En réalité, le vraquier a quitté l’Argentine pour livrer du maïs et du soja en Algérie, une transaction agricole classique et parfaitement documentée. Après son escale à Béjaïa, le navire a poursuivi sa route vers la Grèce, puis seulement après, a accosté en Israël. Il n’y a aucune marchandise algérienne à bord au moment de son arrivée à Ashdod. Les systèmes de suivi maritime le confirment sans ambiguïté.
Alors que l’Algérie réaffirme son refus catégorique de toute normalisation avec l’entité sioniste, une nouvelle vague de désinformation a émergé, relayée
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