http://www.europe1.fr/France/Amine-l-Auvergnat-d-Hortefeux-se-confie-316791/
Amine Benalia-Brouch, ex-militant UMP avait été victime d’une "blague" jugée raciste en 2009.
Le 5 septembre 2009, Brice Hortefeux "plaisantait" avec un jeune militant, Amine Benalia-Brouch, lors des universités d’été de l’UMP, à Seignosse dans les Landes. "Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a plusieurs qu’il y a des problèmes", avait déclaré le ministre de l’Intérieur. Une petite phrase prononcée sur le ton de la blague, mais qui avait vite tourné à la polémique.
"Le coup" des Auvergnats
Du jour au lendemain, Amine Benalia-Brouch s’est retrouvé, bien malgré lui, au cœur d’une polémique. Après avoir soutenu pendant un temps le ministre de l’Intérieur, le jeune homme confie à présent, dans un livre, intitulé Confessions d'un Sarkozyste repenti, les "pressions et manipulations de l’UMP" dont il a fait l’objet.
Il écrit par exemple que Marie Aphatie, la secrétaire départementale des Landes, qui lui a proposé la version des "Auvergnats". "Quand je suis allé dans le bureau de Brice Hortefeux, il m’a dit : "vous avez bien fait de parler des Auvergnats, je n’y aurai pas pensé "", explique Amine, au journal Sud-Ouest.
Amine Benalia-Brouch, ex-militant UMP avait été victime d’une "blague" jugée raciste en 2009.
Le 5 septembre 2009, Brice Hortefeux "plaisantait" avec un jeune militant, Amine Benalia-Brouch, lors des universités d’été de l’UMP, à Seignosse dans les Landes. "Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a plusieurs qu’il y a des problèmes", avait déclaré le ministre de l’Intérieur. Une petite phrase prononcée sur le ton de la blague, mais qui avait vite tourné à la polémique.
"Le coup" des Auvergnats
Du jour au lendemain, Amine Benalia-Brouch s’est retrouvé, bien malgré lui, au cœur d’une polémique. Après avoir soutenu pendant un temps le ministre de l’Intérieur, le jeune homme confie à présent, dans un livre, intitulé Confessions d'un Sarkozyste repenti, les "pressions et manipulations de l’UMP" dont il a fait l’objet.
Il écrit par exemple que Marie Aphatie, la secrétaire départementale des Landes, qui lui a proposé la version des "Auvergnats". "Quand je suis allé dans le bureau de Brice Hortefeux, il m’a dit : "vous avez bien fait de parler des Auvergnats, je n’y aurai pas pensé "", explique Amine, au journal Sud-Ouest.