Retraites : le gouvernement a-t-il cédé face aux policiers ?

Cette file d'attente d'une trentaine de CRS dans le couloir d'un cabinet médical pour un arrêt maladie est un avertissement pour le gouvernement. Christophe, CRS depuis vingt ans en région parisienne, s'est lui aussi fait porter pâle jeudi 12 décembre comme la moitié de sa compagnie. Il assume. "On vient travailler tous les jours en étant usés depuis plusieurs années. On va simplement voir le médecin qui fait des analyses et constate que l'on est exténués."
Les syndicats suspendent le mouvement de protestation
La colère est montée d'un cran quand les policiers ont découvert la réforme des retraites. Si les fonctionnaires de police pourront toujours partir à la retraite dès 52 ans, ils perdront de nombreux avantages. Aujourd'hui, tout policier a le droit à un an de cotisation supplémentaire tous les cinq ans. Avec la future réforme, ce bonus ne s'appliquerait qu'aux policiers exposés à des risques sur le terrain. La démonstration de force semble avoir fonctionné. Les syndicats affirment avoir obtenu gain de cause.
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Quelle inégalité quelle injustice par rapport aux autres professions !!!!! Un ouvrier du BTP par exemple risque tous les jours sa vie et certainement pas les policiers ou les
militaires ! La france n'est pas un pays ou règne l'anarchie . Elle n'est pas en état de guerre non plus . Pourquoi alors ces avantages ? C'est le privé qui paye en plus des
dettes avec les intérêts .
 

Pièces jointes

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ils paraient qu'ils souffrent
eh ben la gamelle

Les 2.3 MILLIONS du privé qui sont au smic payent pour qui ?

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Lille (Nord), plusieurs dizaines de policiers prennent la pause en attendant de consulter un médecin. Une photo symbolique envoyée par un syndicat. À Lambersart (Nord), de nombreux CRS suivent le mouvement et sont actuellement chez le médecin. Mercredi 11 décembre, une des compagnies n'a pas pu être envoyée pour sécuriser le match PSG-Galatasaray

francetvinfo commentaire sur les crs
Raoul Volfoni

Quand même bizarre cette facilité de se faire mettre a l'assurance sur une simple visite et pour combien ?? 1000 CRS tout ça aux frais de la sécurité sociale ( qui paie ) , quand je vois la difficulté que l'on a ici pour trouver un médecin et se faire soigner ( quand on est vraiment malade ) et a la sortie sans arrêt de travail ... bref encore une belle corporation qui tape sur les autres ( au sens propre ) quand ils défendent leurs acquits ... et eux en quoi le travail d'un secrétaire derrière un téléphone et un micro nécessite un régime particulier et une carrière écourtée ??? Deux poids deux mesures c'est ça l'équité ??
 
Touche pas à notre bonne gamelle
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Les syndicats policiers suspendent leur mouvement de contestation contre la réforme des retraites, à l'issue de leur réunion jeudi 12 décembre au ministère de l'Intérieur, par le ministre Christophe Castaner, son secrétaire d'Etat Laurent Nuñez et le haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye, selon les informations de franceinfo.
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42 Régimes et le privé est perdant .
Il faut un seul régime sans inégalité
Ce sont les fonctionnaires qui manifestent
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1,4 million d'agents supplémentaires depuis 1980. C'est le constat fait par la Cour des comptes
, dans un rapport qui déplore l'absence de vision stratégique de l'Etat dans ce domaine.

1,4 million de fonctionnaires en plus depuis 1980. Les effectifs de l'ensemble de la fonction publique française ont augmenté de 36 % entre 1980 et 2008, alors que l'emploi total en France progressait deux fois moins vite (18 %), selon un rapport de la Cour des comptes qui déplore la rigidité et l'absence de vision stratégique de l'Etat dans ce domaine.

