«Le brigadier descend à l'accueil, il voit un homme qui correspond au profil de celui à qui il a donné rendez-vous, il le fait donc monter dans son bureau. Et là, il lui a fait baisser son pantalon, lui a palpé le sexe et commencé à baisser son propre pantalon. C'est là que l'homme s'est dit qu'il y avait quelque chose d'anormal», selon une source policière
L'homme victime de la méprise «venait pour être auditionné dans le cadre d'une procédure. Et l'homme avait pensé que baisser son pantalon faisait partie de mesures de sécurité dans le cadre du Plan Vigipirate, au début il ne s'est pas méfié», poursuit cette même source.
«J'ai compris qu'il y avait une grosse méprise de ma part, que je m'étais trompé de personne. Immédiatement je me suis excusé, j'étais très gêné et j'ai raccompagné ce monsieur à l'accueil en m'excusant à nouveau», a confié de son côté le brigadier à Paris-Normandie.
A la suite de cette affaire, qui date du mois de mai, l'homme a porté plainte et l'IGPN, la police des polices, a été saisie. Actuellement en arrêt maladie, le brigadier devrait comparaître devant un conseil de discipline dès son retour.
Cnews
L'homme victime de la méprise «venait pour être auditionné dans le cadre d'une procédure. Et l'homme avait pensé que baisser son pantalon faisait partie de mesures de sécurité dans le cadre du Plan Vigipirate, au début il ne s'est pas méfié», poursuit cette même source.
«J'ai compris qu'il y avait une grosse méprise de ma part, que je m'étais trompé de personne. Immédiatement je me suis excusé, j'étais très gêné et j'ai raccompagné ce monsieur à l'accueil en m'excusant à nouveau», a confié de son côté le brigadier à Paris-Normandie.
A la suite de cette affaire, qui date du mois de mai, l'homme a porté plainte et l'IGPN, la police des polices, a été saisie. Actuellement en arrêt maladie, le brigadier devrait comparaître devant un conseil de discipline dès son retour.
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