Les rifains dans leur histoire n'ont jamais étaient chiites

Voilà, j’ai ouvert ce post pour repondre au mensonges propager par Librif qui inventent une origine chiite au rifain.

Les rifains n'ont pas la même histoire que les kabyles (la grande tribus berbère kotama)
nous les rifains et une partie des jeblis on a étaient convertit à l'islam par Al-Himyari Mansour ibn Salih originaire du Yemen et descendant du prophète Mohamed sws qui fonda l'emirat islamique de Nekor en 710. Il a pris le temps pour expliquer ce qu'est l'islam au berbères du rif. Sa dynastie régna sur le rif (nord du maroc) jusqu'en 1019. Durant leur règne, la dynastie des Banu Salih furent attaquer plusieurs fois par les fatimides (chiites) sans succés. En 935, un general fatimides réussi a assassiner Abu Ayyub Isma’il ibn ’Abd al-Malik de la dynastie Banu Salih et prendre le pouvoir de Nekor mais fut trés vite évincer par la population qui remettra au pouvoir un membre de la dynastie Banu Salih Musa ibn Roumi ibn Abd as-Sami’ ibn Salih ibn Idris I ibn Salih (935-940), qui a défait Marmazu (chiite fatimide) et a envoyé sa tête au Calife omeyyade à Cordoue. Et c'est un membre de cette dynastie Jurthoum ibn Ahmad ibn Ziyadat Allah ibn Sa’id I ibn Idris en 947, qui adopta l’École de jurisprudence malékite.
En resumé les rifains ont étaient diriger par les Banu salih et non jamais étaient sous la domination des fatimides ni des idrissides.

Pour mieux comprendre regarde cette carte qui montre l’extension maximale de l’empire idrisside regarde bien les villes du rifaines qui sont sous l’empire de Nekor et la duré de cette empire (710-1019) sur la legende de la carte.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Idrissides22.PNG
http://www.euratlas.net/history/europe/1000/fr_entity_2815.html

Les Idrissides ou Idrisides (arabe : الأدارسة ou al-adārisa) sont une dynastie arabe ayant régné entre 789 et 985 sur le nord de l'actuel Maroc ( sur des villes comme Tanger, Asilah, Larache et Taza mais pas sur les villes rifains qui étaient diriger par les Banu salih) et les idrissides diriger aussi l'Ouest de l'Algérie. Volubilis puis Fès furent leurs plus célèbres capitales. La dynastie doit son nom à Idris Ier, arrière-petit-fils de Al-Hassan ibn Ali, rattaché au chiisme zaïdite ; il se fait reconnaître comme imam par la tribu des Awarbas, après leur avoir été présenté par leur chef Abū Laylā Isḥāq Ibn Muḥammad Ibn ‘Abd al-Ḥamīd. Tout en contribuant à l'islamisation des tribus païennes, les Idrissides combattent, selon Ibn Khaldoun, le kharidjisme, le judaïsme et le christianisme. C'était une dynastie chiite zaïdite. Dans un royaume à dominante urbaine, ce sont les villes qui ont servi de point d'ancrage pour la diffusion de la civilisation musulmane dans les zones rurales.
 
