Un patient qui refusait le traitement proposé aux urgences de Riom (Puy-de-Dôme) a blessé ce dimanche six membres du personnel de l’hôpital dans un déchaînement de violence, avant d’être maîtrisé et transféré au CHU de Clermont-Ferrand.
« Une crise de folie serait à l’origine de cet incident, rapporte la police. Ils ont eu du mal à le maîtriser, une sédation a été employée, avant que les policiers n’arrivent sur les lieux ». Au total, une médecin, deux infirmiers, un ambulancier et deux agents de sécurité ont été agressés, précise France Bleu Pays d’Auvergne.
Des blessures superficielles sauf pour un homme, qui a eu des points de suture. « Tout aurait dégénéré à l’annonce d’une possible hospitalisation sous la contrainte », avance la chaîne de radio. Le comble réside dans l’identité du patient. Il s’agissait en fait d’un membre du corps paramédical, rapporte la radio locale.
Des dépôts de plainte à venir
Le malade a été transféré au CHU de Clermont-Ferrand et « placé en chambre capitonnée ». Si les urgences hospitalières sont régulièrement le théâtre de violences, les faits revêtent « un caractère exceptionnel par la force déployée et le nombre de blessés ». On parle de « coups et morsures » ayant entraîné « quelques traumatismes et quelques entorses ».
« Les victimes, prises dans l’urgence à effectuer leurs premiers soins, viendront déposer plainte ultérieurement, elles ne veulent pas laisser passer cela », explique-t-on. Toutes ont d’ores et déjà déclaré un accident de travail.
« Une crise de folie serait à l’origine de cet incident, rapporte la police. Ils ont eu du mal à le maîtriser, une sédation a été employée, avant que les policiers n’arrivent sur les lieux ». Au total, une médecin, deux infirmiers, un ambulancier et deux agents de sécurité ont été agressés, précise France Bleu Pays d’Auvergne.
Des blessures superficielles sauf pour un homme, qui a eu des points de suture. « Tout aurait dégénéré à l’annonce d’une possible hospitalisation sous la contrainte », avance la chaîne de radio. Le comble réside dans l’identité du patient. Il s’agissait en fait d’un membre du corps paramédical, rapporte la radio locale.
Des dépôts de plainte à venir
Le malade a été transféré au CHU de Clermont-Ferrand et « placé en chambre capitonnée ». Si les urgences hospitalières sont régulièrement le théâtre de violences, les faits revêtent « un caractère exceptionnel par la force déployée et le nombre de blessés ». On parle de « coups et morsures » ayant entraîné « quelques traumatismes et quelques entorses ».
« Les victimes, prises dans l’urgence à effectuer leurs premiers soins, viendront déposer plainte ultérieurement, elles ne veulent pas laisser passer cela », explique-t-on. Toutes ont d’ores et déjà déclaré un accident de travail.