Début 2008, les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriales et hôpitaux) employaient au total 5,3 millions d'agents, dont près de la moitié (2,5 millions) pour l'Etat. Cela représente un peu plus de 20 % de l'emploi total en France, a souligné mercredi 16 décembre le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin. Ces chiffres masquent toutefois d'importantes disparités : la progression de l'emploi public résulte essentiellement des collectivités territoriales (+71 %) et, dans une moindre mesure, des hôpitaux (+ 54 %).

UNE PROGRESSION MODÉRÉE EN TROMPE-L'ŒIL

Avec une progression de seulement 14 %, "l'Etat a été très loin d'être exemplaire (...) parce que sa progression en apparence modérée masque son incapacité à s'adapter aux réformes de l'action publique qu'il a lui-même décidées", a jugé M. Séguin. L'Etat "aurait dû pourtant réduire sensiblement ses effectifs du fait de la décentralisation et de la montée en puissance des opérateurs publics [agences, offices et autres organismes publics autonomes]".


Malgré d'importants transferts de compétences aux collectivités, la décentralisation n'a entraîné aucune baisse ni même stabilisation des effectifs de l'Etat, a relevé M. Séguin. En 1980, la fonction publique d'Etat comptait 2,1 millions d'agents et 400 000 de plus fin 2007.

Le rapport s'inquiète aussi du recours accru aux "opérateurs" pour assurer des missions de service public. En 2007, ces opérateurs ont perçu 21 milliards d'euros de subventions de l'Etat et 6,5 milliards de ressources fiscales. ( marchés truqués )

lefigaro



PS: Par conséquent créer des postes ou augmenter les salaires est pratiquement très dur .
D'ou le développement du travail non déclaré et la délinquance aussi et les heures sup
dans le privé
 
Réformer ici aussi !
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· Que notre aristocratie politicienne sois disant Républicaine montre l'exemple
Députés : 577
Sénateurs : 343

Conseillers régionaux : 2 040 (en comptant les 51 membres de l’assemblée territoriale corse, auxquels s’ajoutent les 131 représentants des assemblées de la Nouvelle-Calédonie, de Polynésie et de Wallis et Futuna).
Conseillers généraux (+ conseillers de Paris) : 4 042
Maires : 36 635
Conseillers municipaux : 519 417
Députés européens : 78
Élus intercommunaux : 38 000 environ..

Savez vous ce que gagne notre cher ex président et lui n'as pas eut à hériter de son père
salaire de président:24874,55
retraite de député(à vie): 9298,21
retraite de ministre de l'intérieur:8776,34
retraite de maire de Neuilly:6241,92
total: 49191,02

plus 1 appartement de 340m2 (faut bien ce loger avec 1 famille aussi grande)
3 studios de rapport dans le 6eme (je n'ai pas trouvé le prix des loyers)
1 résidence d'été en Corse (pr la mer)
1 appartement à Chamonix (pr le ski)
sans parler de sa collection de tableaux non assujettis à l'I.S.F, ni avion ni voiture ect ect.......
le tout ne dépassant pas les 1.576.394€
En sachant qu'il ne paye plus ses impôts depuis 1995 .......

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Pas le 1er ministre, non, pas lui : salaire 22 249.97 + frais fixés par lui avec un MINIMUM de 6 037.30 +
1.5 fois le traitement ministériel (pour représentation locale)+ tous les avantages en nature !!!
8 secrétaires d'état, 12 795 + 6278 + 1.5 traitement ministériel (fonction locales) + avantages en nature
21 ministres 13 905.82 + 6278 + 5177 (fonction locales) + avantages en nature
343 sénateurs 6952.91 + 6278 + 8949 + 1330.02 (pour la caisse de leur parti) + avantages en nature
577 députés 6952.91 + 6278 + 8949 + 2700.16 (fonction locales) + avantages en natures
PRESIDENT : 19 331 net + 100 millions pour l'Elysée + avantages en nature

Combien de millions par année : 377 828 974 euro
+ les indemnités de représentation locales + les avantages en natures
Crapule de miterand mort et ses complices
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Lorsque l’on observe l’évolution récente de la dette publique des pays européens et en particulier celle de la France, une question revient souvent : comment en est-on arrivé là ? Autrement dit, comment la dette publique française a-t-elle pu passer de 20 % du PIB en 1980 à 59 % au milieu des années 1990 et à plus de 90 % en 2012 ?
Et qui récupère l’argent des dettes plus les intérêts ?


