Sur pression d’israël, airbnb pourrait exclure le sud du maroc

La célèbre plate-forme de location californienne s’était engagée dans un communiqué, publié le 19 novembre, à ne plus proposer de logements sis dans les colonies israéliennes, soit environ 200 annonces. Elle devrait selon un de ses responsables appliquer la même règle au territoire du Sahara Occidental contesté au Maroc par le Front Polisario avec l’appui de l’Algérie.

Un responsable d’Airbnb a annoncé mercredi à Times of Israel qu’il était en train de déterminer s’il fallait retirer de son site les annonces émises pour le territoire du Sahara occidental, deux jours après que le géant des locations d’appartements de vacances a annoncé qu’il allait retirer de son site les logements situés dans les implantations israéliennes en Cisjordanie.

La célèbre plate-forme de location avait choisi d’anticiper la publication d’un rapport de l’ONG Human Rights Watch (HRW) et s’était engagée dans un communiqué, publié le 19 novembre, à ne plus proposer de logements sis dans les colonies israéliennes, soit environ 200 annonces.

« Dans le communiqué que nous avons publié lundi, nous avons indiqué que nous avons développé un cadre pour évaluer comment nous devrions traiter les annonces dans les territoires occupés à travers le monde. Le Sahara Occidental fait partie des endroits où nous allons utiliser ce cadre », a déclaré le responsable, selon la même source, laissant donc entendre que l’entreprise californienne pourrait faire le parallèle entre la situation vécue dans les territoires palestiniens occupés par Israël et le cas du Sahara Occidental dont la souveraineté marocaine est contestée par le Front Polisario avec l’appui de l’Algérie.

Des responsables israéliens, dont le ministre du Tourisme Yariv Levin et le ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan, avaient qualifié de « raciste » et « antisémite » la décision initiale d’Airbnb, arguant qu’elle appliquait une norme différente à l’Etat juif qu’à d’autres territoires contestés dans le monde. C’est donc suite à cette levée de boucliers en Israël qu’Airbnb a cédé sur le cas du Sahara Occidental.

Sur Twitter, Michael Oren (parti Koulanou), ancien ambassadeur aux Etats-Unis devenu vice-ministre pour la diplomatie, s’est aussi insurgé contre cette décision, en appelant à un boycott. « Airbnb place sur liste noire des appartements juifs en Judée et Samarie – pas des appartements palestiniens, pas des appartements à Chypre occupés par la Turquie, au Sahara occupé par le Maroc, pas au Tibet ni en Crimée. La politique de Airbnb est la définition même de l’antisémitisme. Personne ne devrait employer ses services. »

Le retrait éventuel du Sahara Occidental pourrait pénaliser en premier lieu la cité lagunaire de Dakhla qui a développé ces dernières années un tourisme balnéaire et sportif (kite-surf) de choix très prisé par les usagers d’Airbnb. A ce jour, 24 locations sont disponibles dans la région-.

Le Desk (extraits)

Hadkourt calme tes frères :D
 
Dernière édition:
ce genre d'histoires ne servent qu'à prouver une chose : Israel a pris le proie et les autres courent après l'ombre de la proie

c'est des gamineries qui éloignent du vrai sujet ...et qui donnent un os pourri à certains
 
La célèbre plate-forme de location californienne s’était engagée dans un communiqué, publié le 19 novembre, à ne plus proposer de logements sis dans les colonies israéliennes, soit environ 200 annonces. Elle devrait selon un de ses responsables appliquer la même règle au territoire du Sahara Occidental contesté au Maroc par le Front Polisario avec l’appui de l’Algérie.

Un responsable d’Airbnb a annoncé mercredi à Times of Israel qu’il était en train de déterminer s’il fallait retirer de son site les annonces émises pour le territoire du Sahara occidental, deux jours après que le géant des locations d’appartements de vacances a annoncé qu’il allait retirer de son site les logements situés dans les implantations israéliennes en Cisjordanie.

La célèbre plate-forme de location avait choisi d’anticiper la publication d’un rapport de l’ONG Human Rights Watch (HRW) et s’était engagée dans un communiqué, publié le 19 novembre, à ne plus proposer de logements sis dans les colonies israéliennes, soit environ 200 annonces.

« Dans le communiqué que nous avons publié lundi, nous avons indiqué que nous avons développé un cadre pour évaluer comment nous devrions traiter les annonces dans les territoires occupés à travers le monde. Le Sahara Occidental fait partie des endroits où nous allons utiliser ce cadre », a déclaré le responsable, selon la même source, laissant donc entendre que l’entreprise californienne pourrait faire le parallèle entre la situation vécue dans les territoires palestiniens occupés par Israël et le cas du Sahara Occidental dont la souveraineté marocaine est contestée par le Front Polisario avec l’appui de l’Algérie.

Des responsables israéliens, dont le ministre du Tourisme Yariv Levin et le ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan, avaient qualifié de « raciste » et « antisémite » la décision initiale d’Airbnb, arguant qu’elle appliquait une norme différente à l’Etat juif qu’à d’autres territoires contestés dans le monde. C’est donc suite à cette levée de boucliers en Israël qu’Airbnb a cédé sur le cas du Sahara Occidental.

Sur Twitter, Michael Oren (parti Koulanou), ancien ambassadeur aux Etats-Unis devenu vice-ministre pour la diplomatie, s’est aussi insurgé contre cette décision, en appelant à un boycott. « Airbnb place sur liste noire des appartements juifs en Judée et Samarie – pas des appartements palestiniens, pas des appartements à Chypre occupés par la Turquie, au Sahara occupé par le Maroc, pas au Tibet ni en Crimée. La politique de Airbnb est la définition même de l’antisémitisme. Personne ne devrait employer ses services. »

Le retrait éventuel du Sahara Occidental pourrait pénaliser en premier lieu la cité lagunaire de Dakhla qui a développé ces dernières années un tourisme balnéaire et sportif (kite-surf) de choix très prisé par les usagers d’Airbnb. A ce jour, 24 locations sont disponibles dans la région-.

Le Desk (extraits)

Hadkourt calme tes frères :D

Moi je vois surtout que c est le Maroc qui est lese, car en louant des appartements a Dakhla ca aurat ete le Marocain qui sortirait vainqueur, la c est plus une opposition Israel vs Maroc, Israel fait retomber ses nerfs sur le Maroc.
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
N importe quoi cet article ...pourquoi pas la Corse ou l alsace ou la Catalogne ?????

Le desk est un journal d extrémistes mafieux
 
Cela pénalisera 24 citoyens lambda, mais réforcera la position des hoels et maisons d’hotes.. pas de quoi faire un foin. Perso j’utilise AirBnB dans quelques uns de mes déplacement aux USA, c pratique à cause des prix exorbitants quand je dois prendre 3 ou 4 chambres mais c pas le cas de Dakhla.
 
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