Je reviens à la tribu kutama et les fatimides. Les kutama qui sont une grande tribus berbères qui vivaient dans la kabylie d'aujourd'hui. Ils était au départ musulman tous sunnite et pas chiites puis ils deviendront kharidjites par opposition au pouvoir Aghlabides qui régnait sur l'Algerie, la Tunisie et la Lybie actuel au nom du calife abbasside. C'est en 893 que tout a commencer, un missionnaire propagandiste ismaélien chiite, Abu Abd Allah ach-Chi'i arrive de La Mecque où il a rencontré quelques berbères Kutama kharijites dont il a ressenti un potentiel énorme pour combattre les sunnites Abbassides. En effet ces Berbères manifestent une opposition farouche à l'égard des Aghlabides la dynastie régnant sur l'Ifriqiya au nom du calife Abasside Al-Mu?tadhid car ils étaient injuste avec eux en leur faisant par exemple payer un impot que devaient payaient normalement que les non musulman. Abu Abd Allah ach-Chi'i réunit les Kutama et prépare le terrain pour son maître Ubayd Allah al-Mahdi, un imam chiite ismaélien de Syrie présenté comme le Mahdi par Abû `Abd Allâh ach-Chî'î et dont le rêve est de faire basculer le pouvoir sunnite en place à Bagdad au profit d'une dynastie chiite. En 903 les Kutama, dorénavant convertis au chiisme, mais aussi à l'idéologie d'al-Mahdî, commencèrent l'insurrection. Le 19 mars 909, Les kutama détruisent définitivement les Aghlabides, dynastie installée par les Abbassides en Berberie orientale , près de Laribus. Six jours après il entre dans leur capitale Raqqâda puis fondent la capitale du nouveau califat Fatimide à Mahdiyya. Abu Yezid, un chef berbère de l'Ifriqiya, se soulève et organise la plus importante rébellion menée contre les Fatimides au milieu du Xe siècle en Afrique du Nord. Les Zirides originaire de kabylie prennent en mains le conflit et mènent la guerre contre les opposants au régime fatimide. Après la mort de leur leader Abu Yazid en août 947, Ziri écrase les Maghraouas. Ibn el-Kheir, émir des Maghraouas, se suicide pendant le combat. Il est remplacé par son fils. L'historien Ibn Khaldoun au XIVe siècle, dira que « plusieurs siècles après on voyait encore les ossements des morts répandus sur le champ de bataille[8] ». Toutes les têtes des émirs berbères furent envoyées au calife fatimide Al-Muizz li-Dîn Allah qui se réjouit de sa victoire. Au contraire, Al-Hakam Ier, souverain omeyyade de Cordoue et rival du calife fatimide, constatait que son autorité venait d'être touchée[8]. Après cette victoire, le fils de Ziri, Bologhine ibn Ziri, fonde avec l'autorisation de son père trois villes dont Médéa et Miliana après avoir chassé les Zénètes. Il reconstruit également Icosium (actuelle Alger) en fortifiant et agrandissant le site occupé par les Beni Mezghenna et la nomma El-Djazair Beni Mezghenna « îles des Banû Mezghenna. » en 960.
 
Cependant la guerre entre les Zirides et les Maghraouas continue. Ziri attaque les Zénètes qui résident dans le Zab fief de Dja`far ibn `Ali[11].
Le Maghreb s'embrase dans des batailles interminables entre berbers jusqu'à la fin du Xe siècle. Les zirides finissent par l'emporter. Les Fâtimides, dont les effectifs kutama ne sont pas négligeables, conquirent l'Égypte en 969 grâce au général Jawhar al-Siqilli (Le Sicilien) qui entra à Al-Fustât le 7 juillet 969, dans un pays désorganisé et en proie à la famine. Ils fondent, près de cette ville sunnite, une nouvelle capitale qu'il nommèrent al-Qâhira (Le Caire), signifiant « la Victorieuse ».
Lorsque le calife fatimide décide de transférer son siège au Caire, il invite Dja`far ibn `Ali à gouverner l'Ifriqiya en son nom. Mais ce dernier, craignant une manœuvre contre lui, s'enfuit et change de camp pour s'allier avec les Maghraouas, et les Omeyyades de Cordoue qui les soutiennent. Du coup, Ziri ibn Menad décide de mater cette révolte mais il est vaincu et tué en 971 dans une bataille contre les Maghraouas[12] sa tête est amenée à Cordoue au calife omeyyade Al-Hakam al-Mustansir.
Les Fatimides installèrent le général Kutama Bologhin ibn Ziri gouverneur de l'Ifriqiya et fondateur de la dynastie Zirides. En 973, le calife fatimide Al-Muizz li-Dîn Allah désigne Bologhin fils de Ziri comme gouverneur du Maghreb, il reçoit en plus le Zab et M'Sila que gouvernaient le transfuge Dja`far ibn `Ali. Bologhin poursuit le combat contre les Zénètes. Les Maghraouas demandent alors l'aide des Omeyyades de Cordoue pour reprendre leur territoire et leurs villes. Bologhin prend alors le contrôle de presque tout le Maghreb en suivant les directives du calife fatimide. Il avait pour ordre de tuer tous les Zénètes et de récolter l'impôt des Berbères sous la menace de l'usage de la force. Bologhin mate les Maghraouas, les Houaras, les Nefzaouas (branche des Zénètes) et les Mazata.

