Kiosque360. En pleine période estivale et touristique, Safi vit dans l’obscurité à cause d’un éclairage public délabré qui n’a pas été rénové depuis 30 ans. Le conseil de la commune dirigé, par le PJD, croule sous les dettes de la RADESS et ne dispose même pas d’un budget réservé à ce secteur.
La ville de Safi vit, depuis plusieurs semaines, dans l’obscurité à cause de la négligence et de l’absence d’entretien de l’éclairage public au moment où la cité connaît une grande affluence de touristes. Le conseil de la commune dirigé par le PJD est aux abonnés absents, puisque son président Abdeljalil Labdaoui et ses deux principaux collaborateurs sont partis en vacances. Le problème de l’éclairage a coïncidé avec la démission du chef du service d’entretien, qui fut remplacé par un nouveau responsable affilié au syndicat du parti islamiste.
Selon certaines sources, la commune ne dispose pas du budget réservé à l’entretien et à la rénovation du réseau de l’éclairage public. Le conseil de la ville a en effet annulé un contrat d’entretien supervisé par la RADEES (Régie autonome intercommunale de distribution d’eau et d’électricité) d’un montant annuel de 3 millions de dirhams. Mais les dirigeants de la ville n’ont pas pu assurer l’achat de matériel, ni fournir les compétences et encore moins trouver les moyens de financement des appels d’offre pour l’achat des lampadaires.....................
http://fr.le360.ma/societe/safi-quand-les-lampadaires-servent-de-simple-decor-195945
La ville de Safi vit, depuis plusieurs semaines, dans l’obscurité à cause de la négligence et de l’absence d’entretien de l’éclairage public au moment où la cité connaît une grande affluence de touristes. Le conseil de la commune dirigé par le PJD est aux abonnés absents, puisque son président Abdeljalil Labdaoui et ses deux principaux collaborateurs sont partis en vacances. Le problème de l’éclairage a coïncidé avec la démission du chef du service d’entretien, qui fut remplacé par un nouveau responsable affilié au syndicat du parti islamiste.
Selon certaines sources, la commune ne dispose pas du budget réservé à l’entretien et à la rénovation du réseau de l’éclairage public. Le conseil de la ville a en effet annulé un contrat d’entretien supervisé par la RADEES (Régie autonome intercommunale de distribution d’eau et d’électricité) d’un montant annuel de 3 millions de dirhams. Mais les dirigeants de la ville n’ont pas pu assurer l’achat de matériel, ni fournir les compétences et encore moins trouver les moyens de financement des appels d’offre pour l’achat des lampadaires.....................
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