Cette proposition, exprimée par François Bayrou le 18 Mai 2014, a été rapidement présentée pendant une interview Europe 1 / iTélé. Ça date d’il y a un mois, mais je ne l’apprends que maintenant.
Il ne lui reste plus qu’à proposer ce que dans ce contexte abordant l’impôt universel, on pourrait nommée « allocation universelle » et qui s’appel formellement, « revenu de base inconditionnel ».
Dans les commentaires d’un article d’un journal en ligne, le Figaro (je ne donne pas le lien de l’article pour ne pas faire de publicité à un journal pratiquant la censure), on peut voir que la proposition est bien accueillie par des gens qui sont pourtant contre Bayrou, et que ces appréciations sont accompagnés des traditionnelles insultes envers les chômeurs longues durées (fainéants, parasites, sangsues, etc), ce qui suggère que ces commentaires proviennent d’électeurs sarkozystes ou lepénistes.
Malheureusement, ces réactions de gens qui verraient dans cet impôt universel un moyen de « punir les chômeurs longues durée », risque de faire associer cette idée d’un impôt universel à ce type de commentaires et d’électeurs et d’agir sur cette bonne idée, comme un repoussoir. Il ne faut pas se laisser dicter son opinion sur cette idée par les réactions de ces gens.
L’impôt universel pourrait être un début de simplification de la fiscalité en france, qui comme le dit Bayrou par la suite dans la même vidéo, est une usine à gaz qui presse trop les classes moyennes (dont les membres ne sont pas tous respectables, je sais, mais c’est une autre question), et profite surtout aux plus riches.
On pourrait aussi imaginer que par opportunité au moment de son établissement, autant que par contrainte techniques, ce serait une occasion de mettre en place un prélèvement mensuel à la source, ce qui rendrait l’impôt plus sûr, plus simple, plus prévisible et plus économe.
Comme suggéré plus haut, dans un pays disposant d’un impôt universel, l’idée d’une « allocation universelle » (également elle aussi versée à tous autant que l’impôt universel devrait être payé par tous), le revenu inconditionnel de base.
Quelques gens semblent se demander pourquoi créer un impôt universel, quand il existe déjà la TVA. Il faut ajouter un mot pour comprendre : « revenu »… il s’agit de rendre universel, l’impôt sur le revenu (le revenu n’étant pas que les salaires). La TVA, qui est effectivement universelle (excepté que son taux est variable) s’applique sur les sorties (les dépenses); cet impôt universel, s’appliquerait sur les rentrés, et selon les circonstances économiques et les besoins de le bonne marche de l’état, il peut être nécessaire d’avoir un taux différent pour chacun des deux, d’où la nécessité de les distinguer.
Se pose une question qu’il (F. Bayrou) n’a pas abordé : taux fixe ou taux variable ? Je crois que le taux fixe serait préférable, parce que le taux variable offre des opportunités de manipulations, et que c’est une chose à éviter. Le taux variable, bien qu’il ait des arguments idéologiques le défendant, n’a pas d’argument économique pouvant le défendre (un taux fixe n’est pas nécessairement synonyme d’injustice pour les moins riches).
François Bayrou a dit:Sur ce point, j’ai un sentiment très minoritaire. Je pense que dans un pays bien équilibré, tout le monde devrait participer à l’impôt; même symboliquement, même par de petites sommes, même s’il fallait augmenter le SMIC et les minimas sociaux, de l’équivalent de ces sommes qu’on demanderait. Pour moi, l’impôt devrait être universel.
Il ne lui reste plus qu’à proposer ce que dans ce contexte abordant l’impôt universel, on pourrait nommée « allocation universelle » et qui s’appel formellement, « revenu de base inconditionnel ».
Dans les commentaires d’un article d’un journal en ligne, le Figaro (je ne donne pas le lien de l’article pour ne pas faire de publicité à un journal pratiquant la censure), on peut voir que la proposition est bien accueillie par des gens qui sont pourtant contre Bayrou, et que ces appréciations sont accompagnés des traditionnelles insultes envers les chômeurs longues durées (fainéants, parasites, sangsues, etc), ce qui suggère que ces commentaires proviennent d’électeurs sarkozystes ou lepénistes.
Malheureusement, ces réactions de gens qui verraient dans cet impôt universel un moyen de « punir les chômeurs longues durée », risque de faire associer cette idée d’un impôt universel à ce type de commentaires et d’électeurs et d’agir sur cette bonne idée, comme un repoussoir. Il ne faut pas se laisser dicter son opinion sur cette idée par les réactions de ces gens.
L’impôt universel pourrait être un début de simplification de la fiscalité en france, qui comme le dit Bayrou par la suite dans la même vidéo, est une usine à gaz qui presse trop les classes moyennes (dont les membres ne sont pas tous respectables, je sais, mais c’est une autre question), et profite surtout aux plus riches.
On pourrait aussi imaginer que par opportunité au moment de son établissement, autant que par contrainte techniques, ce serait une occasion de mettre en place un prélèvement mensuel à la source, ce qui rendrait l’impôt plus sûr, plus simple, plus prévisible et plus économe.
Comme suggéré plus haut, dans un pays disposant d’un impôt universel, l’idée d’une « allocation universelle » (également elle aussi versée à tous autant que l’impôt universel devrait être payé par tous), le revenu inconditionnel de base.
Quelques gens semblent se demander pourquoi créer un impôt universel, quand il existe déjà la TVA. Il faut ajouter un mot pour comprendre : « revenu »… il s’agit de rendre universel, l’impôt sur le revenu (le revenu n’étant pas que les salaires). La TVA, qui est effectivement universelle (excepté que son taux est variable) s’applique sur les sorties (les dépenses); cet impôt universel, s’appliquerait sur les rentrés, et selon les circonstances économiques et les besoins de le bonne marche de l’état, il peut être nécessaire d’avoir un taux différent pour chacun des deux, d’où la nécessité de les distinguer.
Se pose une question qu’il (F. Bayrou) n’a pas abordé : taux fixe ou taux variable ? Je crois que le taux fixe serait préférable, parce que le taux variable offre des opportunités de manipulations, et que c’est une chose à éviter. Le taux variable, bien qu’il ait des arguments idéologiques le défendant, n’a pas d’argument économique pouvant le défendre (un taux fixe n’est pas nécessairement synonyme d’injustice pour les moins riches).