L’évolution de ce ratio est encore plus inquiétante depuis quelques années : 64,2 % en 2007, 79 % en 2009, 86 % en 2011 et certainement 100 % en 2013 ( sarkozy )
. Et encore, par convention comptable, la dette publique française (comme ses homologues européens d’ailleurs) n’intègre pas le « hors-bilan », c’est-à-dire le paiement des retraites des fonctionnaires. Si tel était le cas, nous serions plutôt autour des 130 % du PIB.

En monnaies sonnantes et trébuchantes, le choc est encore plus effroyable. De 92 milliards d’euros en 1980, la dette publique a atteint 515 milliards en 1993, 1 000 milliards en 2003 et sera d’au moins 2 000 milliards en 2013 ! Bien sûr, entre-temps, les prix ont également progressé de 172 %. Toujours est-il que de 1980 à 2013, la dette publique française a explosé de 2 073 % en valeur et de 1 901 % en volume (c’est-à-dire sans inflation). De quoi donner le vertige…

D’où une question incontournable : comment, en si peu de temps, la France a-t-elle pu passer d’une dette relativement normale à une dette aussi explosive ?

La réponse est malheureusement simple. La dette publique n’est que le cumul des déficits publics annuels. Plus ces derniers augmentent, plus la dette flambe. A partir du moment où la croissance économique ne suffit pas à rembourser les intérêts de la dette, alors cette dernière devient cumulative et auto-entretenue. Et encore, il faut noter que, dans son malheur, la France a bénéficié d’un atout incroyable, en l’occurrence des taux d’intérêt bas pour les obligations du Trésor. Lorsque ces derniers remonteront, ce qui se produira inévitablement en 2013, l’écart entre la croissance et la charge d’intérêts de la dette s’agrandira et la bulle de la dette deviendra encore plus explosive. Eh oui ! avec la dette publique, c’est un peu comme avec un célèbre liquide vaisselle jaune : « quand il n’y en a plus, il y en a encore… »

Publié le 11 mars 2013
 
Atlantico
Est-ce la faute de l'Europe si la France a décidé depuis 30 ans de faire exploser ses dépenses publiques?
En 1980 nous avions 6% de chômage, 20% de dette, 0.3% de déficit (contre 11%, 95% et 4.3% aujourd'hui) alors certes on travaillait 40h/semaine avec 4 semaines de congés. On avait la retraite à 65 ans, beaucoup moins de fonctionnaires,
pas de CMU, pas de RMI et des dizaines d'aides sociales, beaucoup moins de régularisations...On avait aussi pas de CSG ou de CRSDS, les charges salariales étaient à 8% au lieu de 23% aujourd'hui, les charges patronales étaient aussi inférieures.
Tout a un prix; le socialisme qui a été pratiqué depuis 30 ans dans ce pays par le PS et l'UMP (MAFIA) ont eu raison de notre économie. On peut critiquer l'Europe mais c'est bien
Premier enseignement de ce document passionnant : un Français actif sur quatre travaille dans le secteur public. Ainsi, au 31 décembre 2010, la France comptait à peu près 26,8 millions d’actifs, et le secteur public en employait 6,74 millions, répartis comme suit : 5,2 millions de fonctionnaires proprement dits, 143 000 emplois aidés, 189 000 salariés d’organismes publics du type sécurité sociale, 642 000 salariés d’organismes privés à financement public comme les enseignants privés sous contrat, 588 000 salariés d’entreprises publiques.
 
Ce gouvernement de collabos et d'injustes a besoin de sa police pour maintenir lui aussi ces privilèges injustes donc il cède et n'applique pas la vraie justice pour tout le monde . Les policiers qui ont choisi cette profession ne savaient ils pas quelles étaient les conditions de travail ?
Sous prétexte que de temps en temps il y a quelques risques alors ON CEDE ? Que l'on fasse des statistiques sur ces risques
sur les 40 dernières années sur cette profession ou la gendarmerie . C'est pas l'anarchie ou la guerre ! A les entendre il y a tous les jours des morts ou des blessés graves ! Combien ça coûte ?