En 977, Bologhin est invité à la cour fatimide à Kairouan et reçoit la gouvernance de l'Ifriqiya tandis que le calife s'installe au Caire. Les honneurs qu'on lui fait vont provoquer la jalousie des Kutamas. Al-Muizz li-Dîn Allah laisse la gouvernance de la Sicile et celle de Tripoli à des membres de sa famille.
Bologhin reçoit du calife les titres de Abou al-Foutouh, « Père des victoires » et Sayf ad-Dawla « Glaive d l'empire »,. En 977, Abu Mansur Nizar al-Aziz Billah successeur de Al-Muizz li-Dîn Allah attribue à Bologhin les villes de Tripoli, Ajdabiya et Syrte en plus de ses attributions antérieures. Il conquiert Fès, Sijilmassa mais s'arrête devant Ceuta,.
 
Lorsque les Omeyyades acceptent enfin d'aider les Zénètes à reconquérir les territoires, en particulier ceux des Maghraoua de l'ouest du Maghreb. Bologhin ibn Ziri est contraint de reculer devant l'armée des Zénètes envoyés d'Andalousie par le vizir Almanzor et qui s'installent à Ceuta. Lorsque Bologhin voit la place, il la considère comme inexpugnable. Il rebrousse chemin.
En 984, Bologhine ibn Ziri meurt et s'ensuit une période longue de défaite pour les Zirides dans l'ouest du Maghreb. Les Zénètes regagnent en effet leurs territoires et leur souveraineté dans le Maghreb central et occidental grâce à Ziri Ibn Attia issu de la tribu des Maghraoua. Toutes les villes du centre du Maghreb jusqu'à Tanger redeviennent zénètes, y compris Alger, mais Tiaret et Achir restent encore zirides. Les Fatimides voulaient prendre l'Andalousie mais décident finalement d'abandonner le projet pour rester en Égypte et garder l'Ifriqiya et la Libye.
Le fils de Bologhin ibn Ziri, Al-Mansur ben Bologhine, prend le pouvoir en 984. Rapidement, il déclare aux notables de Kairouan venus le féliciter qu'il n'est « pas de ceux qu'on nomme d'un trait de plume pour les révoquer de même, car j'ai hérité ce royaume de mes pères et de mes aïeux (Ibn Idhari). » La réaction fatimide ne se fait guère attendre : un propagandiste officiel est envoyé du Caire dans le pays des Kutamas (vivant dans les actuelles wilayas de Mila et Sétif) et soulève ces guerriers contre Al-Mansur ben Bologhine (986) ; la rébellion dure deux ans mais finit réprimée par Al-Mansur avec cruauté. Une seconde révolte en 989 ne connaît pas un meilleur sort. Le gouvernement d'Achir est confié à Hammad ibn Bologhine qui soumettra les Zénètes de M'Sila et fondera la Kalâa des Béni Hammad entre 1004 et 1005. Il invitera alors l'un des membres de sa famille à gouverner à Constantine.
Entre 989 et 991, Said ibn Khazroum, un émir des Maghraoua, s'allie aux Zirides. En remerciement, Al-Mansur ben Bologhine lui confie le gouvernement de Tobna dans les Aurès, son fils Felfou le remplaçant. Plusieurs membres de la tribu des Zénètes le suivent dans cette alliance. Al-Mansur meurt en 995 et se voit remplacé par son fils Badis ben Mansur.
 
