Procès boillon : l'ex-«sarko boy» malmené à la barre

Il me semble que c'est lui qui s'est moqué des Tunisiens .

Au tribunal de Paris, une première journée d'audience difficile pour Boris Boillon, jugé pour blanchiment de fraude fiscale. L'ancien diplomate avait été interpellé avec 350.000 euros et 40.000 dollars en liquide.
La 11e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris serait-elle celle des conseillers des présidents de la République poursuivis pour abus de biens sociaux? En 2015, elle jugeait Faouzi Lamdaoui, celui de François Hollande. Ce lundi, c'était au tour du diplomate de Nicolas Sarkozy, le flamboyant Boris Boillon.
L'ancien ambassadeur de France en Tunisie et en Irak apparaît dans un costume noir qui semble avoir été cousu sur lui tant il bande ses muscles. La mine bronzée, l'air bravache, l'ex- «Sarko boy» comparaît sur citation directe (donc sans instruction) pour blanchiment de fraude fiscale, faux et usage de faux, abus de biens sociaux, manquement à l'obligation déclarative de transfert de capitaux.
Maître Jean Reinhart est son conseil. Pour évoquer la «partialité et la déloyauté» des enquêteurs, l'avocat - qui défend aussi le laboratoire Biotrial dans l'affaire de l'essai clinique mortel de Rennes - file la métaphore médicale. Il n'hésite pas à dire que le «dossier a des pathologies graves», que «la partialité est le cancer, la tumeur de ce dossier». D'emblée, Jean Reinhart fait le choix d'une défense politique.

Fin juillet 2013, gare du Nord à Paris, son client, dans un train pour Bruxelles, est pris la main dans le sac de billets: 340.000 euros et 40.000 dollars sans déclaration préalable aux douanes. C'est pour empêcher Nicolas Sarkozy de se représenter et plomber la primaire de la droite. Rien de moins. Curieuse défense. La loi française est claire pourtant: elle interdit le transfert dans un autre pays européen de sommes supérieures à 10.000 euros, sans déclaration préalable.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Il me semble que c'est lui qui s'est moqué des Tunisiens .

Au tribunal de Paris, une première journée d'audience difficile pour Boris Boillon, jugé pour blanchiment de fraude fiscale. L'ancien diplomate avait été interpellé avec 350.000 euros et 40.000 dollars en liquide.
La 11e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris serait-elle celle des conseillers des présidents de la République poursuivis pour abus de biens sociaux? En 2015, elle jugeait Faouzi Lamdaoui, celui de François Hollande. Ce lundi, c'était au tour du diplomate de Nicolas Sarkozy, le flamboyant Boris Boillon.
L'ancien ambassadeur de France en Tunisie et en Irak apparaît dans un costume noir qui semble avoir été cousu sur lui tant il bande ses muscles. La mine bronzée, l'air bravache, l'ex- «Sarko boy» comparaît sur citation directe (donc sans instruction) pour blanchiment de fraude fiscale, faux et usage de faux, abus de biens sociaux, manquement à l'obligation déclarative de transfert de capitaux.
Maître Jean Reinhart est son conseil. Pour évoquer la «partialité et la déloyauté» des enquêteurs, l'avocat - qui défend aussi le laboratoire Biotrial dans l'affaire de l'essai clinique mortel de Rennes - file la métaphore médicale. Il n'hésite pas à dire que le «dossier a des pathologies graves», que «la partialité est le cancer, la tumeur de ce dossier». D'emblée, Jean Reinhart fait le choix d'une défense politique.

Fin juillet 2013, gare du Nord à Paris, son client, dans un train pour Bruxelles, est pris la main dans le sac de billets: 340.000 euros et 40.000 dollars sans déclaration préalable aux douanes. C'est pour empêcher Nicolas Sarkozy de se représenter et plomber la primaire de la droite. Rien de moins. Curieuse défense. La loi française est claire pourtant: elle interdit le transfert dans un autre pays européen de sommes supérieures à 10.000 euros, sans déclaration préalable.
Salam remake,
C'est merdias gauchos, ils ne reculent devant rien pour salir Sarkozy :fou:
:D
 
Haut