Et les ouvriers du BTP combien de morts et de blessés graves depuis 1945 ?
faites une comparaison et regardez la retraite qu'ils ont .
Les gens du privé devraient protester .
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Les policiers avaient multiplié les gestes symboliques pour exprimer leur opposition à la réforme des retraites. Ils conserveront finalement leur régime dérogatoire, a confirmé le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, aux syndicats, samedi 14 décembre, dans un courrier consulté par l'AFP.

"Dès lors qu'ils occupent des fonctions régaliennes de protection de la population" et "compte tenu des dangers auxquels ils sont exposés", les policiers continueront à "bénéficier des dérogations à l'âge de départ à la retraite", a écrit le ministre. "Les policiers comme les gendarmes sont confrontés à la dangerosité pas seulement au moment de l'action, selon la place Beauvau. La fonction même de policier les expose au risque."

Les syndicats étaient montés au créneau depuis plusieurs jours, craignant que ces avantages ne soient réservés aux seuls fonctionnaires directement exposés à des risques, excluant ceux qui occupent par exemple des fonctions administratives. Ils avaient déjà été rassurés jeudi lors d'une réunion avec Christophe Castaner, le secrétaire d'Etat Laurent Nuñez et le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye. Ils avaient alors suspendu leur mouvement de protestation.

Une dérogation réservée aux fonctions policières
Dans sa lettre, le ministre de l'Intérieur assure également aux syndicats que la bonification spéciale dite "du cinquième" ou "quinquennale", qui leur offre une annuité (quatre trimestres) de cotisation tous les cinq ans, sera "remplacée par une surcotisation du ministère de l'Intérieur".

Le maintien du régime dérogatoire est cependant corrélé à la fonction de policier. "On va poursuivre le travail d'identification dans la police comme dans la gendarmerie des fonctions de substitution qui n'ont pas vocation à être occupées par un policier ou un gendarme", assure-t-on à Beauvau. Un policier qui souhaiterait ainsi rester sur un poste de secrétariat, par exemple, ne pourra pas bénéficier du régime dérogatoire.

Les syndicats seront également "associés au groupe de travail" chargé de proposer une "cartographie des postes à substituer". Depuis une semaine, les organisations syndicales avaient appelé à de nombreuses actions pour protester contre le projet de réforme des retraites susceptible de toucher les fonctionnaires de police.
 
Exemple : Mais il y a en d'autres .
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  • LeFigaro.fr - il y a 1 heure 7 minutes
À la veille du déplacement de Valls à Marseille, "Le Point" révèle que l'ancien numéro deux de la police marseillaise n'a jamais saisi la justice des faits de corruption dont il avait été alerté.



"Cette enquête n'a pas permis de corroborer les faits que vous m'avez dénoncés." 28 décembre 2009, la directrice de cabinet du préfet délégué pour la sécurité et la défense à Marseille répond par courrier (cliquez ici pour lire le document) à un responsable associatif de la ville, qui, dans une lettre datée du 13 octobre (cliquez ici pour lire le document), a dénoncé des infractions graves commises par des policiers de la BAC nord à Marseille. "Aucun témoignage n'est venu confirmer vos assertions et vous avez émis des doutes quant aux heures où ces infractions avaient été commises", poursuit la directrice du cabinet. La fonctionnaire s'appuie sur une enquête du cabinet d'audit et de discipline diligentée par Pascal Lalle, le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) des Bouches-du-Rhône. Celui-ci avait été alerté des faits par le préfet délégué.

Près de trois ans plus tard, ce courrier que Le Point a récupéré pose des questions sur la responsabilité de la hiérarchie policière dans le sulfureux dossier de la BAC nord de Marseille. Pourquoi Pascal Lalle, numéro deux de la police dans le département, a-t-il choisi de faire appel au cabinet d'audit et de discipline de la sécurité publique plutôt que de saisir Jacques Dallest, le procureur de la République de Marseille, comme l'article 40 du Code pénal l'y obligeait ? C'est la face cachée de l'affaire.

