Le régime marocain a tort de ne pas écouter la révolte sociale grandissante

La scène s’est déroulée au centre-ville d’Oujda (dans l’Oriental, à la frontière algérienne), un samedi glacial, alors qu’une foule de manifestants avaient décidé de braver la répression musclée des forces de l’ordre pour répondre présents à un appel lancé sur les réseaux sociaux par des militants associatifs.

Parmi les slogans scandés par les protestataires : la dénonciation de l’imposition du pass vaccinal mais aussi la cherté de la vie. Il faut dire que la flambée des prix des denrées alimentaires de base suscite un mécontentement social qui se manifeste sporadiquement, ici et là, partout où des cyberactivistes tentent de briser la loi du silence pour protester contre la détérioration de leurs conditions de vie.

La scène bouleversante de cette femme âgée laissant exploser son indignation témoigne fidèlement de l’état de précarité alarmant dans lequel se trouvent, aujourd’hui, des millions de Marocains.

Des laissés-pour-compte abandonnés par un pouvoir démissionnaire qui mène un train de vie luxueux et s’évertue à étouffer la crise socioéconomique qui ronge le pays grâce à une machine de propagande étatique des plus redoutables.

Déphasage total avec la réalité

Pendant ce temps, on ne compte plus les affaires impliquant la famille royale dans des transactions financières illégales, autrefois les Panama Papers, plus récemment les Pandora Papers.

Il y a quelques années, c’est l’actuel chef du gouvernement en personne, Aziz Akkhanouch – ainsi que des membres de sa famille –, qui avait été cité sur une liste de personnalités considérées comme les « serviteurs de l’État » ayant bénéficié de lots de terrains à un prix symbolique dans la région huppée de Hay Riad à Rabat.

Le journaliste Omar Radi, qui avait contribué à faire éclater cette affaire, a été incarcéré. Il est accusé par le système d’« espionnage avec des parties étrangères », d’« atteinte à la sécurité intérieure de l’État » et d’« atteinte à la pudeur avec violence et viol ».
 
Le fait que ces protestations surgissent parfois là où on les attend le moins pourrait les rendre volatiles et incontrôlables, surtout en l’absence d’un leadership déclaré portant un ensemble de revendications bien déterminées

À l’heure actuelle, d’autres corps de métiers se mobilisent afin de faire entendre leur voix auprès des décideurs, qui semblent en déphasage total avec la réalité.

Les sit-in s’enchaînent et les marches se multiplient, rappelant à nos gouvernants que le mécontentement des populations est devenu insupportable. En plus des marginalisés et des laissés-pour-compte, d’autres franges de la société sont montées au créneau pour dénoncer l’indifférence du nouvel exécutif et l’interventionnisme du pouvoir dans les affaires publiques.

Malgré la répression violente des manifestations et l’appareil de propagande étatique qui vante les mérites du régime, les voix de la protestation se font entendre dans les localités rurales mais aussi dans certaines villes périphériques et dans les grands centres urbains, dont Rabat, Casablanca, Tanger et Marrakech, où par exemple les instituteurs contractuels multiplient les marches.

Tout récemment, ces derniers ont fermement dénoncé la décision de l’actuel ministre de l’Éducation nationale, Chakib Benmoussa, ex-ministre de l’Intérieur et chef de la Commission spéciale sur le modèle de développement (CSMD), qui a annoncé, le 19 novembre, que l’âge limite pour être recruté comme enseignant serait de 30 ans.

Au prétexte d’améliorer la qualité de l’enseignement, en recrutant notamment des jeunes, la décision de ce technocrate proche du Palais va à l’encontre des statuts de la fonction publique, qui fixent ce seuil à 45 ans.

Par ailleurs, cette décision hasardeuse va certainement nourrir un sentiment d’exclusion sociale parmi une population de jeunes quadras qui ne pourront désormais plus accéder au secteur de l’éducation, réputé pour l’engagement de son personnel depuis les années 1960 et 1970, sous les auspices des forces de gauche.

Ces dernières semaines, ce fut au tour des avocats et des infirmiers de témoigner notamment de leur refus de se voir imposer le pass vaccinal.

