La première personne avec qui vous êtes sorti

redaune44

Hala Madrid !
VIB
La première, j'avais 15 ans, un truc de gamins, donc non. Mais y'en a une qui m'a marqué. Oui, j'y pense des fois, et vu que j'ai changé de pays, impossible de la croiser un jour, je me demande des fois, qu'est elle devenue ?
 
Pourquoi ça te travaille tu arrives pas à oublier ton ex?
Non c'est pas vraiment sa, j'appelle pas sa ex parce que pour moi tant qu'il n'y a pas de mariage sa n'a jamais été ma femme donc pas une ex enfin bref on a pas les mêmes codes.
Sa m'est déjà arriver de sortir avec une personne et de sortir le nom de la première comme si c'était naturel la meuf a failli se barrer avec le seum mdrrr

MDRRR @Nayte le gros relou

J'attend toujours ton post !!! :D
 
Non c'est pas vraiment sa, j'appelle pas sa ex parce que pour moi tant qu'il n'y a pas de mariage sa n'a jamais été ma femme donc pas une ex enfin bref on a pas les mêmes codes.
Sa m'est déjà arriver de sortir avec une personne et de sortir le nom de la première comme si c'était naturel la meuf a failli se barrer avec le seum mdrrr
Non je comprends tu es puceau et tu attends la bonne pour te marier c'est beau, c'est romantique😍😍😍
 
Non c'est pas vraiment sa, j'appelle pas sa ex parce que pour moi tant qu'il n'y a pas de mariage sa n'a jamais été ma femme donc pas une ex enfin bref on a pas les mêmes codes.

Il ya différents mariages dans le licite ou l'illicite : quand tu te mets en couple avec une femme , tu es marié avec elle .

Ce sont tes ex-femmes que tu le veuille ou non , inutile de jouer sur les mots, galek des codes :rolleyes:
 
Il ya différents mariages dans le licite ou l'illicite : quand tu te mets en couple avec une femme , tu es marié avec elle .

Ce sont tes ex-femmes que tu le veuille ou non , inutile de jouer sur les mots, galek des codes :rolleyes:

Oui quand tu as été marier avec elle et que tu as divorcer là c'est une ex mais quand tu est juste sorti dans mariage sans rien c'est pas une ex
 
@AlMuslim tiens un peu de lecture et regarde dans quel case tu corresponds, car tu as bien des ex-femmes.

Les Différents Mariages qui ont existé :

Istibza
Le terme arabe istibda’ signifie la recherche d’une progéniture et se faisait comme suit : dans le but d'avoir une progéniture noble, le mari envoyait sa femme chez une personne considérée comme noble et évitait toute relation sexuelle avec elle jusqu'à ce qu'elle tombe enceinte de l'autre.
L’enfant né de ses relations était rattaché à son mari. L’initiative venait parfois de la femme. On peut comparer ce mariage à l’insémination artificielle où la femme recourt au sperme d’un autre homme que le sien pour des raisons de stérilité. Ce type de mariage a été interdit par Mohammad (psl)

Badal
Le terme arabe Nikah al-badal signifie mariage par échange d’épouse : deux hommes échangent les femmes en les divorçant préalablement. Ceci fut interdit aussi.

Hidn
Le nikah hidn, consistait à ce qu'une femme disposait un drapeau devant sa porte et accueillait des hommes (sexuellement). Lorsqu'elle tombait enceinte et accouchait, tous les hommes qui avaient eu un rapport avec elle se rassemblaient, et un kaif (à partir des formes des pieds des mâles et ceux du nourrisson) déterminait qui était le père. Ce mariage a également été prohibé par Mohammad(psl).

Tarjih
Le nikah tarjih se faisait ainsi : jusqu'à dix mâles avaient des rapports avec une même femme ; lorsque celle-ci tombait enceinte, elle choisissait comme père celui qu'elle désirait ; l'homme ne devait pas refuser. Cela fut également prohibé en islam.

Shighar
Le nikah shigar se faisait de cette façon : un homme donne en mariage sa fille ou sa sœur, contre la fille ou la sœur d'un autre, sans payer de dot. Cette pratique a encore cours dans les pays arabes même si un récit de Mohammad (psl) l’interdit. Les juristes musulmans sont partagés concernant la validité de ce mariage. Certains estiment qu’il est valide, mais chacune des femmes a droit à la dot d’équivalence. D’autres estiment qu’il s’agit d’un mariage nul. D’autres encore le considèrent comme nul ou valide selon l’expression utilisée.
 
Mut'a
Article détaillé : Mut'a.
Pour un nikah mut'a l'homme convenait avec une femme d'une durée pour un mariage, toujours une esclave, jamais une femme libre. Ce type de mariage a été également prohibé selon les quatre écoles sunnites, les chiites zaydite et les chiites ismaéliens. Selon les chiites imamites et certains savants sunnites, ce mariage est toujours autorisé.

Mudamadah
Le terme mudamadah signifie avoir des rapports avec un autre homme que le mari. En période de famine, des tribus pauvres poussaient leurs femmes à se rattacher à des hommes riches lors des marchés publics. Par la suite, elles revenaient vers leurs maris avec ce qu’elles avaient acquis comme nourriture et biens. Cela est interdit en Islam.

Mukhadanah
Le terme mukhadanah signifie l’amitié. Ce genre de rapports se passe entre une femme et plusieurs hommes, au maximum dix. Lorsqu’elle tombe enceinte et enfante d’un fils, elle les convoque et désigne celui qu’elle considère comme étant le père sans que ce dernier ne puisse s’y opposer. Si elle met au monde une fille, elle la garde pour elle de peur de la voir enterrée vivante. On trouve un écho de ce mariage dans le Coran (4:25).

