Comment le prophète rompait son jeûne

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
La tradition prophétique fait référence à plusieurs actes accomplis par le Prophète au moment de la rupture du jeûne jusqu’à l’aube. Moment de la rupture, régime alimentaire, invocation : retour sur le moment type de la rupture du jeûne telle que la vivait le Prophète de l’islam.

Le Prophète vivait sa rupture du jeûne et ses soirées de Ramadan d’une manière particulière qu’il est intéressant de connaître. Le premier élément est la diligence qu’il préconisait quant au moment de la rupture du jeûne en soulignant l’importance de ne pas le prolonger au-delà de la limite car le jeûne n’est pas une mortification mais une libération du corps et de l’esprit. « On ne cesse d’être dans la bonne voie tant qu’on s’empresse de rompre le jeûne ». (Boukhari et Mouslim). Le choix de l’alimentation était frugal et austère : des dattes ou de l’eau, d’après une tradition prophétique rapportée par Anas et recueilli dans les deux livres de sahihs (Boukhari et Muslim).


Invocations et bénédictions du repas

Au même moment, le Prophète invoquait Dieu en ces termes : « Seigneur ! C’est pour Toi que j’ai jeûné. J’ai rompu mon jeûne en goûtant de Ton bien. Veuille agréer notre oeuvre.
Tu es Celui qui entend tout, dont la Science est infinie », l’iftar (rupture du jeûne) étant un moment privilégié de dévotion et d’invocation de Dieu. Une autre tradition prophétique des nuits de Ramadan est le repas nocturne ou souhour. Ce temps de dégustation comporte des bénédictions. Le Prophète soulignait la spécificité du sahour. « Prenez le souhour, il est toute bénédiction » (Boukhari et Muslim), « Ce qui distingue notre jeûne de celui des gens de Livres (juifs et chrétiens, ndlr), c’est le repas de fin de nuit (souhour) » (Muslim). Le Prophète encourageait à prendre le souhour le plus tardivement possible. « Mon peuple se portera bien tant qu’il hâte la rupture du jeûne et retarde le repas de fin de nuit » (Ahmed). Une pratique confirmée par le Coran. « Mangez et buvez Jusqu’à ce que l’on voit se détacher sur le fond noir de la nuit la lueur de l’aube naissante » (sourate 2, verset 187).

Actes d’adoration spécifiques au Ramadan

D’autres pratiques spécifiques du Prophète (paix et salut de Dieu sur lui) durant le mois du Ramadan sont à mentionner. La lecture et l’étude assidues du Coran, le Ramadan étant par excellence le mois de la Révélation. La générosité et l’insistance à multiplier les dons et les aumônes purificatrices (zakat). La retraite spirituelle ou contemplation pieuse dite de l’i’tikaf qui consistait pour le Prophète à se retirer les dix derniers jours de Ramadan à la mosquée pour y multiplier les adorations et à y demeurer à l’exception des sorties de nécessité.

http://www.mizane.info/comment-le-prophete-rompait-son-jeune/
 

Walid92i

Le moment le plus important de la vie est celui...
Salam Dianke

J'ajouterais ceci : '' Certainement le jeûneur a droit à une invocation exaucée, qu'il formule lorsqu'il rompt son jeune'' (rapporté par Abdullah Ibn 'Amr Ibn Al'Aas).
 
La tradition prophétique fait référence à plusieurs actes accomplis par le Prophète au moment de la rupture du jeûne jusqu’à l’aube. Moment de la rupture, régime alimentaire, invocation : retour sur le moment type de la rupture du jeûne telle que la vivait le Prophète de l’islam.

Le Prophète vivait sa rupture du jeûne et ses soirées de Ramadan d’une manière particulière qu’il est intéressant de connaître. Le premier élément est la diligence qu’il préconisait quant au moment de la rupture du jeûne en soulignant l’importance de ne pas le prolonger au-delà de la limite car le jeûne n’est pas une mortification mais une libération du corps et de l’esprit. « On ne cesse d’être dans la bonne voie tant qu’on s’empresse de rompre le jeûne ». (Boukhari et Mouslim). Le choix de l’alimentation était frugal et austère : des dattes ou de l’eau, d’après une tradition prophétique rapportée par Anas et recueilli dans les deux livres de sahihs (Boukhari et Muslim).