Le choix du régime de parier sur l’appareil sécuritaire pour endiguer la protestation pourrait s’avérer à terme contre-productif. L’État a tout intérêt à composer avec une opposition politique identifiable et reconnue pour pouvoir négocier avec ses leaders une sortie de crise.

Car les risques de cette montée sporadique d’une contestation populaire sont considérables.

D’un autre côté, la banalisation de la protestation collective au quotidien aurait le bénéfice de briser le mur de la peur qui empêche les gens de manifester par crainte des violences des forces de l’ordre ou, au pire des cas, de se faire arrêter et juger pour des crimes qu’ils n’ont jamais commis (puisque les manifestations sont déclarées pacifiques par leurs instigateurs).

Autre risque : le fait que ces protestations surgissent parfois là où on les attend le moins pourrait les rendre volatiles et incontrôlables, surtout en l’absence d’un leadership déclaré portant un ensemble de revendications bien déterminées.
 
La vulnérabilité multipliée par deux pendant le confinement

À la tête de l’exécutif après des élections contestées, notamment par les islamistes du PJD acculés à quitter le gouvernement, les technocrates reviennent en force aux affaires sous la houlette du patron du Rassemblement national des indépendants (RNI), Aziz Akhannouch, un milliardaire soussi (région du sud berbérophone) proche du roi Mohammed VI.

Un monarque qui n’a d’ailleurs jamais caché ses affinités avec les technocrates au détriment des politiques. N’est-ce pas lui qui a évincé le socialiste Abderrahman Youssoufi de la primature en 2002 pour y nommer un de ses proches collaborateurs, Driss Jettou, alors chargé de la gestion de la fortune de la famille royale ?

Après un peu plus de vingt ans de règne, le monarque vient de renouer avec ses pratiques d’antan visant une technocratisation verticale de la sphère politique, réduisant ainsi les minces espoirs de démocratisation du pays comme peau de chagrin.

L’actuel chef du gouvernement a retiré le projet de loi sur la déclaration obligatoire de patrimoine des élus, marquant ainsi une rupture idéologique avec le principe constitutionnel associant la responsabilité à la reddition de comptes
Aux abonnés absents depuis son investiture, le nouveau gouvernement n’a pas saisi à bras-le-corps les demandes sociales sans cesse croissantes des populations défavorisées, dans un pays classé au 121e rang des 189 pays sur l’indice de développement humain 2019 du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), six places au-dessous de la Palestine !

Un pays où la pauvreté a été sept fois plus élevée et la vulnérabilité multipliée par deux pendant le confinement, selon un rapport du Haut-commissariat au plan (HCP). De quoi s’indigner et se demander où sont passés tous ces milliards alloués à la lutte contre la pauvreté, à commencer par les programmes de l’Initiative nationale de développement humain (INDH), lancée par le Palais en 2005.

Malgré l’urgence de la situation, le « gouvernement des technocrates » n’a pas jugé utile d’écouter le discours de la rue, même dans l’espoir de redonner confiance aux électeurs, qui désertent de plus en plus les urnes.

Bien au contraire, dans un geste irresponsable et grave de conséquences, l’actuel chef du gouvernement a retiré le projet de loi sur la déclaration obligatoire de patrimoine des élus, marquant ainsi une rupture idéologique avec le principe constitutionnel associant la responsabilité à la reddition de comptes.

Une manière d’exempter les politiciens véreux de tout contrôle fiscal sur l’origine de leur fortune cumulée durant leur mandat électoral. Un signal fort du recul de l’exécutif dans le domaine de la lutte contre le népotisme, la corruption et l’enrichissement illégal des politiques.

Un jeu dangereux, surtout lorsqu’on jette un coup d’œil aux indicateurs socioéconomiques dans le rouge, selon les chiffres officiels du HCP : le déficit budgétaire qui a atteint les 51,2 milliards de dirhams (environ 5 milliards d’euros) en 2020, un taux d’endettement global record en 2021 pour atteindre 93 % du PIB et un taux de chômage des jeunes diplômés, notamment, passé de 18,2 % en 2020 à 20,4 % en 2021.

L’aggravation de la crise socioéconomique va certainement attiser la protestation sociale qui monte, notamment à cause de la cherté de la vie (inflation sur les produits de base et les hydrocarbures).