"J'ai un principe..."

Alors que le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, se rend demain matin à Marseille avec trois nouveaux commissaires, Le Point est en mesure de révéler que le DDSP, Pascal Lalle, devenu directeur central de la sécurité publique (DCSP), a été alerté depuis 2009, à plusieurs reprises, par des (...) Lire la suite sur LePoint.fr


  • LeFigaro.fr - il y a 1 heure 8 minutes
"Le Point" publie quelques extraits de conversations entre les policiers de la BAC nord interceptées par la justice, qui avait placé des micros dans leurs voitures.



Un policier à un dealer :


- Tu veux repartir libre ?

- Alors, donne la sacoche.

Un policier à un autre :

- On va faire un plan stup, ce soir, on a rendez-vous pour vendre le shit.

Un policier à un autre policier :

- Tiens, regarde, lui, je viens de lui voler son portable !

Un autre policier à propos d'un cambriolage :

- J'ai pris un ordinateur.

Appelé sur un cambriolage, un flic fait une confidence :

- On va péter la porte de l'appart et on se sert.

Un policier à un autre :

- J'ai besoin de shit pour un tonton. Il vous en reste ?

Un policier aux autres :

"J'ai fait tellement de fric que je sais plus comment le blanchir."



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Il faut retenir que la rémunération moyenne en France des avocats est de : 4500€ nets/mois (source : salairemoyen.com; lepoint.fr/), masquant donc des écarts considérables.

Ce montant est à comparer à la rémunération moyenne d’autres professions libérales telles que les huissiers : 13 119 € nets par mois ; les notaires : 17 631 € nets/mois et les médecins généralistes : 6 148 € nets/mois.
 
François Hollande, 60 ans, dans la vie active depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Manuel Valls, 52 ans, dans la vie active depuis l’âge de 21 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Laurent Fabius, 58 ans, dans la vie active depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Ségolène Royal, 61 ans, dans la vie active depuis l’âge de 27 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Benoit Hamon, 47 ans, dans la vie active depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Christiane Taubira, 62 ans, dans la vie active depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Michel Sapin, 61 ans, dans la vie active depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Arnaud Montebourg, 51 ans, dans la vie active depuis l’âge de 28 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Marisol Touraine, 55 ans, dans la vie active depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

François Rebsamen, 62 ans, dans la vie active depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Jean-Yves Le Drian, 66 ans, dans la vie active depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Bernard Cazeneuve, 50 ans, dans la vie active depuis l’âge de 25 ans. Sa fiche Wikipedia et quelques articles de presse font état d’un début de carrière à la Banque Populaire, mais cet épisode n’apparaît pas sur la biographie officielle du nouveau ministre de l’Intérieur (par ailleurs très détaillée). Nombre d’années passées en entreprise : 3. la condition que ces 36 mois n'aient pas été consacrés à un "mandat" ou à un "détachement" dans une planque quelconque... Dans le doute, considérons que Bernard Cazeneuve a bel et bien vécu une courte expérience hors de la sphère publique.

Najat Vallaud-Belkacem, 36 ans, dans la vie active depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Marylise Lebranchu, 66 ans, dans la vie active depuis l’âge de 26 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Aurélie Filippetti, 40 ans, dans la vie active depuis l’âge de 24 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.

Stéphane Le Foll, 54 ans, dans la vie active depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
Sylvia Pinel, 36 ans, dans la vie active depuis l’âge de 25 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
George Pau-Langevin, 65 ans, dans la vie active depuis l’âge de 23 ans. Nombre d’années passées en entreprise : 0.
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PS :iL Y EN A D'AUTRES ; COMBIEN CËLA COÛTE ?
ET OU SONT LES VRAIES REFORMES ?
Un seul régime avec des quelques options pour les professions vraiment durs et cela aurait dü etre fait depuis longtemps
 

Pièces jointes

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