Le Centre des études des captifs de la Palestine a confirmé que les occupants sionistes détiennent dans leurs prisons trente-six invalides palestiniens. Ils souffrent de différents handicaps physiques ou psychologiques. Le problème, cest quils ne reçoivent aucun traitement adéquat à leurs cas. De plus, ils nont rien, ni des fauteuils roulants, ni des cannes, rien qui puisse les aider à bouger. Ces Palestiniens subissent la mort lente dans les prisons israéliennes.
A loccasion de la journée internationale des personnes handicapées, le 3 décembre, le Centre des études des captifs de la Palestine a publié un rapport sur les détenus palestiniens enfermés dans les prisons israéliennes. Le chercheur Riyad Al-Achqar explique que les occupants sionistes népargnent rien ; ils enlèvent des gens invalides de partout, de leurs maisons, de la rue, de leurs lieux de travail. Ils les enferment, leur font subir des conditions très difficiles, faisant fi de leurs conditions spéciales. Ainsi, leurs souffrances sont augmentées et dautres maladies viennent sajouter à ces souffrances.
Des handicapés kidnappés !
Al-Achqar donne des exemples. Nahed Faraj Al-Aqraa a perdu sa jambe droite. La gauche est aussi menacée. Il ne peut se déplacer que sur son fauteuil roulant. Il a été enlevé par les occupants sionistes sur le point de passage dAl-Karam, lors de son retour de son voyage destiné à lui donner des soins. Malgré son état, les occupants sionistes lui ont fait subir de dures tortures. Puis un tribunal la condamné à trois perpétuités !
Le Palestinien Khaled Al-Chawich, de la ville de Ramallah, est condamné à dix perpétuités, sans prendre en considération son hémiplégie.
Puis Mansour Mawqida, 44 ans, originaire du village dAz-Zawiya, du sous-département de Silfit, a perdu lusage de la moitié inférieure de son corps. Il est à lhôpital de la prison dAr-Ramla depuis plus de dix ans. Cétait lors de son arrestation que les forces sionistes d'occupation lont blessé et ont causé sa paralysie.
Handicaps causés par la torture
Al-Achqar souligne que des moyens de tortures dures et prohibés ont causé différents handicaps à plusieurs captifs palestiniens. A titre dexemple, Loay Satti, 35 ans, a été interpellé en avril 2005. Il a été le sujet dune interrogation très musclée, dans le centre dAl-Jalma. Il a perdu connaissance à plusieurs reprises. Il a été privé de faire ses besoins naturels pendant quatre jours. Linterrogateur se mettait sur sa poitrine, ce qui lui a causé une paralysie à la jambe gauche. Trois ans plus tard, il a été libéré, mais en avril 2008, il a encore une fois été arrêté et condamné à onze mois de prison. A la fin de cette période, il a été transféré à la "Détention administrative" pour y rester 29 mois. Il a été relâché en août 2010. Un an plus tard, les forces sionistes d'occupation ont investi sa maison, dans le village de Saïda, et lont arrêté.
Il y a aussi le captif Nader Mosalima, 45 ans, de la ville dAl-Khalil. Il souffre, lui aussi, dhémiplégie causée par la torture pratiquée durant linterrogation, par des frappes sur son échine dorsale, par la négligence médicale. Il a perdu lusage de ses jambes et est obligé dutiliser un fauteuil roulant pour ses déplacements.
La négligence médicale
A loccasion de la journée internationale des personnes handicapées, le 3 décembre, le Centre des études des captifs de la Palestine a publié un rapport sur les détenus palestiniens enfermés dans les prisons israéliennes. Le chercheur Riyad Al-Achqar explique que les occupants sionistes népargnent rien ; ils enlèvent des gens invalides de partout, de leurs maisons, de la rue, de leurs lieux de travail. Ils les enferment, leur font subir des conditions très difficiles, faisant fi de leurs conditions spéciales. Ainsi, leurs souffrances sont augmentées et dautres maladies viennent sajouter à ces souffrances.
Des handicapés kidnappés !
Al-Achqar donne des exemples. Nahed Faraj Al-Aqraa a perdu sa jambe droite. La gauche est aussi menacée. Il ne peut se déplacer que sur son fauteuil roulant. Il a été enlevé par les occupants sionistes sur le point de passage dAl-Karam, lors de son retour de son voyage destiné à lui donner des soins. Malgré son état, les occupants sionistes lui ont fait subir de dures tortures. Puis un tribunal la condamné à trois perpétuités !
Le Palestinien Khaled Al-Chawich, de la ville de Ramallah, est condamné à dix perpétuités, sans prendre en considération son hémiplégie.
Puis Mansour Mawqida, 44 ans, originaire du village dAz-Zawiya, du sous-département de Silfit, a perdu lusage de la moitié inférieure de son corps. Il est à lhôpital de la prison dAr-Ramla depuis plus de dix ans. Cétait lors de son arrestation que les forces sionistes d'occupation lont blessé et ont causé sa paralysie.
Handicaps causés par la torture
Al-Achqar souligne que des moyens de tortures dures et prohibés ont causé différents handicaps à plusieurs captifs palestiniens. A titre dexemple, Loay Satti, 35 ans, a été interpellé en avril 2005. Il a été le sujet dune interrogation très musclée, dans le centre dAl-Jalma. Il a perdu connaissance à plusieurs reprises. Il a été privé de faire ses besoins naturels pendant quatre jours. Linterrogateur se mettait sur sa poitrine, ce qui lui a causé une paralysie à la jambe gauche. Trois ans plus tard, il a été libéré, mais en avril 2008, il a encore une fois été arrêté et condamné à onze mois de prison. A la fin de cette période, il a été transféré à la "Détention administrative" pour y rester 29 mois. Il a été relâché en août 2010. Un an plus tard, les forces sionistes d'occupation ont investi sa maison, dans le village de Saïda, et lont arrêté.
Il y a aussi le captif Nader Mosalima, 45 ans, de la ville dAl-Khalil. Il souffre, lui aussi, dhémiplégie causée par la torture pratiquée durant linterrogation, par des frappes sur son échine dorsale, par la négligence médicale. Il a perdu lusage de ses jambes et est obligé dutiliser un fauteuil roulant pour ses déplacements.
La négligence médicale