Le rejet du pass vaccinal n’est qu’un prétexte pour la majorité silencieuse qui veut exprimer son indignation face à l’affaissement du pouvoir d’achat des couches sociales défavorisées et le rétrécissement des espaces des droits et des libertés dans le royaume.

À voir de près le projet de loi de finances de l’année 2022, on constate une augmentation des impôts sur des produits de première nécessité fragilisant le pouvoir d’achat des couches sociales moyennes et défavorisées. Cette nouvelle loi de finances n’a pas évoqué l’augmentation des salaires des médecins et des instituteurs, comme l’avait promis le chef du gouvernement dans le programme électoral du RNI.
 
Radicalisation des oppositions

L’action gouvernementale va certainement nourrir la frustration sociale et favoriser la radicalisation des oppositions.

Un phénomène déjà aux marges de la sphère politique. À leur tête, Al Adl Wal Ihsane (tendance islam politique radical) ne manque pas une occasion de fustiger l’autoritarisme du régime et de dénoncer la compromission des islamistes du PJD.

Le 10 novembre, ce fut au tour de la mouvance islamiste Unicité et réforme, appareil idéologique du PJD, de monter au créneau pour pointer du doigt les régressions du pays en matière de démocratie et de libertés. Une position largement partagée, le même jour, par le parti d’extrême gauche Annahj Adimocrati, qui a dénoncé le recul du pouvoir en matière de libertés, à commencer par l’imposition scandaleuse du pass vaccinal.

Le rétrécissement drastique des espaces de libertés va certainement nourrir les foyers de la contestation dans les marges, là où la présence de l’appareil sécuritaire est moins importante que dans les centres urbains.

D’où la manœuvre du régime d’aller chercher l’ex-chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, pour reprendre en main le PJD après sa chute, pour le moins inattendue, lors des dernières échéances électorales. Une énième tentative du roi Mohammed VI de s’assurer les services d’une opposition fragilisée en face d’un gouvernement technocratique aux ordres.

Toute la question maintenant est de savoir jusqu’à quand cet équilibre fragile résistera aux coups de boutoir des populations révoltées.

Aziz Chahir
Middle East Eye
 
Akhenouche (Khinichich) insiste et signe. Il n'est pas impressione.

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Kiosque360. Une note de conjoncture de la DEPF confirme la reprise économique du Maroc, notamment dans les industries extractives et manufacturières, l’énergie électrique, du BTP et des télécommunications. Ceci est une revue de presse de La Vie Éco.

Dans sa note de conjoncture du mois de novembre 2021, la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) relève que l’activité économique nationale affiche un rétablissement progressif et significatif. Cela s’explique, selon cette direction relevant du ministère de l’Economie et des finances, par les avancées enregistrées en matière de vaccination anti-Coronavirus, les mesures de relance engagées et les résultats très positifs de la campagne agricole.

Dans sa livraison hebdomadaire, La Vie Éco revient sur la note de la DEPF qui confirme la reprise économique au Maroc. Des signes de reprise dans plusieurs branches d’activités non agricoles, à forte contribution dans la valeur ajoutée nationale, ont été enregistrés courant 2021. Il s’agit en l’occurrence des industries extractives et manufacturières, de l’énergie électrique, du BTP et des télécommunications.

Pour autant, nuance la DEPF, "une persistance des tensions récessives" a été observée dans certains secteurs, particulièrement le tourisme, malgré le redressement progressif entamé en juin.

Sur le registre de la demande intérieure, la consommation des ménages poursuit sa progression, soutenue par l’amélioration des revenus générés par l’excellente campagne agricole.

D’autres facteurs expliquent la progression de la consommation des ménages, à l’instar de la bonne tenue des transferts des Marocains résidant à l’étranger (MRE) et la consolidation de la reprise des créations d’emplois et le raffermissement des crédits accordés aux ménages et ce dans un contexte d’inflation modérée.

Toujours selon La Vie Éco, l’investissement continue de s'accroître. Il est stimulé par la progression des importations des biens d’équipement, la hausse des recettes des investissements directs étrangers (IDE) et la croissance de l’investissement public. En effet, cette dynamique de l’investissement semble se confirmer par la croissance significative des créations d’entreprises (+53% en glissement annuel à fin août 2021).

