Poutine se sacrifie pour le Donbass surtout pour sa richesse ?

Géographiquement, le Donbass contraction de "Don" (le fleuve) et de "bassin" (minier, en l'occurrence) est une région de 55 000 km2, collée à la Russie, à l’est de l’Ukraine. C’est un grand bassin industriel, riche en charbon et en minerai. Ce territoire est étroitement lié à l’histoire russe, car il a appartenu à la fédération soviétique et a connu un essor industriel majeur sous Staline. Plusieurs vagues d’ouvriers russes y ont immigré, et la région demeure aujourd’hui encore principalement russophone.

Un poumon économique historique​

Le Donbass constitue aussi un atout économique majeur. Dans un pays surtout reconnu pour son agriculture, cette région se distingue par l’abondance de ses ressources souterraines : une grande variété de métaux et de minéraux (calcaire, dolomie, quartzites, craie, ardoises…), ainsi que des gisements stratégiques comme le lithium, le gaz de schiste et le gaz naturel.

À lui seul, le Donbass concentre une part significative des richesses ukrainiennes. En 2013, Donetsk et Louhansk représentaient près d’un quart de la production industrielle ukrainienne, soit 14 % du PIB du pays, un quart de ses exportations et plus d’un dixième de ses recettes fiscales. Après une décennie de conflit, cette économie tourne aujourd’hui au ralenti. La mine de charbon Komsomolets du Donbass demeure néanmoins la plus productive du pays, avec 1,37 million de tonnes de charbon produites par an. Ses fleurons vieillissants, tournés vers l’exportation, s’appellent Azovstal et Ilyich (sidérurgie) à Marioupol, Donetskal (mécanique) à Donetsk, Azot (chimie) à Severodonetsk, Luganskteplovoz (locomotives) à Louhansk… mais beaucoup de ces entreprises ont été affectées ou détruites, conséquence directe de la guerre.

Par ailleurs, la région dispose de près de 2,8 millions d’hectares de terres arables, ce qui représente également un enjeu agricole non négligeable pour Moscou. Cette importance n’est pas nouvelle : le Donbass était déjà considéré comme l’un des poumons économiques de l’Union soviétique.

 
On ne peut ignorer la douleur des habitants du Donbass, maltraités de façon immonde par un gouvernement de mafieux et poltrons qui s’en prennent à des civils sans armes et démunis de tout ! Avec la bénédiction des gouvernements européens, vils esclaves des mafias u.s sionistes…
 
Géographiquement, le Donbass contraction de "Don" (le fleuve) et de "bassin" (minier, en l'occurrence) est une région de 55 000 km2, collée à la Russie, à l’est de l’Ukraine. C’est un grand bassin industriel, riche en charbon et en minerai. Ce territoire est étroitement lié à l’histoire russe, car il a appartenu à la fédération soviétique et a connu un essor industriel majeur sous Staline. Plusieurs vagues d’ouvriers russes y ont immigré, et la région demeure aujourd’hui encore principalement russophone.

Un poumon économique historique​

Le Donbass constitue aussi un atout économique majeur. Dans un pays surtout reconnu pour son agriculture, cette région se distingue par l’abondance de ses ressources souterraines : une grande variété de métaux et de minéraux (calcaire, dolomie, quartzites, craie, ardoises…), ainsi que des gisements stratégiques comme le lithium, le gaz de schiste et le gaz naturel.

À lui seul, le Donbass concentre une part significative des richesses ukrainiennes. En 2013, Donetsk et Louhansk représentaient près d’un quart de la production industrielle ukrainienne, soit 14 % du PIB du pays, un quart de ses exportations et plus d’un dixième de ses recettes fiscales. Après une décennie de conflit, cette économie tourne aujourd’hui au ralenti. La mine de charbon Komsomolets du Donbass demeure néanmoins la plus productive du pays, avec 1,37 million de tonnes de charbon produites par an. Ses fleurons vieillissants, tournés vers l’exportation, s’appellent Azovstal et Ilyich (sidérurgie) à Marioupol, Donetskal (mécanique) à Donetsk, Azot (chimie) à Severodonetsk, Luganskteplovoz (locomotives) à Louhansk… mais beaucoup de ces entreprises ont été affectées ou détruites, conséquence directe de la guerre.

Par ailleurs, la région dispose de près de 2,8 millions d’hectares de terres arables, ce qui représente également un enjeu agricole non négligeable pour Moscou. Cette importance n’est pas nouvelle : le Donbass était déjà considéré comme l’un des poumons économiques de l’Union soviétique.

Lors d'une réunion à huis clos avec le bureau exécutif de l'Union des Industriels et des Entrepreneurs de Russie, Vladimir Poutine a évoqué une proposition de
Petr Porochenko concernant le Donbass. Selon Poutine, Porochenko lui aurait suggéré de « prendre le Donbass » et de l'intégrer à la Russie, ce à quoi Poutine
aurait répondu qu'il n'en avait pas besoin. Il a également précisé que tant que le Donbass faisait partie de l'Ukraine, les dépenses devaient être prises en
charge par Kiev. Cette conversation aurait eu lieu lors des négociations au format Normandie à Minsk en février 2015.

Poutine a exprimé ses préoccupations concernant le non-respect des accords de Minsk et a insinué que Kiev n'était pas intéressé par une résolution du conflit.
Il a souligné que l'aggravation de la situation était bénéfique pour les États-Unis, qui cherchent à creuser un fossé entre la Russie et l'Europe.
 
Lors d'une réunion à huis clos avec le bureau exécutif de l'Union des Industriels et des Entrepreneurs de Russie, Vladimir Poutine a évoqué une proposition de
Petr Porochenko concernant le Donbass. Selon Poutine, Porochenko lui aurait suggéré de « prendre le Donbass » et de l'intégrer à la Russie, ce à quoi Poutine
aurait répondu qu'il n'en avait pas besoin. Il a également précisé que tant que le Donbass faisait partie de l'Ukraine, les dépenses devaient être prises en
charge par Kiev. Cette conversation aurait eu lieu lors des négociations au format Normandie à Minsk en février 2015.

Poutine a exprimé ses préoccupations concernant le non-respect des accords de Minsk et a insinué que Kiev n'était pas intéressé par une résolution du conflit.
Il a souligné que l'aggravation de la situation était bénéfique pour les États-Unis, qui cherchent à creuser un fossé entre la Russie et l'Europe.
C'est tout simplement révélateur...
Sacrifié 100 000 soldats russe pour une petite brouille interukreniens ne colle pas.
 
Par ailleurs, la région dispose de près de 2,8 millions d’hectares de terres arables, ce qui représente également un enjeu agricole non négligeable pour Moscou. Cette importance n’est pas nouvelle : le Donbass était déjà considéré comme l’un des poumons économiques de l’Union soviétique.
C'est un champ de ruines dans les parties occupées par la Russie et les terres agricoles sont inexploitables (mines, obus...)
 
La Russie est un pays qui aime la guerre.

La Russie n'a jamais été pacifique, ni bienveillante.

Elle a toujours été impérialiste, violente, oppressive, menteuse.

« Nous n’avons pas dans nos plans une occupation des territoires ukrainiens, nous ne comptons rien imposer par la force à personne. »

Poutine.
 
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