L'adaptation et la loi du moindre effort expliquent peut-être que la rue est de fait "conservatrice", supportant capitalisme, libéralisme, communisme comme des dictatures extrémistes (khmères rouges).
Même après une révolution, comme pour un électron, la rue passe de l'état excité à celui stable et fondamental, après avoir émis des ondes de haine (massacres, génocides), de terreur (révolution française) et dissipé une énergie toujours récupérée par le pouvoir (celui des armes) qui se réinstalle sous une nouvelle forme.