Concernant les échanges extérieurs, la note de la DEPF précise que les exportations maintiennent leur dynamique, dépassant leur niveau d’avant-crise (+8,7% par rapport à fin septembre 2019). Cette bonne performance à l’export a concerné l’ensemble des secteurs, notamment les ventes d'OCP, l’automobile, l’aéronautique, l’industrie alimentaire, l’électronique et l’électricité et le textile et cuir.
 

Morad

Modérateur
Modérateur
Radicalisation des oppositions

L’action gouvernementale va certainement nourrir la frustration sociale et favoriser la radicalisation des oppositions.

Un phénomène déjà aux marges de la sphère politique. À leur tête, Al Adl Wal Ihsane (tendance islam politique radical) ne manque pas une occasion de fustiger l’autoritarisme du régime et de dénoncer la compromission des islamistes du PJD.

Le 10 novembre, ce fut au tour de la mouvance islamiste Unicité et réforme, appareil idéologique du PJD, de monter au créneau pour pointer du doigt les régressions du pays en matière de démocratie et de libertés. Une position largement partagée, le même jour, par le parti d’extrême gauche Annahj Adimocrati, qui a dénoncé le recul du pouvoir en matière de libertés, à commencer par l’imposition scandaleuse du pass vaccinal.

Le rétrécissement drastique des espaces de libertés va certainement nourrir les foyers de la contestation dans les marges, là où la présence de l’appareil sécuritaire est moins importante que dans les centres urbains.

D’où la manœuvre du régime d’aller chercher l’ex-chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, pour reprendre en main le PJD après sa chute, pour le moins inattendue, lors des dernières échéances électorales. Une énième tentative du roi Mohammed VI de s’assurer les services d’une opposition fragilisée en face d’un gouvernement technocratique aux ordres.

Toute la question maintenant est de savoir jusqu’à quand cet équilibre fragile résistera aux coups de boutoir des populations révoltées.

Aziz Chahir
Middle East Eye
enleve ta fixation sur le Maroc est ton article pourrait être celui de tous les pays du monde.... Du bla bla à chercher le négatif grâce aux informations empirique du net...
 

mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
enleve ta fixation sur le Maroc est ton article à pourrait être celui de tous les pays du monde.... Du bla bla à chercher le négatif grâce aux informations empirique du net...
Salam

Tu ne pourras rien n'y faire le Maroc est sa maladie il l'a noire dans le cœur c'est comme ça ! La junte on le sait à lancer toutes ses mouches électroniques et finance des articles plus que tendancieux et douteux sur le Maroc et ne se cache même plus de vouloir renverser le pouvoir monarchique.
Donc si tu veux vraiment arrêter ce type de mouches tu n'as qu'un choix c'est effacer ou bannir car pour lui faire entendre raison tu perds ton temps celui ci ne joue pas de bendir pour endormir certains il est claire et net dans ses opinions et quand tu penses que c'est l'opinion malheureusement d'une partie d'entre eux dans leur pays et bien même la tu ne peux qu'avoir de la peine pour eux car ils ont été éduquer ainsi dans la méfiance et le rejet du Maroc ! l Ceux qui sont nés dans années 60 70, 80, 90 en France eux n'ont pas été contaminé de la même façon l'hamdoullah mais qu'en on sait que depuis 2000 après la décennies noire beaucoup d'entre eux sont venus en France avec cette éducation et bien la tu en vois malheureusement les dégâts sur la façon dont ils ont fait percevoir le Maroc et la femme Marocaine l'7ama9 ô safe.
 
Dernière édition:
Radicalisation des oppositions

L’action gouvernementale va certainement nourrir la frustration sociale et favoriser la radicalisation des oppositions.

