Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Quand on viole et que les mères applaudissent
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Difkoum, post: 16063897, member: 518"] Témoignage de mon ami l'écrivain et docteur Mouhib. Aghbala de mon enfance: la falaqa. C'était à la fin des années 50 du siècle passé. Je suivais des cours coraniques dans une petite mosquée, non loin de notre maison, au quartier d'Aghbalou, au pied de tabarjit. Nous étions une vingtaine d'élèves, un après midi, Oumarhou, a fait timzida buissonnière. Il sécha le cours coranique ce jour là. Féru de la musique en vogue à l'époque ( lghita), Oumarhou qui devait avoir une dizaine d'année avait pris la direction d'une hdya (offrande / mariage). Il se faufilait entre les femmes pour voir de près le ghyat dont il est grand fan, Aâbiqa. Ce dernier, originaire de foum Lâansar était le ghyat vedette de toute la région. Hélas! de douloureux évènements attendaient notre ami le lendemain matin à timzida. Le fqih auquel on a avait vendu la mèche l'accueillit froidement en ces termes: - Oumarhou, viens près de moi, il parait que tu t'es rendu hier à la hdya. - yeah nâam ass, répondit il candidement - Cela t'a plu? - yeah nâam ass, il y avait Aâbiqa et beaucoup de femmes. Il répondait en fonçant tête baissée dans le piège tendu par le fqih. - Toi, Said! fulmina le fqih en direction du plus fort parmi nous. Prends moi ce mécréant dans ton dos. Vite! prends le comme une guerba ( outre) . Dégage bien les jambes que je lui donne une bonne falaqa ( bastonnade)! Les gémissements de panique d'Oumarhou n'amadouèrent point le fqih hargnieux. Il prit un long bâton de peuplier et se mit à frapper de toutes ses forces sur les plantes des pieds du malheureux. qui hurlait à fendre le coeur . Le fqih frappait en s'essouflant, le visage congestionné de colère . Il ne s'arrêta qu'une fois exténué. N'en pouvant plus, Oumarhou suppliait entre deux hurlements et jurait qu'il ne suivrait plus de hdya et qu'il oublierait Aâbiqa à jamais. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Quand on viole et que les mères applaudissent
Haut