La vie reprend à Raqqa, où les djihadistes, dont des Belges, ont fait régner la terreur: les habitants se confient à RTL INFO (vidéo)
https://www.rtl.be/info/video/681170.aspx
Une fois par an, depuis 2014, lorsque l’offensive de Daesh a débuté, RTL INFO part en reportage en Irak ou en Syrie.
Ce dernier reportage, Jean-Pierre Martin et Samuel Lerate le préparent depuis un an.
Leur objectif était de rentrer dans les camps où sont détenus les femmes et les enfants de djihadistes.
L’équipe s’est également rendue à Raqqa, afin de voir ce qu’est devenue cette ville, presque un an après la chute de l’Etat islamique.
Raqqa est un champ de ruines, mais la vie a repris. La ville est animée.
Cela fait presque un an que les miliciens kurdes et la coalition internationale ont vaincu l’Etat Islamique.
Les traces de sa présence restent bien visibles.
Jalla Hamzani est conseillère communale.
Elle nous guide à travers le Raqqa des djihadistes.
C’est sur cette place centrale de Raqqa que Daesh exécutait toutes ses victimes, et obligeait surtout la population à participer à ces cruautés.
197845
Ils nous obligeaient à être présents
L’histoire n’est pas terminée.
Même invisibles, les hommes de Daesh continuent à faire peur.
Ibrahim Al Faraj est avocat, et conseiller communal à Raqqa.
Il se sent encore menacé. "Ils nous obligeaient à être présents. J’ai peur, parce qu’ils vont revenir. Ils sont nombreux ici à Raqqa, ils vont nous cibler un par un".
Sur cet autre rond-point de Raqqa, Abu Suleiman, un djihadiste belge, a fait trembler tous ceux qui refusaient de se soumettre à Daesh.
"Il coupait la tête, et la remettait là", explique l’avocat, mimant le geste devant un piquet.
197846
https://www.rtl.be/info/video/681170.aspx
Une fois par an, depuis 2014, lorsque l’offensive de Daesh a débuté, RTL INFO part en reportage en Irak ou en Syrie.
Ce dernier reportage, Jean-Pierre Martin et Samuel Lerate le préparent depuis un an.
Leur objectif était de rentrer dans les camps où sont détenus les femmes et les enfants de djihadistes.
L’équipe s’est également rendue à Raqqa, afin de voir ce qu’est devenue cette ville, presque un an après la chute de l’Etat islamique.
Raqqa est un champ de ruines, mais la vie a repris. La ville est animée.
Cela fait presque un an que les miliciens kurdes et la coalition internationale ont vaincu l’Etat Islamique.
Les traces de sa présence restent bien visibles.
Jalla Hamzani est conseillère communale.
Elle nous guide à travers le Raqqa des djihadistes.
C’est sur cette place centrale de Raqqa que Daesh exécutait toutes ses victimes, et obligeait surtout la population à participer à ces cruautés.
197845
Ils nous obligeaient à être présents
L’histoire n’est pas terminée.
Même invisibles, les hommes de Daesh continuent à faire peur.
Ibrahim Al Faraj est avocat, et conseiller communal à Raqqa.
Il se sent encore menacé. "Ils nous obligeaient à être présents. J’ai peur, parce qu’ils vont revenir. Ils sont nombreux ici à Raqqa, ils vont nous cibler un par un".
Sur cet autre rond-point de Raqqa, Abu Suleiman, un djihadiste belge, a fait trembler tous ceux qui refusaient de se soumettre à Daesh.
"Il coupait la tête, et la remettait là", explique l’avocat, mimant le geste devant un piquet.
197846