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[QUOTE="Arborescence, post: 16320782, member: 394835"] 8/8 Les signes sont dans un premier temps mécanisme du pathfinding, offrant le oui ou le non, une valeur à implémenter qui se confront à la prospection. On pourrait y voir des éléments de probabilité. Un fois l'objet principal trouvé, il n'y a plus convergence et ces éléments secondaires cessent d'exister dans leur pertinence. S'offrirait à nous tout un éventail de direction, d'importance, de présence, qui participe à la perception qualitatif de l'environnement... fonds et formes, sujet principal seraient des notions subjectives. D'un point de vue sptituel, philosophique voir religieux, Le symbolisme seraient l'Approb des signes par l'interprétation. Une corrélation insidieuse du chemin à empreinter, parfois un moyen de se faire guider. Il y aurait prédétermination puis un vestige prévisible et prévu. Une fois que l'objet principal cherché est trouvé, les autres éléments secondaires appuient celui ci. Je n'oppose pas le concept de pathfooding ( sélection d'embranchement par l'expérience physique sur chaque terrain) au "choix" (spéculation en amont...). Quelque soit l'angle il n'y aurait que prédisposition pour appréhender les objets comme un survolé, mais la perception serait ponctuée et ponctuelle. Je trouve beaucoup de cette "idéesthésie global" et poétique dans l'oenologie ou dans toutes ses "sciences du verbe" qui mettent en évidences le caractère singulier de l'objet par glissement et empreint de lexique. La description est sensitif et colle à une idée du constituant de l'objet. (Dans l'ordre d'idée gestaltthéorie, il y a aussi le principe de "Dasein") Je me suis intéressé à l'héraldique (science des blasons). Véritable mélange de signaux, sigles, et de symboles... a l'époque ou seul le visuel permettait d'identifier de loin un adversaire, un allier, son clan, ses intention, sa région... son histoire son nom de famille parfois. Un cassure dans une famille ou un schisme dans une confrérie religieuse, par exemple était représentés par des lignes brisé... Un nom de famille était symbolisé par l'étymologie, la phonétique, la décomposition etc etc J'ai étudié cette "langue des oiseaux" (langue des anges, considéré aussi comme " langue primordiale... ) et ce double langage des alchimistes et autres mystique). L'intéret à émergé un peu avec l'arrivé de mystiques new age, de théoricien du complot et autre francmachonnerie ces derniers temps. À travers la poésie, à la recherche de "complications"(comme en horlogerie) pour enrichite le moyen de faire passer mes idées, sentiments. Pour suggérer d'autres grilles de lectures, que les échos, les ricochaient alimentent les volutes dans différents méandres. Tout ceci à fin de poser la sphère d'idées à la fois hors et à l'intérieur de boîtes contextuelles. Boites pouvant interagir comme le ferait les objets, le fond et la forme, de personnification en glissement d'avatar. J'aime l'idée d'illusion (où non), d'une troisième ou Nième histoire comme un arrière goût que l'on devine. (Bernar Werber avait fait référence à ce phénomène à propos d'un compositeur qui utilisais un procédé presque semblable en musique) On comprends l'utilisation du mécanisme de rangement et de sélection avec chaque sens d'un mot et le caractère initiatique ou averti... la clef de compréhension, et aussi/donc "d'association" d'un symbole tient à l'acquisition d'un jargon idiosyncrastique. (Pouvant s'appuyer sur de l'histoire, de la mythologie, des sciences etc Et peu aussi être personnel autant que personnellement affiné/arpentée). Il y a des exemples connus d'homophonie de mots, groupes de mot, de parties d'un mot décomposé. Fait vrier, février, fève-riez... par exemple Ou "au lit on dort!", au [Lyon d'or] com comme nom d'enseigne d'un hôtel. Se posait alors la question de l'échelle de valeurs et de priorité quand à l'empreinte cognitive et l'impact émotionnel dans le contenus d'une information. Lorsque l'oeil et l'oreil (par ex mais pas que) étaient mélangés sur un support propre à l'autre, Et quand divers supports côtoyaient divers lexiques et interprétations, lorsqu'ils ont un bagage d'une sensitivité différentes... où se trouvent les priorités idéesthésique de toutes ces façons d'appréhender un sujet? Rien qu'au travers d'un mot lu, sa charge, la charge de ses composants et plus petites unités, comme aussi bien le rôle du mot dans la phrase... Signifiant et signifié, phonèmes, sèmes, graphie, morphologie, signe, symbole... tout pourrait converger. L'enchevêtrement et le connexions seraient de nature idéesthésique par essence. Leur manifestation en fil logique qu'une forme identifiable à un moment ponctuelle. (Une latance) Tel qu'il y aurait un homonculus sensitif (Voir wikipédia) il pourrait y avoir un homonculus idéesthésique. [/QUOTE]
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