Voici une fiche biographique de mes travaux sur la 5e colonne, les fossoyeurs de la République, les criminels de l’information et les agents atlantistes ou européistes :
Jack Lang (2 septembre 1939-), originaire des Vosges, fils d'une famille de la grande bourgeoisie juive. Sa famille déménagea en Corrèze avant la guerre (1938). Il fit des études supérieures en sciences politiques, et en droit (diplômé, 1959-1967). Il fit une carrière universitaire, professeur de droit, agrégé, maître de conférence (1971). Il fut nommé par Georges Pompidou la tête du théâtre de Chaillot (1972-1974).
Il s'engagea aux côtés de François Mitterand (1974), encarté au Parti Socialiste (1977), l'un des militants pour la pédophilie (dès 1977), il apporta son soutien à toutes les personnalités accusées de ce crime (1998-2023). Il fut suspecté de pédophilie et de tourisme sexuel. Conseiller municipal à Paris (1977), secrétaire national à la culture (1979), bombardé soudainement Ministre de la Culture (1981-1986). Il fut l'initiateur de la Fête de la Musique (1982), puis de la Journée du patrimoine (1984). Il laissa des ardoises non payées un peu partout (un salon de beauté où il pratiquait des séances d'UV régulières, ou faisant scandale dans un reportage pour la TV, où il fit remplacer son mobilier luxueux, par un modeste mobilier). Il fut aussi au cœur du massacre du Palais Royal, en installant les fameuses colonnes de Buren. Un hideux projet artistique payé 9 millions à un « artiste » britannique, qui défraya la chronique. Un autre scandale éclata plus tard (2007-2011), car « l’œuvre » se dégradant rapidement elle réclama l'engloutissement d'une nouvelle somme (3,2 millions d'euros).
De nouveau Ministre de la Culture (1988-1993). Il obtînt de faire multiplier par 4 le budget de son ministère. Il se lança dans des projets pharaoniques onéreux. Cumulard de mandats, il réussit à se glisser au Conseil municipal de Paris (1983-1989), puis député du Loir-et-Cher (1988-1993). Il fut réélu à son siège, mais fut déposé pour des « comptes de campagne irréguliers » (1993). S'accrochant aux branches, il réussit à se faire réélire (1997-2000), puis dans le Pas-de-Calais (2002-2012). Fait incroyable, il fut nommé à un autre ministère, celui de l’Éducation nationale (1992-1993). Porte-parole du PS (2004), par une hypocrisie éhontée, il milita ensuite contre le cumul des mandats (2005).
Il fut courtisé par Sarkozy et nommé à différentes fonctions (2007). Il fut envoyé par le gouvernement à Cuba, puis en Corée du Nord (2009). Il soutînt la candidature de Strauss-Kahn (2011), puis l'abandonna pour Hollande (2012).
Il fut suspecté d'avoir été arrêté par la police marocaine en compagnie de jeunes garçons (2011). L'affaire fut étouffée et il nia. Débarqué par les électeurs, Hollande le nomma comiquement « ambassadeur itinérant chargé de la piraterie » (2012), puis Président de l'Institut du monde arabe (2013). Il gagnait la somme énorme de 10 000 euros par mois, plus que le président français. Il fut dénoncé pour des dépenses pharaoniques et la dilapidation des budgets, mais il resta à ce poste (2013-2026).
Il fut attaqué pour abus de biens sociaux, pour « des cadeaux » versés par des tiers, dont 500 000 euros par l'entreprise Smalto (2019-à nos jours), mais il réussit à faire traîner l'affaire en longueur.
Il fut cité comme l'un des amis de Jeffrey Epstein et de Wolly Allen (2020). Il fut mêlé à une affaire de financement d'une association bidon, dont les fonds étaient pillés par son entourage. Il est probable qu'il fut un participant des orgies pédophiles d'Epstein et Allen. De nouveau attaqué sur son salaire, il indiqua qu'il ne gagnait que 9 000 euros par mois… Fait toujours incroyable, les Français lui versent toujours son « modeste salaire ».
Ce vampire de la République aura été l'un des pires dilapidateurs des deniers français, avec une carrière de près de 50 ans de rapines.