Un phénomène déjà aux marges de la sphère politique. À leur tête, Al Adl Wal Ihsane (tendance islam politique radical) ne manque pas une occasion de fustiger l’autoritarisme du régime et de dénoncer la comprom.......................
Commence à nettoyer devant ta porte. Il n'y aura pas de nuages au Maroc. L'Algérie a créé au Maroc un élan de solidarité sans précédent.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Un Algérien né et vivant en France qui se soucie de ce qu'il se passe au Maroc 😅
Et pourquoi ça lui interdirait d’en parler ? Si c’était de la diffamation, ça serait critiquable, mais la corruption, il ne l’a pas inventé, elle est réelle. J’en avais entendu parler et en cherchant vite, je retrouve un article parmi d’autres : "Pandora Papers" : révélations sur les bonnes affaires fiscales de Dominique Strauss-Kahn au Maroc et aux Emirats arabes unis (francetvinfo.fr), 4 Octobre 2021. Ou aussi : Pandora Papers: La famille royale marocaine au cœur du scandale (moroccomail.fr), 6 Octobre 2021.

P.S. S’il est né en france, il est pas Algérien en fait :desole:, il est d’origine Algérienne.
 
Dernière édition:
Le pauvre il ne sait pas qu'au Maroc on manifeste souvent et partout
et on consteste tout ...

Mais comme j'ai dit "Khanouche Palla."

PS: Faut le comprendre ils etaient sous couvre feu depuis la decennie noire.
On tirait sur tout ce qui bouge. Ils se sont "reveille" contre le 5 eme mandat
du Zombie. Et maintenant ils ont Tbibine. Un rigolo.

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KINGjulian

Modérateur
Et pourquoi ça lui interdirait d’en parler ? Si c’était de la diffamation, ça serait critiquable, mais la corruption, il ne l’a pas inventé, elle est réelle. J’en avais entendu parler et en cherchant vite, je retrouve un article parmi d’autres : "Pandora Papers" : révélations sur les bonnes affaires fiscales de Dominique Strauss-Kahn au Maroc et aux Emirats arabes unis (francetvinfo.fr), 4 Octobre 2021. Ou aussi : Pandora Papers: La famille royale marocaine au cœur du scandale (moroccomail.fr), 6 Octobre 2021.

P.S. S’il est né en france, il est pas Algérien en fait :desole:, il est d’origine Algérienne.

Et toi de quoi tu te mêles . T'es de quelle origine ? T'es Francais il me semble et en France c'est pas mieux . Donc balayez devant votre porte avant de la ramener :cool:
 
Tbibine leur a dit qu'il est le Hirak. Ils ne peuvent plus sortir. La recreation est finie.
Il ont maintenant une brigade de Batata. Je ne plaisante pas. 30 ans de prison
si tu caches Batata dans ta cullotte.

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underwear GIF
 

Morad

Modérateur
Modérateur
T’as picolé ou quoi ? Au cas où tu n’aurais pas remarqué, c’est de ça que je parle le plus depuis un an et demi.
Le truc c'est que, quand on cherche des poux, on en trouve et quelque soit la tête !! Tu es parfaitement victime d'un système de propagande qui veut inonder le net avec uniquement des articles négatifs ... Du mauvais il y en a au Maroc, On le sait et tous les Marocains le savent !! Mettre le doigt sur les défauts et uniquement les défauts du Maroc de la part d'un sans pays comme Marhba.... C'est le soucis... On parle pas du contenu on parle du fait servir ce genre de contenu à la chaîne....
 
ll y a visible au moins autant un racisme anti‑Algérien de la part de certains Marocains que dans l’autre sens … en parlant de balayer devant sa porte.
On ne peut pas parler de racisme quand on est issu de la même souche. Mais la fraternité c'est quelque chose sur laquelle vous avez pissé durant 60 ans.
Votre régime est complexé et aveuglé par la haine qu'il voue à son voisin. Et dire que c'est au Maroc, à Oujda précisément qu'a démarré votre "révolution", on a rempli notre devoir de voisin et de frère contre le colon français, on vous a armé pour vous permettre d'être enfin un pays libre.
Mais la reconnaissance ne fait pas partie de votre ADN.

On ne vous demande rien, simplement de nous foutre la paix. Quand on voit s'exprimer vos caporaux centenaire on a l'impression d'avoir affaire à de vieux fous qui s'ennuient.
Oui, nous ne sommes pas un pays riche, mais plutôt que de vous focaliser sur nous, normalement vous devriez regarder du côté des pays qui comme vous vivent de la rente pétrolière et des hydrocarbures, comme le Qatar, le Koweit ou les EAU. Ce n'est pas normal que les Algériens qui sont plus nombreux que nous en France aillent nettoyer les chiottes dans les métros. Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais le Maroc c'est quelque chose d'inaccessible pour vous. Si tu n'es jamais allé au Maroc, va y faire un tour et retourne en Algérie pour te faire ta propre idée.