Invocations et bénédictions du repas

Au même moment, le Prophète invoquait Dieu en ces termes : « Seigneur ! C’est pour Toi que j’ai jeûné. J’ai rompu mon jeûne en goûtant de Ton bien. Veuille agréer notre oeuvre.
Tu es Celui qui entend tout, dont la Science est infinie », l’iftar (rupture du jeûne) étant un moment privilégié de dévotion et d’invocation de Dieu. Une autre tradition prophétique des nuits de Ramadan est le repas nocturne ou souhour. Ce temps de dégustation comporte des bénédictions. Le Prophète soulignait la spécificité du sahour. « Prenez le souhour, il est toute bénédiction » (Boukhari et Muslim), « Ce qui distingue notre jeûne de celui des gens de Livres (juifs et chrétiens, ndlr), c’est le repas de fin de nuit (souhour) » (Muslim). Le Prophète encourageait à prendre le souhour le plus tardivement possible. « Mon peuple se portera bien tant qu’il hâte la rupture du jeûne et retarde le repas de fin de nuit » (Ahmed). Une pratique confirmée par le Coran. « Mangez et buvez Jusqu’à ce que l’on voit se détacher sur le fond noir de la nuit la lueur de l’aube naissante » (sourate 2, verset 187).

Actes d’adoration spécifiques au Ramadan

D’autres pratiques spécifiques du Prophète (paix et salut de Dieu sur lui) durant le mois du Ramadan sont à mentionner. La lecture et l’étude assidues du Coran, le Ramadan étant par excellence le mois de la Révélation. La générosité et l’insistance à multiplier les dons et les aumônes purificatrices (zakat). La retraite spirituelle ou contemplation pieuse dite de l’i’tikaf qui consistait pour le Prophète à se retirer les dix derniers jours de Ramadan à la mosquée pour y multiplier les adorations et à y demeurer à l’exception des sorties de nécessité.

http://www.mizane.info/comment-le-prophete-rompait-son-jeune/
le Jeûne c'est de manger ont vous a induit en erreur

ce qui est eU donne (ÛN) avec ^ l'or de son partage c'est un poiNt le U est dessoUs


58.4. Mais celui qui n'en trouve pas les moyens doit jeûner alors deux mois consécutifs avant d'avoir aucun contact [conjugal] avec sa femme. Mais s'il ne peut le faire non plus, alors qu'il nourrisse soixante pauvres. Cela, pour que vous croyiez en Allah et en Son messager. Voilà les limites imposées par Allah. Et les mécréants auront un châtiment douloureux.

"Mais s'il ne peut le faire non plus, alors qu'il nourrisse soixante pauvres."

donc 2 mois cela fait 60 jour 1 par jour si je mange, pas de partage
si le jeûne est un partage c'est possible

je sais que se signe "û" est un partage avec d'autres mots qui l'on

brûlé = c'est la séparation
Goûtez = c'est la séparation
dû = produit d'un partage
sûr = le produit r produit qui devient n puis un h puis l puis parcours c dedans des points qui voyagent dans l'encre

ces mots sont souvent cité

il faut savoir que le "NE" n'est que porteur des Livres

"Et les mécréants auront un châtiment douloureux."

a cause du nom le mécréants, qui est une forme de création, Allah fait tout les signes sont important en gras

2.184. pendant un nombre déterminé de jours. Quiconque d'entre vous est malade ou en voyage, devra jeûner un nombre égal d'autres jours. Mais pour ceux qui ne pourraient le supporter (qu'avec grande difficulté), il y a une compensation : nourrir un pauvre. Et si quelqu'un fait plus de son propre gré, c'est pour lui; mais il est mieux pour vous de jeûner; si vous saviez!

c'est un partage
si il ne peut partager avec lui-même il a une compensation : nourrir un pauvre

ceci c'est pour "si vous saviez"

problème cela ne fonctionne pas quand on passe le cercle polaire Allah ignore cela, peut être que les hommes ne le comprennent pas.
 
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