Après Badis, son fils Al-Muizz ben Badis, âgé de huit ans, prend la tête de la dynastie en 1015 dans un contexte marqué par l'émancipation d'Hammad ibn Bologhine qui fonde sa propre dynastie, les Hammadides, qui s'était proclamée indépendante en 1014 — reconnaissant comme légitimes les califes abbassides et non plus fatimides — et régnait sur les régions du centre de l'Algérie. Les Zirides restaient souverains sur leurs territoires de l'est de l'Algérie. Les rapports avec les suzerains fatimides qui avaient été variables — des milliers de chiites perdent la vie en 1016 dans des rébellions en Ifriqiya et les Fatimides encouragent la défection de la Tripolitaine vis-à-vis des Zirides — mais demeuraient encore étroits. Jusque là, les Zirides étaient restés de fidèles vassaux des Fatimides d'Égypte. Mais ces suzerains n'ont apporté aucun secours à son père pour faire face aux sécessions. En 1945, Al-Muizz ben Badis va changer de politique, peut-être sous l'influence de son premier maître sunnite ou pour plaire à une opinion publique hostile au chiisme dans la région de Kairouan. Il va rompre avec le califat chiite des Fatimides et se déclarer vassal des califes Abbassides (1048). Cette déclaration d'obédience aux Abbassides est moins le signe d'un ralliement à Bagdad que celui d'une rupture complète avec Le Caire Il profère publiquement des imprécations hostiles aux râfidhites, terme péjoratif pour nommer les chiites, et donne l’ordre de les tuer. Lors d’une promenade, son cheval étant sur le point de s’écrouler, il invoque Abou Bakr et Omar. Cette imprécation est interprétée comme une profession de foi sunnite par la foule qui fait un « affreux » massacre des chiites. Tandis que le calife fatimide Al-Mustansir Billah envoie ses remontrances à Al-Muizz, ce dernier répond en jetant le doute sur l’origine des califes fatimides. Al-Muizz fait interdire la mention du nom d’Al-Mustansir Billah dans les mosquées et fait brûler les drapeaux du calife.
Pour se venger de cette rupture, le calife fatimide Al-Mustansir Billah permet aux nomades arabes Hilaliens qui lui causaient des problèmes dans le sud de l'Égypte, de pénétrer en Ifriqiya : Il se débarrasse ainsi d'un problème tout en punissant un rebelle. Cette invasion hilalienne, Ibn Khaldoun la décrit comme destructrice de la civilisation urbaine. Ces arabes pénètrent dans le pays et dévastent les villes et les campagnes. Al-Muizz envoie une armée les combattre mais celle-ci est vaincue. Il part les affronter lui-même mais subit une nouvelle défaite près du mont Hayderan. Après la perte de Kairouan en 1057, le règne des Zirides se limite à une bande côtière, avec Mahdia comme nouvelle capitale. On voit alors un fait paradoxal qu'a signalé Georges Marçais : les Sanhadja, des Berbères montagnards, se tournent vers la mer et fondent à Mahdia et à Bougie des principautés maritimes. Mais il est trop tard car les Normands sont déjà établis dans le sud de l'Italie et en Sicile et doivent faire obstacle aux velléités maritimes des Zirides et des Hammadides. Plusieurs émirats bédouins se forment à l'intérieur des terres.
 