Le fameux slogan DZ nous sommes les meilleurs partout ne va pas vous ouvrir les portes du développement. Rien ne vaut la richesse humaine et celle de du travail. Votre régime est une sorte de ramassis de vieux voyous qui n'ont aucune compétence en diplomatie. Au moindre pet de travers ils exhibent leurs jouets produits chez les Russes, L'armement à outrance est une façon pour vous de vous rassurer et de croire que c'est ça la puissance, car à part acheter ce que font les autres vous ne produisez que dalle.
 
Dernière édition:

Morad

Modérateur
Modérateur
C'est la petite histoire du chameau qui se moque de la bosse du dromadaire. Meskine il a disparu une semaine pour éplucher le net!
Le fait de poster 3 pages ici est révélateur du gros complexe qui le mine. 😅
Il y a quelque chose de pathologique chez ce genre de personne... Car ne pas avoir d'esprit critique envers son pays d'origine et le défendre en se voilant la face c'est pas anodin..... Ça dénote juste que le gars ne connaît pas l'Algérie et que, il n'a pas encore eu la grande déception du retour au pays d'origine et de la bonne galère qui remets en doute son amour auto proclamé pour son pays d'origine. Quand la frustration l'envahit ici, Il préfère rêver et se faire des films...... La France, il l'aime quand se réveille heureux et il la déteste quand il est de mauvaise humeur....L' Algérie de ses rêves est le juste de refuge de ses peurs inconscientes Bref... Je bannis pas.... Je le laisse bla balater
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
On ne peut pas parler de racisme quand on est issu de la même souche. Mais la fraternité c'est quelque chose sur laquelle vous avez pissé durant 60 ans.
Votre régime est complexé et aveuglé par la haine qu'il voue à son voisin. Et dire que c'est au Maroc, à Oujda précisément qu'a démarré votre "révolution", on a rempli notre devoir de voisin et de frère contre le colon français, on vous a armé pour vous permettre d'être enfin un pays libre.
Mais la reconnaissance ne fait pas partie de votre ADN.
[…]
J’ai rien à voir avec ça, désolé, là c’est trop :desole:

Je ne connais pas cette histoire alors je ne saurais quoi en penser. Je dirais juste que si c’est quelque chose qui s’est passé dans les années 1960, ça commence à dater un peu tout en étant frais, quelque part, alors ce n’est pas évident. Il faudrait penser à un moment à avoir la volonté de commencer à passer dessus, parce que même si c’est frais, ce n’est pas hier. De mon point de vu, les Algériens ont déjà assez de mal avec leur régime pour ne pas en rajouter. Les conditions me semblent plus facile au Maroc (même si pas pour tout le monde, je sais), et je dirais que c’est du côté des mieux lotis qu’il est plus facile de faire un effort de compréhension. Après, je dis ça sans connaitre les détails, par exemple la possible propagande dont semblait parler Morad, mais un telle propagande pouvant être fabriquée par seulement un petit nombre d’individus, il ne faut pas en faire retomber la responsabilité sur tous.

Sinon, des statistiques issus de Facebook il y a quelques années, semblaient indiquer que les Algériens n’ont en moyenne pas une mauvaise image du Maroc et s’en sentent plutôt proche ou au moins une bonne opinion des Marocains en général.
 