Dhawaq
Le terme dhawaq signifie dégustation. Cette coutume aurait été largement répandue parmi les arabes préislamiques. Ils n’aimaient pas être liés par des mariages permanents et préféraient le mariage dhawaq, ce terme provenant du nom d’une femme appelée Dhawaqah. Cette dernière se mariait avec les hommes les uns après les autres pour les déguster. La littérature rapporte de nombreux cas de femmes agissant de la sorte. L’une d’elles, appelée Um Kharijah, avait épousé une quarantaine d’hommes provenant de vingt tribus. Une locution arabe disait à cet égard: "Plus rapide que le mariage d’Um Kharijah" .

Al-maqt
En Arabie préislamique, lorsqu'un homme mourait et laissait une femme et des enfants d'une autre femme, le plus âgé de ces enfants héritait la veuve en mariage. S'il la refusait ou y renonçait ultérieurement, elle passait à un autre enfant. Ce mariage se faisait sans contrat et sans dot. En l'absence d'enfants, elle passait aux plus proches. La femme ne pouvait s'en libérer que si elle parvenait à payer son acquéreur. On connaît une variante de ce système dans l'Ancien Testament sous le nom du lévirat (Dt 25,5-10). Le principe est le même à l'exception qu'il s'applique lorsqu'un homme meurt sans laisser de fils. Sa femme revient alors à son frère et si ce dernier conçoit un enfant avec elle, alors l'enfant portera le nom du défunt et non du frère. Le Coran a condamné ce genre de mariage (4:19 et 22).
 
Dernière édition:

ya3ni

3la slamtek babouches
VIB
Il ya différents mariages dans le licite ou l'illicite : quand tu te mets en couple avec une femme , tu es marié avec elle .

Ce sont tes ex-femmes que tu le veuille ou non , inutile de jouer sur les mots, galek des codes :rolleyes:
Bein si c'est quand même une ex d'autant plus s'il y a eu consommation même les ados qui font juste bisous bisous parlent de leurs ex 😃

il veut se donner bonne conscience donc il parle pas d'ex :D

sa future femme aussi pourra dire "non j'ai pas d'ex" meme si elle est sortie avec 15 gars

:D
 

GPA2SOU

Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
Bein quand on dit qu'il y pas plus de 25% de musulmans pratiquants en France c'est pas des chiffres en l'air 😃

Musulman c'est automatiquement pratiquant non ?

Muslim = soumission envers Allah non ?

Ne pas confondre maghrébin et musulman cela na pas du tout la même connotation

Ce qui revient à dire que musulman pratiquant est un pléonasme
 

Felicitee

L'essentiel est invisible pour les yeux
Mut'a
Article détaillé : Mut'a.
Pour un nikah mut'a l'homme convenait avec une femme d'une durée pour un mariage, toujours une esclave, jamais une femme libre. Ce type de mariage a été également prohibé selon les quatre écoles sunnites, les chiites zaydite et les chiites ismaéliens. Selon les chiites imamites et certains savants sunnites, ce mariage est toujours autorisé.

Mudamadah
Le terme mudamadah signifie avoir des rapports avec un autre homme que le mari. En période de famine, des tribus pauvres poussaient leurs femmes à se rattacher à des hommes riches lors des marchés publics. Par la suite, elles revenaient vers leurs maris avec ce qu’elles avaient acquis comme nourriture et biens. Cela est interdit en Islam.

Mukhadanah
Le terme mukhadanah signifie l’amitié. Ce genre de rapports se passe entre une femme et plusieurs hommes, au maximum dix. Lorsqu’elle tombe enceinte et enfante d’un fils, elle les convoque et désigne celui qu’elle considère comme étant le père sans que ce dernier ne puisse s’y opposer. Si elle met au monde une fille, elle la garde pour elle de peur de la voir enterrée vivante. On trouve un écho de ce mariage dans le Coran (4:25).

Dhawaq
Le terme dhawaq signifie dégustation. Cette coutume aurait été largement répandue parmi les arabes préislamiques. Ils n’aimaient pas être liés par des mariages permanents et préféraient le mariage dhawaq, ce terme provenant du nom d’une femme appelée Dhawaqah. Cette dernière se mariait avec les hommes les uns après les autres pour les déguster. La littérature rapporte de nombreux cas de femmes agissant de la sorte. L’une d’elles, appelée Um Kharijah, avait épousé une quarantaine d’hommes provenant de vingt tribus. Une locution arabe disait à cet égard: "Plus rapide que le mariage d’Um Kharijah" .

Al-maqt
En Arabie préislamique, lorsqu'un homme mourait et laissait une femme et des enfants d'une autre femme, le plus âgé de ces enfants héritait la veuve en mariage. S'il la refusait ou y renonçait ultérieurement, elle passait à un autre enfant. Ce mariage se faisait sans contrat et sans dot. En l'absence d'enfants, elle passait aux plus proches. La femme ne pouvait s'en libérer que si elle parvenait à payer son acquéreur. On connaît une variante de ce système dans l'Ancien Testament sous le nom du lévirat (Dt 25,5-10). Le principe est le même à l'exception qu'il s'applique lorsqu'un homme meurt sans laisser de fils. Sa femme revient alors à son frère et si ce dernier conçoit un enfant avec elle, alors l'enfant portera le nom du défunt et non du frère. Le Coran a condamné ce genre de mariage (4:19 et 22).
Très intéressant. On voit les bienfaits de la Religion
 
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