Les Almoravides prennent Alger en 1082 grâce à Youssef Ibn Tachfin. Ce dernier défait tous les Zénètes de l'ouest du Maghreb. La première grande mosquée sunnite de rite malékite, la Grande Mosquée d'Alger, est alors bâtie par Youssef Ibn Tachfin. Les Almoravides n'ont toutefois jamais fait la guerre aux Zirides ou aux Hammadides, les deux dynasties étant issues des Sanhadja. Alger marque donc la frontière entre les zones d'influence almoravide et ziride. Mais, selon d'autres sources, les Almoravides, après avoir êté vaincus par les Hammadides, délaissent Tlemcen et Achir en 1002. Ainsi, le hammadide An-Nasir ben Alennas prend le pouvoir à son cousin Bologhine et conquiert Achir, N'Gaous, Miliana, Constantine, Alger et Hamza en 1063,.
Les Almohades (Al-Muwahhidun, en arabe : الموَحدون) « qui proclame l’unité divine », ou Banu Abd al-Mumin (en arabe : بنو عبد المؤمن), sont une dynastie musulmane berbère qui domina, à partir du Maroc, le Maghreb et une partie de la péninsule Ibérique de 1147 à 1269.Muhammad ibn Tûmart, issu d'un mouvement religieux appuyé par un groupe de tribus berbères du Haut Atlas marocain, (en majorité masmouda), organise le renversement des Almoravides. Par la suite, Abd al-Mumin et sa famille, issus des Zénètes, prennent la relève en éliminant les Zirides et les Hammadides et en conquérant leurs territoires, ainsi que l'ensemble de l'Andalousie.Suite à leur affaiblissement et la perte des territoires de l'est de l'empire au profit des Zianides et des Hafsides, les Almohades sont finalement renversés par les Mérinides en 1269 quand ces derniers s'emparent de Marrakech.
Les Mérinides (ou Marinides, Banû Marin, Bénî Marin, arabe : مرينيون (marīnīyūn) ou بنو مرين (Banû Marīn)) forment une dynastie d'origine berbère Zénète.Ils s’installent dans le bassin de la haute Moulouya (partie orientale du Maroc actuel) pendant le Moyen Âge.Ils forment un empire, entre 1244 et 1465, dans l’actuel Maroc et imposent temporairement leur pouvoir sur une partie du Maghreb durant moins d'une année et dans une partie de l’Andalousie. Le centre de leur empire se situe entre Taza et Fès, ses frontières, qui évoluent avec le temps, sont l’océan Atlantique à l’ouest, la mer Méditerranée au nord, le domaine des Abdalwadides à l’est et le Sahara au sud.Entre 1275 et 1340, les Mérinides soutiennent activement le royaume de Grenade contre les attaques chrétiennes, mais leur défaite à la bataille de Tarifa devant la coalition castillano-portugaise marque la fin de leurs interventions dans la péninsule ibérique.En 1358, la mort d’Abu Inan Faris, tué par l'un de ses vizirs marque le début de la décadence de la dynastie qui ne parvient pas à refouler les Portugais et les Espagnols, leur permettant, ainsi qu’à travers leurs continuateurs les Wattassides, de s’installer sur la côte. La résistance s’organisera autour des confréries et des marabouts, dont est issue la dynastie saadienne.
 
Les Wattassides ou Ouattassides ou Banû Watâs venaient d'une tribu berbère Zénète comme les sultans Mérinides.Cette tribu, initialement originaire de l'actuelle Libye, s'était établie dans le Rif, au bord de la Méditerranée. De leur forteresse de Tazouta, entre Melilla et la Moulouya, les Beni Wattas ont peu à peu étendu leur puissance aux dépens de la famille régnante.Ces deux familles s'étant apparentées avec les Mérinides, ces derniers ont recruté de nombreux vizirs chez les Wattassides. Les vizirs wattassides prirent peu à peu le pouvoir que le dernier sultan mérinide perdit complètement en 1465. Il s'ensuivit une période de confusion qui dura jusqu'en 1472. Le Maroc se trouva coupé en deux avec au sud une dynastie émergente : les Saadiens, et au nord le royaume de Fès ou sultanat wattasside.
 
Arrête de propager des faux hadiths. Librif, j'avais lu des commentaires de toi sur dailymotion. Il y a 1 ans. Où tu insultais et tu te moquais des femmes du prophète et des compagnons. Tu faisais la promotion du chiisme imamite me laisse à penser que tu es un chiite rafidite et pas un chiite musulman. Arrête de propager des faux hadiths.
 
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