A ce jeu là, on peut tout trouver​

Le commentaire humiliant de la diplomatie russe sur les mensonges et la propagande de la presse algérienne​










L'Algérie n'est pas le nombril du monde en possédant des richesses naturelles considérables. C'est le travail qui crée la richesse.
la Turquie: Les premieres drones Bayraktar TBE déjà livrés au Maroc
La Russie: n'est pas seulement l'ami de l'Algérie, seulement un partenaire commercial
MAROC / AFRIQUE Plusieurs actions ont été menées par le Maroc pour promouvoir les relations économiques et commerciales avec les partenaires africains, telles la participation à des foires internationales et des salons d'affaires, l'organisation de missions de prospections, et enfin la réalisation d'études de certains marchés africains par des bureaux de conseils nationaux au profit des hommes d'affaires marocains. Une multitude de conventions ont été signées, des projets inaufurés, dns lesquels le Maroc apris part, soit pas son expertise soit par des apports de fonds. Des Etablissements de santé ont été construit , des conventions dans les domaines de la marine marchande, le secteur minier, le logement, l génie civil, l'eau et la formation.
DIASPORA ALGERIENNE Cessez de marginaliser la Diaspora Algérienne et engager le dialogue sincère , honnête et constructif avec ceux qui ont un savoir-faire pour développer la vision de l'Algérie Nouvelle comme souhaitée Par Mr. Tebboune.
ALGERIE L'Algérie pourrait jouer un rôle important en Afrique dans le secteur de l'agriculture, la santé, l'eau et la formation, comme axes porteurs en profitant des bonnes relations diplomatiques que l'Algérie a avec les pays africains. Nous devons combler un retard de longues années. L'Algérie manque sur le continent Africain que dans le reste du monde. Le chômage des jeunes ne cesse d'augmenter,les causes sont multiples ...
A lire dans Algérie Part
C’est une véritable humiliation ! Le ministère russe des Affaires étrangères a publié un communiqué qui dénonce vigoureusement les mensonges et Fake News colportés par la propagande médiatique en Algérie. Et la diplomatie russe s’en est pris violemment au quotidien arabophone Echorouk en l’accusant de « diffuser des mensonges purs et simples ».
Hier jeudi 28 octobre, le site officiel du ministère des Affaires Etrangères de la Russie a démenti totalement les informations mensongères rapportées par Echorouk concernant une supposée crise opposant le Maroc à la Russie. « Les informations sur les relations maroco-russes ‘extrêmement tendues’ sont fausses et n’existent que dans l’imagination de leur auteur », a affirmé ainsi la diplomatie russe sur son canal de communication officielle, à savoir son site internet.
La diplomatie russe se moque de la médiocrité du quotidien Echorouk en l’accusant de « jongler avec les faits » en réagissant avec virulence à son article publié sous le titre « L’Algérie à l’origine de la crise entre la Russie et le Maroc ». « Nul doute que le journal peut prétendre à un prix dans deux catégories à la fois : en tant que modèle classique de désinformation et pour fausse analyse », a ironisé ainsi la diplomatie russe.
La même source a encore humilié Echorouk en estimant que ses journalistes devraient « vivre dans un univers parallèle et ne rien savoir de la pandémie du Covid-19 ».
Le ministère des affaires étrangères de la Russie a conclu son communiqué cinglant en affirmant que « c’est un secret de polichinelle que de nombreux pays, y compris des acteurs extérieurs, sont très déçus par les liens croissants de Moscou avec l’Algérie, le Mali, le Maroc et d’autres pays de la région » et « utilisent tous les moyens, y compris la désinformation, pour creuser un fossé dans les relations bilatérales afin de les endommager ». Notons enfin que jusqu’à maintenant, Echorouk n’a pas présenté ses excuses à la suite de cette bévue qui lui a valu un « commentaire » humiliant de la diplomatie de l’une des plus grandes puissances mondiales de la planète. Et de son côté, le ministère algérien de la Communication, si prompt à délivrer des leçons de déontologie aux médias étrangers qui critiquent l’Algérie, n’a toujours pas rappelé à l’ordre le quotidien Echorouk qui vient de porter un énorme préjudice à la crédibilité de la presse algérienne.
 
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J'aime bien voir les Marocains protester .... C'est une bonne chose.
Mais parfois ....
La jeune femme vers la fin de la video demande une fonction publique pour tout citoyen Marocain.

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Mais ceux qui me font rire ce sont les mangeurs de Ramadan
quand ils sortent protester. Et je suis un mangeur de Ramadan. :D

Une fois j'etais a Agadir et j'ai vu des gens protester. J'ai demande a un cousin
qui conduisait sa voiture "C'est koi leur probleme?"

Et il me dit. "Pffff. Des mangeurs de Ramadan,"

The Greatest Showman Lol GIF by Sky
 
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